J’aime ces Garden Party. Se fondre dans la masse est reposant, même si de nombreux regards restent braqués sur moi et qu’il y a toujours des lèche-bottes pour vous ruiner le plaisir. J’entends un groupe d’invités arriver. Ah, il y a eux aussi… Ces ouvriers… Et surtout leur leader. Chartier, un nom de bouseux pour un bouseux. J’espère qu’il ne va pas encore me bassiner avec ses revendications syndicales. Blablabla, droit du travail, blablabla, respect du travailleur. Imbécile. Si je n’étais pas là pour prendre les bonnes décisions ils seraient tous au chomage…
Tiens il a amené sa fille. Mignonne. On a bien l’impression qu’il a du batailler pour qu’elle n’ai pas trop l’air d’une pute… Quelle vulgarité. Mais elle peut m’être utile malgré tout… Je m’avance vers lui. Poignée de mains et échange de sourire glaciale. Je m’avance vers la demoiselle et lui fais mon plus classe baise main :« – Voilà une bien charmante, damoiselle. Je vous suis reconnaissait de l’avoir laissé venir. Mais elle va certainement éveiller des jalousies… »Le père s’en va sans mot dire, la fille rougit. Je la laisse seule pour le moment, je reviendrais la voir plus tard. Comme cela elle se dira que je me suis rappelé d’elle, ça flattera son ego.
Je continue donc les présentations, discute avec divers membres de la société de chose et d’autre. Enfin je trouve un instant pour moi. Je repère la jeune fille, elle est au buffet, l’air un peu perdue. Parfait. Je m’approche l’air pensif. Je me sers au buffet sans la regarder. Elle m’adresse un regard en coin. Je lui retourne son regard :« – Oh, mais vous êtes la fille de ce cher délégué syndical ! Nous n’avons pas été présentés je crois. Appelez moi François. Et vous, comment vous prénommez-vous ? »« – Euh, je… Je m’appelle Jessy. »« – Un fort jolie nom pour une fort jolie femme. »Elle a l’air d’apprécier. J’ai pris le soin d’appuyer sur le terme femme, ça plait toujours au fillette d’être traitée ainsi :« – Dites moi, qu’étudiez-vous ? »« – Et bien je dois passer mon bac cette année… »« – Vraiment ? Quel age avez-vous ? »« – Bientôt dix-huit. »Je feins la surprise :« – Et bien, on ne dirait pas ! Vous paraissez tellement mature… »Elle rougit :« – Merci. »« – Mais de rien, c’est mérité. Et vous avez des projets ? »« – Oui, je veux étudier la psychologie. »« – Ah. Vous voulez aider les gens ? »« – Non, je préfères étudier le fonctionnement des personnes, des sociétés. »Je glisse sans avoir l’air de rien :« – Étudier leur perversion, aussi ? »Elle rit :« – Et bien, ça aussi, oui. »Nous restons silencieux un moment. Enfin je dis :« – Dites moi, vous avez l’air d’une personne intelligente et fine. Voudriez-vous me donner votre avis sur certains de mes écrits ? »Elle est étonnée, mais flattée. Un bon point pour moi :« – Et bien, oui, ce serait un plaisir. »Je fais mine d’être gêné :« – Je dois vous avertir que certains sont assez osés… Et cela doit rester un secret, je n’ai pas encore pris la décision de les publier. »Elle rit à nouveau :« – Vous savez il en faut beaucoup pour nous choquer, nous les jeunes ! »Je pense intérieurement : Attends de lire… Elle ajoute :« – Et je sais garder un secret, ne vous inquiétez pas. »Elle me tends son petit doigt. Je la regarde sans comprendre. Elle sourit et dit :« – Il faut se tenir par le petit doigt pour sceller un secret. »« – Ah. »Je m’exécute. Bon je dois avoir l’air ridicule j’espère que personne ne nous regarde…« – Je vous le donnerai d’ici la fin de la Garden Party, à plus tard ! »Je lui fais un petit signe avant de retourner à mes affaires.
Enfin la fin de la Garden Party s’approche. Je piaffe d’impatience, je veux mettre un point final à la première partie de mon plan, ma vengeance. Je vais chercher un recueil de récit dont certains érotiques voir carrément porno. Je ne sais plus quel imbécile me l’avait donné en espérant que j’édite son torchon. Mais le niveau sera suffisant pour une fille d’ouvrier comme elle. Je griffonne sur un carton :« – En souvenir de nos tendres nuits, très chère Anne. Ton François. »Je glisse le carton dans les première page de façon à ce qu’il dépasse. Puis je me dirige vers elle :« – Vous vous en allez, très chère ? Quel dommage… »Je lui fais un nouveau baise-main. Son père me mitraille du regard. Je jubile. Attends que j’ai fait de ta fille une catin. Une de ces trainées qui vend son corps pour un sac de marque. Je lui glisse discrètement le livre dans la main et lui souffle à l’oreille :« – Voilà le recueil que je vous avais promis. »La carte tombe elle la ramasse. Elle rougit puis me la tend :« – Je… Je crois que vous avez perdu ça… »Je prend la carte et la regarde. Je fais alors semblant d’être fort embarrassé :« – C’est, euh, une amie… »Elle me regarde d’un air complice. Bingo, elle croit partager un secret avec moi, un pas de plus vers mon objectif. Je lui murmure alors :« – Merci de garder ça pour toi, hein ? »Nous croisons à nouveau discrètement nos petits doigts. Ça s’engage bien cette histoire… Enfin je rajoute en lui donnant ma carte :« – Tu peux me contacter quand tu voudras me donner ton avis. Et pour te remercier on ira faire les magasins, une belle fille comme toi mérite de plus jolis atours… »
—– Elle —–
Et ben merde alors, si je m’attendais à ça !
Ce matin, mes parents m’ont forcée à aller à la fête que le patron de mon père fait chaque année. Ça fait trois ans que j’y échappe. Mais là pas moyen. C’était une sorte de punition qu’ils m’infligeaient parce que j’étais rentrée tard l’autre soir. Faut dire que j’étais avec Ben et quand je suis avec Ben je ne vois pas le temps passé. Et puis, c’est les vacances après tout.
Bef, ils m’ont traîné là et je n’en avais pas envie. Je faisais la tête et je n’avais fait aucun effort sur ma tenue vestimentaire. Mes parents se sont mis à discuter avec des collègues de mon père. Mon petit frère et ma petite sœur jouent avec des gosses de leur âge et moi je m’emmerdais ferme. Je me promenais dans la propriété du patron de mon père. C’était vraiment pas mal. Et puis le patron de papa, la classe ! En arrivant, il m’a pris la main et m’a fait un baise main comme à une star. J’en ai même rougi. Je ne m’ y attendais pas.
Il est ensuite revenu à la charge. Comme si je ne le voyais pas venir avec ces gros sabots. Il m’a balancé pas mal de compliments puis on a parlé de mes futures études de psycho. Papa n’était pas content que je parle avec son patron alors je vous ai décoché mon plus joli regard ravageur et vous m’avez même prise furtivement en photo (ci-joint). Vous m’avez demandé de vous donner votre avis sur un livre. Vous pensiez vous lancer dans l’édition et vous aviez besoin de l’avis de quelqu’un comme moi. Pourquoi pas.
Avant de partir, vous me donnez discrètement le livre. Une carte en tombe. Elle était destinée à une certaine Anne. Je vous la rends et vous semblez gênée. Mais je vous ai promis le silence et je vous ai fait mon truc des petits doigts croisés. Quand je pense que j’ai fait faire ça au patron de papa. Je suis vraiment fortiche.
On est rentrée. je me suis enfermée dans ma chambre et j’ai lu le livre que vous m’avez passé. Des histoires de cul plus ou moins porno mais rien de bien jouissif. Je l’ai mis dans un coin et je me suis endormie.
Plusieurs jours sont passés. J’ai passé pas mal de temps avec Ben. Un jour, nous étions dans ma chambre et il est tombé sur le livre. Il en a lu quelques pages : « Tu lis ça toi ? C’est nul ! T’as eu ça où ? »
J’ai rougi c’était plus fort que moi. J’ai bégayais une réponse qui n’a pas eu l’air de le convaincre. Il me repoussa sur le lit et me dit : « Si t’aime les histoires de cul, je vais t’en servir ma petite… »
Il partit et je me suis à relire le livre. Il y avait deux ou trois trucs un peu osés mais c’était surtout vieillot. Cela dit, je l’ai fini en mettant la main dans ma culotte et en me caressant. Et si je vous contactais ? Après tout c’est ce que j’avais promis. Et puis ça me changerait un peu pour ces fins de vacances.
Je prends votre carte et je ne sais quel numéro faire. Le portable c’est peut être un peu trop. J’appelle le numéro de votre entreprise. Je tombe sur une voix de femme qui me dit que vous êtes en rendez-vous extérieur. Elle me demande mon nom et si je veux laisser un message. Je ne sais que répondre alors je raccroche. Je me lance, j’essaie le portable mais je tombe sur votre répondeur et j’improvise un message : « Bonjour… Heu… Bonjour heu… François… C’est Jessy, Jessy Chartier… Je vous appelle pour le livre… Je ne sais pas si vous vous rappelez de moi… A la Garden party… Le livre… Je l’ai lu… Et… Je vais peut être vous envoyer un message sur Internet ce sera plus simple. Au revoir heu… Au revoir ! »
Je me suis aperçue que je ne connaissais même pas votre nom. Vous appelez François c’était un peu familier pour appeler le patron de mon père. Je ne vais tout de même pas demandé à papa comment s’appelle son patron. Je m’installe face à l’ordinateur et j’écris mon message.
« Bonjour Monsieur,
Comme promis j’ai lu le livre que vous m’avez donné. C’est pas mal même si je n’ai pas trop aimé. Ce n’est pas les scènes chaudes qui m’ont gênée – j’en ai vu d’autres – mais c’est le style. On n’écrit plus comme ça maintenant. On dirait un livre du siècle dernier. Je vous donne mon avis comme ça mais je ne m’y connais pas trop non plus.
Bon et ben j’espère que j’ai fait ce que vous attendiez de moi.
Jessy Chartier. »
J’ai relu mon message plusieurs fois avant de l’envoyer. Comme si je pressentais quelque chose. J’ai alors ajouté :
« Voulez-vous récupérer le livre ? »
Et j’ai envoyé le message.
Le soir, je sortais avec mes copines du lycée et j’ai commencé à me préparer.
Jessy 2*
Non mais j’y crois pas… Cette petite conne a à peine dix-huit ans et se permet de jouer la fine bouche littéraire. Bon c’est vrai que ce que je lui ai donné devait probablement être particulièrement nul, surtout d’après ce que j’en avais lu…
Bah ça va m’économiser du temps, je n’aurais pas à le faire lire. Direct à la poubelle. J’ai bien envie de lui filer un des recueils d’un futur espoir que j’ai récemment édité, pour la calmer cette petite garce… Non, elle s’en rendrait compte, le style serait trop différent. Qu’est-ce que je dis moi, c’est juste une fille d’ouvrière, elle n’y connait rien… Quoique, elle n’a pas l’air d’avoir hérité des trois neurones de son père, il faut que je me méfies. La secrétaire tape à la porte :« – Entrez ! »« – Excusez-moi Monsieur, j’ai Monsieur Choliot à l’appareil… »L’auteur du torchon… Il me relance encore ce loser. Je ne vais pas le rater…« – Dites lui que son récit est impubliable en l’état, qu’il revienne quand il aura appris à écrire. »« – Bien Monsieur. »Une idée me vient. Peut-être pourrait-il m’être utile cet imbécile…« – Attendez, Rita, passez-le moi. Je lui dirais moi-même. »La secrétaire est étonnée :« – Ah ? Euh, bien Monsieur. »
« – Monsieur Choliot ? C’est Monsieur Du Castel à l’appareil. »« – Ah ! Enfin ! Je voulais votre avis sur… »« – C’est nul. »« – A… A ce point ? »« – Je veux dire ce n’est pas particulièrement inspiré. »« – Je… Je pensais pourtant… »« – Vous aviez tort. Mais ce n’est pas le pire… »Je me fais plaisir en faisant durer le suspens, en le torturant. C’est un petit objet entre mes doigts…« – Ce… Ce n’est pas le pire ? »« – Non. Le pire c’est le style. »Silence. Je savoure son angoisse :« – C’est vieillot, surannée, ca manque de pêche, de vie, de sensations. Et puis il faut être plus osé ! On croirait un texte pré-soixante huitard. Et encore, à l’époque, la littérature coquine underground était loin d’être aussi sage. »« – C’est vraiment si nul ? »« – Oui. »J’ai l’impression que le mec va se mettre à pleurer. C’est follement jouissif :« – Mais je pense qu’il y a peut-être quelque choses à en ressortir. »« – Ah ? »Pointe d’espoir dans la voix brisée de ma victime.« – Oui. Vous avez d’autres textes ? »« – Oui, oui ! Plein ! J’avais prévu de vous faire parvenir un autre recueil. »« – Bien. Voilà ce que je vous propose. »Il est suspendu à mes lèvres :« – Vous allez prendre vos meilleurs textes, les retravailler de fond en comble, et vous me les faites parvenir pour Jeudi. »« – Pour Jeudi ?!? »« – Oui. Si vous voulez écrire il faut savoir respecter des délais. Et que cela n’influe pas sur votre écriture. Je comptes sur vous. »« – Oui, Monsieur. Merci, Monsieur. Je ferais de mon mieux. »« – J’y comptes bien. »Je raccroche. Il m’a même remercié l’imbécile. Enfin bon j’espère que ce sera un peu mieux. Je les lirais avant quand-même, je ne voudrais pas passer pour un imbécile auprès de la petite. Ce sera bien la première fois que je ferais autre chose que survoler l’un des textes qu’on m’envoie. Je ne paie pas un comité de lecture pour que ce soit moi qui me tape ce genre de corvée ! Bon contactez la fille maintenant. Elle s’est mise en numéro caché en m’envoyant son message… Bah, j’ai d’autres moyens. Je sors de mon bureau et demande :« – Rita, j’aurais besoin du numéro de portable de la fille de Monsieur Chartier. »« – Hein ? Cela risque d’être difficile. »« – Allons Rita, faites travailler nos fichiers clients et nos contacts… »« – Mais, ce n’est pas légal. »« – Ne vous inquiétez pas de ça, j’en ai besoin pour ce soir. »« – Bien, Monsieur. »
Le soir j’ai le numéro en question. Je téléphone. Répondeur. Je réessaierais demain, je ne parle pas à une boite vocale moi.Le lendemain je réessaie. Encore le répondeur. Elle m’énerve cette petite. Il me tarde de la briser comme la salope qu’elle doit certainement être. Umm, je m’imagine déjà lui bourrant son petit cul en lui promettant un joli bracelet. Petite pute.Enfin elle décroche :« – Allo ! C’est jessy, qui est à l’appareil ? »« – C’est François. Le livre, vous vous rappelez ? »« – Euh… Ah, oui ! Fr… Monsieur, euh, je ne connais pas votre nom en fait… »« – François sera très bien. »« – Ah. »« – J’ai lu votre critique. Vous avez déjà les prémices d’une plume acerbe… Vous n’avez jamais envisagé de travailler dans la littérature ? »« – Je ne voulais pas vous vexer… »« – Il n’y a pas de soucis. Un peu de franchise dans cet univers de lèche-cul ne fait pas de mal. »Elle rigole. Je crois qu’elle ne m’imaginait pas utiliser le terme lèche-cul… Attendre d’être dans mon lit, ou sur mon bureau plutôt, tu seras très étonnée…« – En fait je travaille sur un autre recueil et je suis en train de retravailler mes textes à la lumière de vos commentaires. J’aimerais beaucoup votre avis. »« – C’est que mon père n’apprécierait pas… »« – Allons, ne me dites pas que votre père sait tout ce que vous faites… Je suis sur qu’il n’y verra que du feu si vous lui dites que vous sortez avec une amie. Il dira probablement quelque chose comme : ne rentre pas trop tard cette fois-ci ! »Elle rit à nouveau :« – D’accord, de toutes façons je n’ai rien de prévu ce week-end. Mais je ne suis pas sure d’être la mieux placée pour donner mon avis sur vos textes. »« – Mais si. Vos critiques sonnaient très justes. Et puis je vise un lectorat de jeunes adultes, pas de vieilles bourgeoises. »« – Ah. »Elle a l’air flattée mais je sens bien aussi qu’elle a un gros doute sur mes capacités à produire des textes pour de jeunes adultes… Je me maudis d’avoir sous-estimé sa capacité critique. J’avais d’autres torchons de meilleur qualité que celui-ci en stock…« – Je viendrais vous chercher en bas de chez vous, Samedi à 14h. Je pense que vous ne pourrez pas rater la voiture. »Surtout dans le quartier de pauvres où elle réside… Il faudra d’ailleurs que je fasse attention à ne pas prendre une voiture trop tape à l’oeil. Pas de chauffeur non plus. Dommage, je me la serais bien faite à l’arrière de la limousine… Ce sera pour plus tard.« – D’accord. Attendez je vous donne mon adresse… »« – Je la connais. Votre père est un de mes employés tout de même ! »« – Ah oui… D’ailleurs comment avez-vous eu mon numéro ? Vous avez ceux de toute ma famille ? »« – Non, bien sur. Mais j’ai mes contacts… Je pourrais vous en faire profiter si vous voulez. Ca peut vous aider pour votre carrière future. »Plus que ne pourra jamais vous aider votre minable paternel, pense-je.« – Wow. C’est flippant. Je vais me sentir fliquée maintenant… »Zut, je n’avais pas prévu ça…« – Ne vous inquiétez pas, ce n’est pas dans mes habitudes. Mais j’avais tellement envie de vous revoir… Je ne vous ai pas froissée, j’espère ? »« – Non, non. »« – Bon. A Samedi alors ? On fera les boutiques aussi, comme je vous l’avais promis à la Garden Party. »« – C’est que… Mon père m’a coupé mon argent de poche. »« – Pas d’inquiétude, c’est moi qui régale. J’adorerai vous voir dans de belle robe. »Je me retiens d’ajouter : « et sans aussi, petite pute »« – Bien alors à Samedi, Mons… François. Bye. »« – Bye. »Je raccroche. Bien. Ce n’est pas parfait mais ça prend bonne tournure. Il ne reste plus qu’à l’impressionner Samedi et je me fais fort de la faire sucer ma verge dans les toilettes d’un grand restaurant en guise de dessert. J’en bande d’avance.
—– Elle —–
J’avais dit que j’allais faire des courses avec une amie et qu’après nous dînerions ensemble. C’est passé sans problème. Je me suis alors préparé. j’ai hésité entre mettre un jean et une jupe. J’ai choisi le jean. Pour une première fois, c’était plus raisonnable, je ne vous connaissais pas vraiment. J’ai aussi mis un débardeur rose. J’ai pris mon sac fourre tout et j’y ai glissé le livre que vous m’aviez donné à lire. Quand je pense que j’ai rendez-vous avec le patron de mon père dans moins d’une demie heure : c’est fou quand même !
Je suis sortie. Je suis descendue et j’ai marché un peu. Je n’avais pas trop envie qu’on me voie monter dans votre voiture. Je n’étais pas si à l’aise que ça. J’ai fini par vous voir arriver dans votre voiture. Petite voiture sympa, je m’imaginais quelque chose de plus gros, de plus bourgeois. Vous vous êtes arrêté, je suis montée et je me suis installée. Vous avez démarré. Nous avions quitté mon quartier et je me sentais mieux. Je ne savais quoi dire, nous avons parlé de la pluie et du beau temps. Nous sommes arrivés dans les quartiers chics de la ville. « On commence par le travail… » Vous vous êtes arrêtés et nous nous sommes installés à la terrasse d’un café où je n’avais jamais mis les pieds.
J’ai commandé un coca light et ça vous a fait sourire. Vous m’avez parlé de mes vacances mais je n’avais pas grande chose à dire vu que je suis restée ici tout le temps. Vous m’avez posé des questions sur mes copines, mes copains, mes petits copains et je suis restée très évasive. J’ai sorti le livre et je l’ai posé sur la table.
« Merci beaucoup Jessy pour votre travail…– mais je n’ai rien fait de…– si, si, je vous assure, j’ai pu en parler avec l’auteur et mettre certaines choses au point…– je ne suis pas vraiment…– vous êtes tout à fait la personne dont j’ai besoin, vous êtes parfaite !– merci.– justement voici un nouvel écrit. »
Vous avez rangé le premier livre et sorti un nouveau manuscrit. Vous avez tenu à ce que j’y jette un coup d’œil tout de suite. Ça me gênait. Mais vous avez insisté. Vous étiez pressé de connaître mon avis. J’ai regardé la première page puis je l’ai feuilleté, lisant des morceaux par ci par là.
« Jessy, ce serait bien que vous me lisiez à haute voix quelque chose, le paragraphe que vous lisiez par exemple…– maintenant ? Ici ?– oui bien sûr ! »
Ça me gênait vraiment mais vous avez encore insisté. Il y avait du monde installé pas loin de nous. Vous avez insisté encore alors j’ai respirer profondément et sans trop élever la voix j’ai lu :
Elle continuait tout à son rythme pendant que ma verge se gonflait petit à petit, se dressait et réclamait un contact plus fort. Sous l’afflux de sang, le gland devenait franchement violacé et chaque effleurement éveillait de sourdes envies de frottement plus intenses. J’approchais lentement de la frontière entre plaisir intense et orgasme. Cette frontière à partir de laquelle l’envie d’assouvir sa libido prévaut sur toute autre considération. Je n’avais plus qu’une obsession : baiser avec une femme, toutes les femmes, cette femme. Mon corps était tendu au possible, ma queue incandescente, au garde-à-vous, prête à entrer en éruption.
« Merci beaucoup Jessy, c’est un vrai régal que t’écouter votre joli voix… Alors qu’en pensez-vous ?– heu… Et ben… C’est… C’est l’histoire d’un type qui se fait tailler une pipe…– et ça vous plait ?– quoi ?– tailler une pipe à un homme ?– Heu…– Je rigole, je parlais du texte bien sûr !– Oui, oui, j’avais compris ! »
J’avais quand même eu une grosse bouffée de chaleur. Je vous ai expliqué que ce n’était quand même pas la manière que mes copains ou moi parlions de ces choses là. Heureusement, vous ne m’avez pas forcé à lire un autre passage.
« Peut être qu’il faudra que je vous fasse rencontrer l’auteur, celui là et d’autres aussi. On verra ça plus tard. Maintenant, chose promise, chose due. Ce soir nous allons dîner dans un très bon restaurant où j’ai réservé une table pour nous. Mais auparavant, nous choisir une robe parce que vous ne pourrez pas entrer dans cette tenue. »
D’habitude, je fais mes courses de vêtements au centre commercial. Là, nous sommes entrés dans des petites boutiques où je n’osais même pas regarder les prix. Une vendeuse nous suivait discrètement et vous regardiez les robes en me demandant mon avis mais vous ne m’écoutiez pas vraiment. Vous m’avez fait essayer une robe. Je suis passé dans la cabine. Elle était bien plus spacieuse que celles que je connaissais. Je me suis vue dans la glace et je me suis sentie un peu minable d’être habillé comme j’étais. J’ai enlevé mon jean puis mon débardeur et j’ai mis la robe. Je remis mes cheveux en ordre et j’ai ouvert la porte pour vous la montrer. J’ai tourné plusieurs fois sur moi même. Elle ne vous plaisait pas. Vous m’en avez donné une autre à essayer. Je suis retournée dans la cabine. J’ai enlevé la première et mis la seconde et suis ressortie.
J’en ai essayé cinq avant qu’une ne vous plaise. Elle était noire avec des bretelles, évasée dans le bas, un peu courte mais pas trop.
« Celle-ci vous va à merveille Jessy, c’est celle-ci que vous prendrez. Mais excusez moi, Jessy, le soutien-gorge orangé que vous portez en dessous, ça ne va pas du tout, mais pas du tout ! Vous pouvez vous passez de soutien-gorge ?– heu oui, je crois…– et bien tant mieux, enlève le donc ! »
Je suis retournée dans la cabine et j’ai enlevé mon soutien-gorge. Je me suis dit que heureusement j’avais mis un slip noir mais vous ne m’en avez pas parlé. Vous m’avez laissé avec la vendeuse pour que je choisisse une paire de chaussures : « Avec de très hauts talons, s’il vous plait, mademoiselle ». Le vendeuse écouta à la lettre ce que vous lui avez dit. Je compris pourquoi quand j’ai vu le pourboire que vous lui avez tendu avant de quitter le magasin.
Vous m’avez laissé devant un institut de beauté. Vous êtes revenu me chercher une heure plus tard. Je tenais un sac dans la main avec mes vieilles affaires. On m’avait recoiffé, maquillée et je portais la robe noire et les chaussures. Je me trouvais belle, follement femme. J’eu droit à un joli compliment de votre part.
Le restaurant, se trouvait à la sortie de la ville. Nous étions assis dans un coin discret. Il n’avait que du beau monde. J’étais comme dans un film. Vous avez commandé du champagne. J’avais chaud et le champagne était frais. J’ai bu plusieurs coupes. Vous avez commandé une autre bouteille et j’ai bu une nouvelle coupe. J’étais pompette mais bien. Nous avons parlé du lycée, de ma famille, de musique. Tout était très bon. Je me régalais. Vous me serviez du vin dès que je buvais une gorgée. Je ne savais plus ce que j’avais bu.
J’avais une folle envie de faire pipi mais je n’osais pas me lever. J’ai profité que le dessert se préparait pour vous dire que je devais aller aux toilettes. Vous avez tenu à m’y accompagner. Nous sommes descendus. Nous sommes passés devant la porte des toilettes pour femmes mais vous m’avez poussée vers la porte des toilettes pour hommes. Vous avez continué à me pousser sans que je réagisse. Je me suis retrouvée assis sur la cuvette. je vous avez baissé le haut de ma robe pour dégager mes seins. Vous les avez caressé puis vous m’avez dit « Suce moi ! »
J’ai tout de suite eu à l’esprit que j’avais déjà sucé des garçons pour un repas au Mac Do alors pour ce repas je pouvais bien… Mais je me suis dit que j’allais passé pour une pute… Votre sexe pendait devant mon visage que vous teniez par les cheveux. Et puis, j’en avais envie. J’ai ouvert la bouche et je me suis laissée glisser sur votre sexe. J’ai fermé les yeux. Je le sentais sur ma langue que j’ai enroulée autour. J’ai mouillé mes lèvres. J’ai pris votre sexe dans la main et je vous ai sucé du mieux que je pouvais.
« Regarde moi ! »
Je vous ai regardé et vous m’avez prise en photo. Vous avez en même temps dégagé votre sexe de ma bouche et vous avez éjaculé. Vous avez éjaculé sur mon épaule. Vous m’avez demandé de tourner la tête et vous avez pris une nouvelle photo. On respirait fort tous les deux.
« Je te laisse faire ton besoin et je t’attend pour le dessert, le deuxième dessert bien sûr ! »
Je suis restée un moment sur la cuvette reprendre mes esprits. Je venais de sucer le patron de mon père dans les chiottes d’un restaurant classe ! J’avais du mal à réaliser, j’avais surtout la tête pleine de vapeurs d’alcool. J’ai essuyé mon épaule comme j’ai pu. J’ai remonté ma robe. A ma chance, il n’ y avait personne quand je suis sortie de la cabine. Je vous ai rejoint à la table. Les desserts étaient prêts. J’ai mangé le mien, les yeux baissés. Vous ne disiez rien non plus mais votre regard ne me quittait pas.
Nous avons repris la voiture. Comme dans un film, vous m’avez demandé si je voulais boire un dernier verre chez vous. J’ai dit que non. Ma tête me tournait et puis j’avais un peu peur de la suite et de la tournure que les choses prenaient. Nous longions un coin désert, je vous ai demandé de vous arrêter. Je suis sortie de la voiture. J’ai ouvert le coffre, j’ai pris le sac. J’ai enlevé la robe et les chaussures, j’ai remis mes vêtements. J’ai enfoui le soutien-gorge dans la poche de mon pantalon. De votre rétroviseur, vous pouviez me voir. Je vous ai demandé de me laisser à 500 mètres de la maison.
« On se reverra bientôt ?
– je ne sais pas… »
Je continué à pied et ça m’a dégrisé un peu. Chez moi, mes parents regardaient encore la télé. J’ai vite été dans ma chambre. Je ne pouvais pas m’empêcher de penser à cette après-midi et cette soirée.
Dès le lendemain, vous m’appeliez mais je ne répondais pas. Mon copain Ben était rentré de sa semaine de vacances. Vous m’appeliez régulièrement mais je ne décrochais jamais. Vous ne laissiez pas de messages. Je préférais avoir des conversations chaudes avec Ben.
Cinq jours plus tard, nous étions jeudi. En regardant mes messages sur Internet, je suis tombée sur votre message :
« Jessy, on ne peut pas s’arrêter ainsi. Tu as goûté à ma verge, tu te dois d’aller jusqu’au bout des choses. Je sais comme tu peux être chaude avec certaines personnes au téléphone ! Je veux que tu le sois encore plus avec moi ! Réfléchis et je préviens que si tu ne réponds pas à mon prochain appel, ces deux photos seront placardées dès demain matin dans l’atelier où travaille ton père. Réfléchis !
J’en fus toute retournée. J’ai regardé les photos mais je me doutais bien de ce que j’allais voir et j’avais raison. Je ne sais pas si vous oseriez faire ça mais je ne pouvais pas courir ce risque. J’ai vécu quelques heures d’angoisses avec le téléphone en main. Vous n’avez pas appelé. Le soir, je suis sortie avec Ben et quelques autres copains et copines pour boire et pot. C’est là que vous appelez. Je me suis mise à l’écart du groupe et j’ai décroché. Mon cœur s’est mis à battre.
« Bonsoir Jessy !
– bonsoir Monsieur… »
Jessy 3*
« – Je t’ai dis de m’appeler François. »« – Euh oui, désolée. »« – Alors, tu as eu mon message ? »« – Oui. »« – Bien. Tu sais comment on appelle les filles qui sucent après une journée comme celle-ci ? »« – Euh, non. »« – Des putes. Tu es une pute Jessy. Mais pas n’importe laquelle. Tu es ma pute. Ca te plais hein ? »« – … »« – Bah, peu importe, tu t’y feras… Bon dis moi plutôt : tu as l’air de l’avoir aimée ma verge, n’est-ce pas ? »« – … »« – Réponds ! »Tu ne peux le nier. Peut-être était-ce l’alcool, ou le fait que je sois le patron de ton père, mais tu as aimé me sucer. Et tu as très envie de me sentir ailleurs en toi…« – Oui… Votre sexe goutait bon. »« – Tu as envie de le sentir en toi ? En fait tu ferais même ça sans être payée ? »« – Je… Peut-être… »« – J’en étais sur, salope. Bon on se retrouve Samedi prochain même heure. On essaiera d’autres magasins cette fois-ci. »« – Ok. »Je raccroche, satisfait. Elle a déjà fait la moitié du chemin. Encore quelques rendez-vous et je pourrais même la proposer à des clients. Pour une fois que son père, ou plutôt sa famille, me servira à quelque chose…
Le Samedi suivant je t’attend au même endroit. Je ne m’embarrasse pas de détail : limousine avec chauffeur. J’ai des plans pour toi.Tu es un peu étonnée et je te vois hésiter à t’approcher de la voiture. Mon chauffeur sort et t’interpelle :« – Par ici, Mlle Chartier ! »Tu es rouge pivoine en t’avançant vers la voiture. Je remarque que tu as mis la robe que je t’avais achetée. Umm… Tu la veux ma queue, hein petite ? Pense-je. Mon chauffeur t’ouvre la portière. Tu entres. Je suis assis à l’arrière une coupe de champagne à la main. Je t’en tends une :« – Tu prendra bien un verre ? »« – Euh, oui, merci. »Nous buvons en silence puis ma main se pose sur ta cuisse. Je pose mon verre et prend le tiens, encore à moitié plein, et le dépose aussi. Je m’apprête à t’embrasser mais tu me repousses :« – Non, laissez-moi ! »« – C’est le conducteur qui te gênes ? Tu fais bien des manières pour une pute. Justin, la vitre ! »La vitre électrique de séparation remonte. J’entreprends alors de caresser ton entrejambe. Tu écartes ma main et serres les jambes. Je m’emportes :« – Tu vas te laisser faire, petite trainée ? Tu ne crois quand même pas que je fais ça pour tes beaux yeux ! »« – Après. »« – Comment ça, après ? Après quoi ? »« – Je me fais payer et après vous me baisez. »Je n’en reviens pas. Je m’apprête à te gifler mais ton regard déterminé m’arrête. Je dis :« – Tu préfères que je montre tes photos ? »« – Et vous préférez que tout le monde sache que vous vous payez des filles à peine majeures ? »Ma main retombe. Je grommelle :« – Bien, bien… C’est vrai. Tu es déjà une vraie pro. Tu as les réflexes d’une putain. »Je dis ça pour essayer de te vexer mais je me sens humilier. Je me vengerai… Je comptai y aller en douceur mais je vais te ravager.Avant que la voiture ne démarre j’entrevois ta culotte… Elle a l’air légèrement humide… Je ne comprends pas, si tu excitée pourquoi tu ne t’es pas laisser prendre ?
Nous arrivons au magasin de lingerie que j’avais choisi. La séance d’essayage commence sous l’œil réprobateur de la vendeuse. Mais elle ne dit mot. Je l’ai payé assez cher. Je fais exprès de n’être jamais satisfait. Je te rabroue et te fais prendre des poses indécentes. Cela t’amuse. Je suis encore plus énervé par ton attitude indolente. Enfin je trouves mon bonheur :« – Parfait. Une vraie salope ! »Je sens le regard noir de la vendeuse. Tu te mets alors de trois quart dos, te cambres bien, te mets sur la pointe de ton pied gauche et m’adresse un regard langoureux après avoir rejeté tes cheveux par dessus ton épaule. Je bande comme un taureau et cela se voit… Je me retiens de te sauter dessus. Tu sais que tu es en sécurité ici et tu en profites pour m’exciter plus que de raison. Tu adorerais me voir craquer et ruiner ma réputation pour ton joli cul, je le sens. Mais c’est moi qui commande, il faut que je me le rappelle :« – Bien. C’est pas mal. Il va juste falloir trouver une autre robe plus sage, avec la tienne on va tout voir… »« – Oh, et des chaussures aussi ! »« – Hein ? Pourquoi des chaussures ? »Tu m’adresses un regard coquin en te léchant les lèvres. Je ne vais pas tenir moi…« – Euh, d’accord… »Je m’empresse de payer et je te tire par le bras pour aller à la limousine. Je te jette presque à l’intérieur et referme la porte. Je saute sur toi en bataillant avec ma ceinture. Tu cries :« – Non ! Pas maintenant ! »Je m’arrête malgré moi :« – Comment ça ? T’as eu ton paiement, non ? »« – Pas la totalité. Et puis je veux pas faire ça dans une voiture ! On va à l’hôtel. Ou chez vous… »Je n’en reviens pas… Mais tu te crois où ? Je ne tiendrais jamais jusqu’à chez moi. Bon alors l’hôtel. Même la je ne tiendrais pas. Surtout que cette conne va vouloir acheter sa robe et ses chaussures avant…« – Justin, réservez une suite dans l’hôtel le plus proche. »« – Bien, Monsieur. »« – Je m’absente un moment, je ne serais pas long. »Je retournes au magasin de lingerie. Je demande :« – Où sont les toilettes ? »« – Au fond du magasin, Monsieur. Mais ce sont des toilettes pour… »Je ne l’écoutes pas. J’entre en trombe dans les toilettes et me masturbe sans même fermer la porte derrière moi. J’éjacule dans un râle. Elle devrait être en train de me sucer. Non, je devrais même la défoncer comme une pute. Et je suis en train de gâcher ma semence dans les toilettes d’un magasin ! Elle me le paiera !Quand je reviens dans la voiture je suis d’une humeur massacrante. Je dis juste :« – Démarrez, Justin. Le magasin de robes dont je vous avait parlé. »
Le reste de la journée est morose pour moi. Tu t’amuses à m’allumer mais tu te lasses vite devant mon manque de réaction. Tu en profites alors pour te faire plaisir en essayant toutes les robes que tu peux, en défilant devant le miroir. Je ne bronches même pas quand tu me dis que tu vas en acheter deux parce que tu n’arrives pas à te décider. Je sors simplement ma carte.
Enfin l’hôtel. Je reprend un peu de ma vigueur. Je vais te sauter, t’humilier comme la salope que tu es. Oui, tu vas la sentir passer ma bite !« – Bon, j’ai une réputation tout de même. Alors je rentre seul, je t’envoie le numéro de chambre par SMS. »Je claque la porte sans attendre ta réponse et me dirige vers l’hôtel. Peu de temps après je t’envoies un SMS : « Chambre 737. Sois une bonne pute et dépêches-toi. » Tu t’apprêtes à sortir mais avant tu fouilles ton sac et tends un billet de cinquante euros à Justin :« – Tenez, c’est parce que vous avez été gentil. »« – Mais, Mademoiselle, c’est beaucoup trop. Je veux dire, vous n’êtes pas riche… »« – J’aime bien que vous disiez pas riche plutôt que pauvre, Justin. Vous êtes un brave gars. Prenez de toutes façons c’est pas à moi. Je lui ai piquée en l’allumant. Ce sera pour les fois où ils vous traitent comme un chien. »« – Je… Merci. Mais, Mademoiselle, peut-être que vous ne devriez pas y aller… Il risque d’être méchant. »Tu lui tapotes sur l’épaule :« – Ne vous inquiétez pas, Monsieur. »Tu rajoutes en riant :« – Et puis je m’amuses bien, moi ! Ciao ! »
Tu entres et te diriges directement vers l’ascenseur. Personne n’a l’air offusqués de voir une très jeune fille en habit de soirée se balader ainsi seule. Ils doivent penser que tu es une fille de riche. Tu pouffes intérieurement.Chambre 737. Tu toques à la porte. Pas de réponse. Tu insistes en appelant :« – Monsieur François ? »Un homme en peignoir ouvre la porte. Tu paniques à sa vue. Il n’a quand même pas invité des amis ? Pas déjà ? Tu es prise de court. L’homme demande d’une voix pâteuse :« – Ouais ? »« – Euh, je cherche, euh, François … »« – Y’a pas de François ici. Votre client a du se tromper dans les numéro de chambre… »La porte te claques au nez. Tu entends alors ma voix derrière moi :« – Oh, désolé, j’ai du faire une erreur. Je ne t’ai pas mise mal à l’aise au moins ? »Tu boues de rage mais ton calme apparent m’impressionne :« – Non, non. C’est vrai que les gens de votre génération sont souvent mal à l’aise avec les claviers… »« – Peti… Petite conne ! Tu te cr… »Tu entres sans m’écouter. Tu regardes la suite. Tu pousses un sifflement :« – Joli ! »Tu te retournes. J’ai sorti mon sexe :« – Bien, ma pute, passons au choses sérieuses. »Tu t’accroupis nonchalamment, tuant d’un coup tout l’effet que je voulais mettre :« – Vous avez des préservatifs ? »« – Hein ? Non mais tu me prends pour qui ? »« – Ah ben je suces pas sans préservatifs. Pareil pour les éjaculations. Juste sur le corps. Ni dans la bouche, ni sur le visage. »« – Mais, mais… »« – Bon, bien sur, la dernière fois je vous avais sucé sans préservatifs mais vous aviez payé beaucoup juste pour une fellation alors c’était normal d’offrir un extra. »Je suis abasourdi. Mais tes doigts parviennent malgré tout à faire lentement dresser mon membre. Tu continues :« – Bon moi j’ai amené les miens. Goût fraise. Non parce que votre queue était pas mal mais ça vaut pas la fraise malgré tout… »Je me sens complétement humilié. Tu enfiles le préservatifs du bout des doigts et commences à me lécher. Je pousse un râle.« – On aimes ça, mon cochon ? Attends la suite… »Tu me prends en bouche et ta langue virevolte le long de ma hampe. Puis tu m’enfonce bien profond. Tu ressors am verge de ta bouche te me branle en me caressant les couilles :« – Tu aimes, mon chéri ? »« – Putain, oui… »« – C’est bien alors… »Tu me suces longuement. Je finis par reprendre mes esprits et me rappelle que j’étais censé te ravager. Vu la tournure des événements tu vas juste me sucer, avec un préservatif en plus…« – Attends, salope… Je veux te niquer… Tu vas pas t’en sortir comme ça… »Tu arrêtes de me sucer, me branles un peu, embrasses mon gland puis tu t’allonges sur le lit et écartes ta culotte en me montrant ta chatte :« – Mais j’y compte bien mon beau, je t’avais dit que je voulais sentir ta verge en moi, non ? Mais d’abord tu vas bien me lécher, histoire que ça glisse bien… »Tu as encore repris l’avantage. Mas tu n’auras pas ton cunnilingtus. Je vais te prendre direct. Je dégrafe ton porte jarretelle, enlève ta culotte. Tu dis :« – Fais gaffe ! Tu vas abimer ma lingerie ! »Je t’empales alors. Tu pousses un gémissement de plaisir. Ca glisse tout seul. Tu était déjà bien humide apparemment. Ce petit jeu à l’air de t’amuser, de t’exciter même. Tu murmures :« – Umm, oui, vas-y. Prends moi sauvagement. J’aurai bien aimé un bon cunni mais te voir comme une bête fauve, toi le petit bourge, ça m’excite… »Elle me couperait presque l’envie, la salope… Je sors tes seins de la guêpière et les suces avidement. Bon je vais essayer quelque chose :« – Tu sais ce que c’est que le A-Level ? »« – Euh, non. »« – Ca veut dire que la pute accepte de se faire enculer. Parfois contre un supplément. A c’est pour anal… »« – Ah. »« – Ben là tu vois, tu vas me montrer qu’un pute accepte le A-Level sans problème, catin. »« – Non. »Je me fige en plein mouvement.« – Non ?!? »« – Ben moi je demanderais un supplément pour me faire défoncer le cul, tu vois. Et là, franchement t’as pas assuré. Pas de restos, rien que de la lingerie qui te plait surtout à toi une robe et des chaussures. Non vraiment je peux pas me laisser sodomiser dans ces conditions. »« – Et il te faudrait quoi ? »« – Ben déjà la totale. Je te sucerais sans préservatif et je te laisserais juter sur mon visage et dans ma bouche en plus. Et puis de joli bijou, un collier, des boucles d’oreille. »Je continue à te prendre mais j’ai la tête ailleurs. Tu te dégage et te met à quatre patte face à moi. Tu te cambres. Tu me jettes un regard torride :« – Ce cul vaut bien quelques bijoux, non ? »« – Oh oui… »Je pose mon gland sur ta rondelle et saisis tes hanches. Tu te dégages et te remets sur le dos :« – Mais bon, ce sera pour une autre fois. »Tu te suces les doigts et les enfoncent dans ton anus :« – Dommage… Moi aussi j’avais envie… Penses-y la prochaine fois ! »Puis tu écartes bien les jambes et ta chatte :« – Mais, en attendant, on peut s’amuser autrement ! »Je replonge en toi et te ramone comme un désespéré. Tu as l’air d’adorer. Je pétris tes seins. Tu me saisis la nuque et m’embrasse :« – Tu t’y prends bien pour un vieux… »Je ne dis rien et accentue mes mouvements. Enfin je sens que je vais venir. Je pousse quelques râles. Tu dis alors :« – Attends ! J’ai envie de sentir ton sperme sur moi ! »Je sors ma queue et tu t’empresses d’ôter le préservatif puis commence à me branler vigoureusement. De grand jet ne tarde pas à atterrir sur ton ventre et ton pubis. Certains atterrissent même sur tes seins.« – Et bien ! Tu avais envie mon beau ! J’ai l’air de te faire de l’effet. Tiens je te fais un petit cadeau… »Tu me suçotes le gland en extrayant quelques gouttes puis tu ramasses un peu de mon sperme et l’étales sur ta langue.« – Tu aimes quand je fais ça ? »« – Oh oui, ça m’excite… »Tu étales machinalement mon jus sur tes tétons durci.« – Bon, ben la prochaine fois tu feras ce qu’il faut je suis sure… »
Tu commences alors à te doigter vivement le cul et la chatte. Te caresser les seins et te lécher les doigts. Je te regarde :« – Qu’est-ce que tu fais ? »« – Ben tu m’as beaucoup excitée, mon beau, mais c’était pas l’extase non plus. Et moi je veux mon orgasme. Vas t’asseoir. Tu peux regarder c’est cadeau. »Je reste debout, les bras ballants. Puis je me décide à m’asseoir. Tes gémissements et la vue de ton corps dénudé se trémoussant ne tarde pas à me faire bander à nouveau. Je me lève. Tu souffles entre deux râles de plaisir :« – Désolé, mon beau, tu restes assis. Tu as eu ton tour. »J’assiste impuissant et rageur au spectacle de ta jouissance. Tu restes quelques instants figée puis t’étires. Tu me dis :« – Dormons un peu et tu me ramèneras, ok ? »Je hoche de la tête. Elle me fais un signe :« – Viens près de moi, je ne veux pas dormir seule… »Je m’exécute. Mes doigts caressent ses seins. Puis je me dirige plus bas. Elle me tape sur les doigts :« – Sois sage veux-tu ? »Je rougis comme un enfant pris en faute :« – Euh oui, désolé. »« – Pas grave. Allez dodo, maintenant. »Elle s’endort et je la regarde. Cette histoire prend une tournure bizarre… Il me prend l’envie de tout rétablir en la violant, là maintenant. Mais j’ai l’impression que ça ne résoudrait rien, bien au contraire. Alors je me contente de regarder ton corps en attendant ton réveil…
—– Nadine —–
Je ne dormais pas. Je vous tournais le dos. J’avais les yeux fermés. Je réfléchissais. Comment allais-je pouvoir me sortir du merdier où je m’étais mise…
Première solution : je lui dis merde tout de suite et je me tire comme j’en ai envie. Mais il serait bien capable de mettre sa menace à exécution et de placarder mes photos dans l’atelier de mon père. On ne me voit que moi, pas lui ! La honte ce serait pour moi et pour mon père. Non, je ne peux pas courir un tel risque.
Deuxième solution : me laisser faire… Mais jusqu’où ira-t-il ? Il va me baiser comme bon lui semble. Pour l’instant, il m’offre des robes mais après ? Il va continuer son chantage. Il me traite comme une pute et il va en vouloir de plus en plus. Je repense à ce que m’a dit votre chauffeur. Il ne manquerait plus que vous me tapiez dessus pour prendre votre pied. Ce serait un cauchemar !
Oh Ben, comme j’aimerai être là avec toi dans un lit, avec toi et pas avec ce gros porc. Oh Ben prends moi dans tes bras… C’est votre main que j’ai senti sur mon épaule. J’ai tressailli mais je n’ai pas bougé. Votre main est descendue lentement sur mon bras puis vous l’avez glissée sur ma hanche. Vous êtes arrivé jusqu’à ma fesse droite. Vous l’avez caressée. Vous étiez en train de vous appropriéer mon corps. Vous vous amusiez avec mon anus. Je ne voulais pas voir votre regard. Je ne bougeais pas.
Une troisième solution. Vite une troisième solution, sinon je vais me faire bouffer par vous. Quelle connerie la première fois que j’ai acceptée de vous voir. Vous avez mis de la salive sur votre doigt pour essayer de me le mettre dans l’anus. Vous avez écarté mes cuisses pour me caresser la chatte et constater que je mouillais. Je m’en voulais de mouiller ainsi mais c’était plus fort que moi. Dès que quelqu’un me triturer… Et pourtant, ils n’étaient pas nombreux à le faire. Non, je n’étais pas une pute.
Il y avait ces photos ! Comment ai-je pu me laisser aller ainsi. J’étais saoule, oui mais quand même. Les photos… Les photos… Les photos… Mais oui ; je l’avais ma troisième solution. J’ai ouvert les yeux et je me suis retournée vers vous en m’étirant.
« Je crois que je me suis un peu endormie. C’était bien François, c’était très bien. Tu m’as fait jouir. Et excuse moi pour mes bouderies de tout à l’heure. Tu sais, ça ne parait pas comme ça mais je suis très timide et puis toi tu es si sûr de toi… Il faudrait que je rentre maintenant… »
Vous vous êtes levé pour aller prendre une douche. Je me suis alors mise à quatre sur le lit. J’ai posé ma tête sur l’oreiller. J’ai écarté mes cuisses. Avec mes mains, j’ai écarté mes fesses. Je vous ai regardé.
« François attend. C’est pour toi tout ça, je te le promets. Pas ce soir, je ne suis pas prête mais tout ça c’est pour toi. Prends moi en photo, c’est mon gage pour toi. Oh François… François… François…. »
Vous avez pris votre téléphone. Vous l’avez mis en position appareil photo et vous avez pris une photo d’un air dégagé comme si je ne vous intéresse pas. Vous êtes entré dans la salle de bain. Je me suis levée et je me suis précipitais sur votre téléphone.
Vous êtes sorti de la salle de bain avec une serviette autour de la taille : « Alors Jessy tu n’es pas encore prête ? Tu vas te faire gronder par tes parents…
– Viens voir ce que j’ai reçu sur mon téléphone ! »
Vous vous êtes approché de moi pour regarder. Vous avez vu la photo que vous veniez de prendre. C’était vous qui me l’aviez envoyée. Il y avait un message « J’ai bien aimé t’enculer ma salope de Jessy. Tu viens de sauver le poste de ton père. François. »
Vous aviez l’air abattu.
« Un point partout, mon cher François. Tu peux bien placarder ma photo où tu veux, tu te rends bien compte de ce que je peux faire avec ce message, hein ? Détournement de mineure, menaces, etc.– Que veux-tu ?– Moi, rien, rien du tout, juste que tu ne me prennes pas une conne, d’accord ?– D’accord !– Mais que vas-tu faire maintenant ?– Rentrer chez moi, seule, tu vas me payer le taxi, d’accord ?– D’accord !– Et puis après on verra. Disons que demain 14 heures, je me pointe chez toi et on discute, d’accord ?– D’accord ! »
Jessy 4*
Bientôt quatorze heures. Je tourne comme un lion en cage. Tu vas comprendre, sale chienne. Aujourd’hui tu vas souffrir !Tu arrives. Ta démarche est fière. Tu dis :
« – C’est joli chez vous. »Je grommelle :« – C’est sur que ça doit te changer de ton taudis. »Tu t’assoies. Moi aussi. Tu commences alors :« – Bien je pense que nous pouvons commencer nos négociations… »Je te coupe :« – Pas de négociations. Tu vas te mettre sur les genoux sur le fauteuil où tu es et je vais t’enculer. »Tu es abasourdie :« – Mais… Et les photos… »« – Quelles photos ? »Tu sors ton portable, énervée :« – Je vais vous rafraichir la mémoire ! »Tu l’ouvres puis commences à chercher. Tes sourcils se froncent. Je sens que tu as envie de pleurer.« – Un problème, petite pute ? »« – Mais… Mais… »« – Tu te rappelle du portique de sécurité à l’entrée ? »« – Oui. »« – Disons que j’ai donné des instructions pour le modifier légèrement. Il a maintenant tendance à effacer les mémoires de tout ce qui est électronique… »« – J’ai… J’ai sauvegardé le message sur mon ordinateur. »« – Rien à foutre. Tu as juste une photo de la pute que tu es et un message d’un certain François. Pas de numéro d’origine. »« – Je dois pouvoir récupérer les données ! Vous avez bien réussi à avoir mon numéro ! »« – En effet. Moi je peux. Pas toi. Si tu es gentille je ferais le nécessaire pour que tu puisse récupérer ta liste de contacts et autres. Bref tout ce qui ne me concerne pas. Je suis pluttôt gentil, hein ? »Tu sanglotes. Je dis simplement en remplissant un verre de whisky :« – Chiales pas, tu vas juste te faire défoncer le cul. Ah, c’est sur que j’y irais pas de main morte, on se fout pas de ma gueule comme ça. Mais bon, Je te prendrai qu’une fois, pour t’apprendre. J’ai vu combien tu pouvais être pute et cela me plait. Alors il suffira d’être gentille à l’avenir et on pourra reprendre notre petit jeu. Tu vois, c’est pas si terrible. »Un silence s’installe. Je joue avec les glaçons dans mon verre. Je sors ma queue déjà dressée et dis :« – Allez, en position. »« – Mais, votre femme de ménage. »« – Ne t’inquiètes pas, Anita en a vu d’autre. »« – Je… Non, s’il vous plait. »Je m’impatiente. Je me lève et te force à te mettre en position, je descend ton pantalon et ton slip. Je glisse mon gland dans ton cul :« – Umm… Il est très serré. Tu vas avoir très mal ma belle. Je vais adorer. »Je force, tu hurles, je force encore. Enfin je ressors et vais m’asseoir :« – Vraiment trop étroite. Bon l’alcool à l’air de te faire de l’effet. »Je te tend le verre de whisky :« – Bois. »« – Non… »« – Bois ! »Tu t’exécutes. Je t’en verse un deuxième. Tu te forces à l’avaler aussi. Tu tousses.« – Un dernier pour la route… »Tu sens déjà l’effet de l’alcool. Tu n’essaies même plus de refuser. Tu es assise face à moi, le pantalon et le slip sur les chevilles. Tu renifles comme une gamine.« – Bon maintenant on va attendre que l’alcool fasse effet. Anita ? »« – Oui, Monsieur ? »« – Montres-lui comment travailles une vraie pute. »« – Vous voulez que je lui montres comment on se fait déchirer le cul avec plaisir ? »« – Non, ça elle le sait je suis sur. Elle le cache juste. Suces-moi juste pour me faire patienter. J’ai envie de réserver la primeur de ma queue à notre invitée. »« – Elle a bien de la chance… Tarif habituel. »« – Bien sur. Vous verrez ça avec le Maître d’hôtel. »Anita s’active alors à me lécher et me sucer avec sa ferveur habituelle.« – Oh, c’est bon… Tu te débrouilles super bien ma belle. »Je vois que tu commences à te caresser… Mais c’est pas vrai d’être aussi chienne ! En tout cas l’alcool marche bien, c’est bon à savoir.« – Arrêtes, Anita. Tu vas me faire éjaculer et je veux lui remplir son anus de foutre chaud. Va plutôt faire mouiller notre invitée, je suis sur qu’elle est déjà très chaude. »« – Bien sur. Et ce sera gratuit pour vous. »« – Merci. Je m’en rappellerai la prochaine fois qus je te baiserai. Je t’honorerai bien. »« – Vous m’honorez toujours bien. »« – Flatteuse… »Je lui donne une tape sur les fesses et elle s’accroupit entre tes jambes. Tu lui caresses les cheveux alors qu’elle écarte ta chatte.« – Mais c’est qu’elle mouille déjà, la demoiselle ! »« – Tu peux l’appeler grosse pute, Anita. C’est vrai, elle mouille ? »« – Oui, regardez. »Elle écarte bien ta chatte et tu soulève toi même ton haut pour que je vois mieux. Tu es en effet très humide.« – Et bien… Essayes-son cul, Anita. »Elle plante un doigt. Puis essaie d’en mettre un deuxième. Tu pousses un petit cri et ferme les yeux en te caressant les seins.« – Ne vous inquiétez pas, Monsieur. Elle est encore bien étroite, elle va bien sentir votre queue la déchirer. »« – Bien alors allons-y. »Ta voix s’élève alors, à ma grande surprise :« – Non, lèches moi avec Anita d’abord. Le cul aussi, plantez moi vos langues dans le cul. »Je suis estomaqué. Je m’apprête à te gifler mais tu me regardes comme une chienne en chaleur, suces tes doigts et sors un de tes seins de ton haut en en caressant le téton. Je suis paralysé par le désir. Quelque chose en moi me force à t’obéir. Je m’accroupis. Anita demande, interloquée :« – Vous ne l’enculez pas, Monsieur ? »« – Tais-toi, Anita. On va bien la lécher tout les deux d’abord… »
Après ça tu m’a fait sucer tes tétons, on s’est embrassé et tu m’a offert ton cul sous les caresses d’Anita. Je t’ai prise très fort. Tu as eu très mal mais tu hurlais tellement fort ton plaisir que je n’en ressentais aucun soulagement. Quand tu es partie tu étais toujours bourrée. J’ai demandé à Justin de t’accompagner. J’avais gagné aujourd’hui. Je t’avais déchiré l’anus et tu étais maintenant en mon pouvoir. Mais cette victoire avait un goût de défaite. Je me suis servi un whisky et ait donné sa journée à Anita après qu’elle m’ait taillé une pipe.
—– Elle —–
J’étais dans un beau pétrin et je ne voyais pas comment m’en sortir. Bien au contraire, je m’enfonçais de plus en plus.
Le dimanche soir, je suis rentrée chez moi. J’avais si mal au cul que j’avais du mal à marcher. Je puais le whisky. J’ai pris une douche et je me suis couchée. Aussitôt, j’avais un message sur mon portable me demandant de venir vous voir chez vous, le lendemain à 19 heures. Vous précisiez que si je voulais avoir moins mal, je n’avais qu’à apporter du gel. Vous vous êtes mis à rire et vous avez terminé en souhaitant une bonne nuit à la petite salope.
Lundi, j’ai eu du mal à émerger de mon lit. J’ai traîné dans ma chambre jusqu’à midi. Je n’avais pas faim. Mon frère et ma sœur faisaient du bruit. Je ne supportais pas. J’ai appelé Ben et nous avons discuté. je ne lui ai rien dit mais il m’a trouvé triste. On s’est retrouvé en fin d’après-midi. Il avait trouvé du boulot dans une usine près de la votre. On a été boire un pot. Il a essayé de poser sa main sur mon épaule, j’ai sursauté. Il a voulu m’embrasser, je n’ai pas voulu. Ce n’était pas mon habitude. J’étais anxieuse et je regardais tout le temps ma montre. A 18 h 15, je lui ai dit que je devais partir et je suis partie sans même l’embrasser. Sur le chemin, je suis entrée dans une supérette pour acheter du gel intime. Il n’y en avait pas. J’ai dû faire la queue dans une pharmacie. A ma chance, je suis tombée sur une jeune nana qui m’a fait un clin d’œil en me servant. Ah, si elle savait…
A 19 heures piles, j’étais chez vous. Vous m’avez félicité de ma ponctualité.
« Désolé, ma Jessy, je n’aurai pas beaucoup de temps à te consacrer ce soir. Va te mettre en position contre la table, t’as pensé au gel ?– Oui…– C’est bien, t’es une bonne salope, tu t’en mets toi-même, on va voir si je peux m’enfoncer mieux dans ton cul ! »
Je n’ai pas répondu. Je me suis dirigée vers la table. Mon cœur battait fort et je me sentais mal. Je vous tournais le dos. J’ai baissé mon pantalon jusqu’aux jambes. J’ai hésité mais je ne l’ai pas enlevé complètement. J’ai baissé ma culotte. Je me sentais minable. J’ai pris du gel dans le tube et je me suis lubrifiée l’anus. Je me sentais minable. Vous m’avez plaquée contre la table et vous m’avez enculé aussi sec. Vous avez quand même dû forcer. J’ai serré les dents. Une fois en moi, vous avez pu glisser comme vous vouliez. Vous avez pris votre pied en me tirant par les cheveux et en m’insultant. J’attendais que ça se passe. Vous vous êtes retiré de mon cul, vous m’avez mise à genoux face à vous. votre sexe a envahit ma bouche : mélanges de goûts et d’odeur. J’ai attendu encore que ma bouche se remplisse de sperme.
J’ai fini par me relever. J’ai préféré avaler que de garder votre sperme dans ma bouche. J’étais debout, pantalon et slip sur mes pieds. Vous m’avez regardé fixement. Je n’ai pas osé remonter mon pantalon. Vous vous êtes assis dans un fauteuil.
« Tu reviendras demain à la même heure, c’est compris ?– Oui…– J’aurais plus de temps pour m’occuper de toi, contente ?– Oui…– N’oublie pas que tu es ma chose, tu n’as rien contre moi et moi j’ai tout pour te faire obéir, consciente ?– Oui…– Sache aussi que j’ai mis ton téléphone et celui de tes parents sur écoute…– Ah bon, mais comment avez-vous…– J’ai des amis très bien placé tu sais, donc je peux suivre toutes conversations…– Vous êtes un curieux, un pervers…– Jessy, je ne veux plus que tu voies ce petit con de Ben !– Mais ce n’est pas…– C’est un petit con et tu ne le vois plus, compris ?– Bien…– Demain tu restes toute la journée chez toi et tu te pointes ici à 19 heures comme aujourd’hui, ok ?– Ok !– Tu m’enverras un message Internet toutes les heures dès 8 heures. Allez maintenant déguerpi, je t’ai assez vue ! »
J’ai fini par remonter mon slip et mon pantalon. J’avais vraiment envie de pleurer. Je me suis retenue. au moment de partir, vous m’avez rattrapée et vous m’avez prise dans vos bras, vous m’avez serrée. Vous avez caressé mes cheveux puis vous vous êtes laissé glissé à mes pieds. Vous étiez à genoux et vous m’avez embrassé le bas ventre.
« Va t-en vite Jessy ! »
Je vous ai laissé à genoux et je suis partie en courant. Il était à peine 20 heures quand je suis rentrée chez moi. J’ai dû rester à table avec mes parents, mon frère et ma sœur. Un moment, mon père a parlé de sa boîte et de ce salaud de patron. J’ai avalé de travers.
J’étais dans ma chambre, sur mon lit. J’étais comme dans une prison. Je ne pouvais pas téléphoner, je ne pouvais par utiliser Internet sans que vous sachiez ce que je faisais. J’étais opprimée.
Le lendemain, c’est la sonnerie de mon téléphone qui me réveilla. C’était vous : « Alors Jessy, tu as vu l’heure ?– Non, pourquoi ? je dormais !– Il est 8 h 10 et tu devais m’écrire à 8 heures et 8 heures c’est 8 heures précises, je veux savoir que tu es bien chez toi et pas ailleurs, lève toi et écris moi tout de suite puis toutes les heures sinon gare à tes fesses ce soir ! »
Vous avez raccroché. J’étais en chemise de nuit. J’ai allumé l’ordinateur et je vous ai envoyé un message. J’ai été prendre le petit déjeuner. Je me suis habillée d’un jean et d’un débardeur, selon mon habitude. Il était neuf heures. Je me suis installé devant mon ordinateur et je vous ai envoyé un message vous disant juste que j’étais encore chez moi. J’ai vaqué à mes occupations. Il faisait beau mais je n’avais pas envie de sortir.
A 10 heures moins dix, vous m’avez appelé.
« Salut Jessy, tu fais quoi ?– J’allais faire une lessive dans la machine à laver…– Bonne occupation, dans ton message de 10 heures envoie moi une photo de toi devant ton lave-linge !– Mais comment ?– t’es seule chez toi ?– Non il y a ma sœur…– Elle a quel âge ?– 13 ans…– Alors elle doit savoir prendre des photos, demandes lui vite de le faire tu n’as plus que sept minutes. »
J’ai dû demander à ma sœur Claire de me prendre en photo. Elle m’a posé plein de questions. J’ai menti. Elle m’a demandé si je voulais qu’elle me prenne à poil. Je lui ai dit que non. Une photo habillée suffirait. Elle a haussé les épaules. Je vous ai envoyé la photo avec le message de 10 heures. En réponse, vous m’avez écrit que je n’étais pas assez souriante et qu’il fallait que je recommence. Alors, j’ai rappelé Claire pour qu’elle fasse une nouvelle photo. Elle était curieuse et je l’ai engueulée. Je devenais nerveuse. Je vous ai envoyé la photo avec le message de 11 heures. J’ai continué à vous envoyer des messages toutes les heures mais je n’ai pas eu de réponses. Je n’ai répondu à aucune des personnes qui m’appelait sur mon portable.
Il y avait des embouteillages et le bus a mis plus de temps que prévu. A 19 h 10, je sonnais à votre porte.
Jessy 5*
J’ouvre la porte moi-même. Je suis de mauvaise humeur.« – Et bien, tu m’as faite attendre, allez, à ta place habituelle ! »Tu te mets sur la table, baisse ton pantalon et ta culotte et attends.
« – Qu’attends-tu pour te préparer ? »« – Pas besoin de gel. Je vais avoir mal de toute manière… »« – Tu es sure ? »« – Oui, oui. Allez-y, enculez-moi, qu’on en finisse. »Tu es avachie sur la table. Je m’approche doucement. Et je te prends. Tu pousses un cri. Mais c’est tout. Même quand je te lime vigoureusement tu te contentes de serrer les dents. Tu es complètement amorphe. J’ai l’impression de baiser un cadavre. Tu es tellement molle que je panique, te secoue :« – Jessy, Jessy ! Ca va ? »« – Umm ? Vous avez fini ? Vous voulez que j’avale votre sperme ? »« – Hein ? Euh, non, pas encore. Mais je m’inquiétais. Tu ne réagissais pas. »« – Bah. Je suis juste une pute. Faut pas vous inquiéter. »« – Ah… »Je recommence à te prendre. Mais ton manque de réaction me coupe l’envie. Je débande. Je vais m’asseoir sur le siège en rangeant ma queue. Tu restes sans bouger. Enfin tu lèves la tête et tu dis :« – C’est fini pour aujourd’hui ? »Je grommelle :« – Oui. Vas t-en. »Tu murmures comme pour toi même en te rhabillant :« – C’était pas mal au début François… je veux dire j’ai aimé vous sucer au restau. Et quand vous m’avez prise à l’hôtel. Même quand vous m’avez sodomisée avec votre femme de ménage c’était bien. Bon j’étais bourrée aussi, ca aide… Mais là je n’ai même plus droit à des petits cadeaux. Juste des coups de bites dans l’anus. C’est pas drôle… »Je ne dis rien. Tu t’apprêtes à partir. Je demande :« – Il baise bien Ben ? »« – C’est pas l’extase mais il se débrouille. »« – Je te ferais oublier ce petit con. »« – Si vous le dites… »Tu commences à t’en aller et demande machinalement :« – Demain même heure ? »Je réponds sans conviction :« – Oui, oui… »J’écoute le bruit de tes talons sur le carrelage puis je me lève d’un bond, te rattrape et te saisis par le bras. Tu n’a même pas une réaction de recul, pas l’ombre de la peur que je te viole encore plus :« – Oui, François ? »« – Viens à 17h demain. On fera les boutiques. »« – Ah. Si tu veux. »Tu n’as pas l’air emballée…« – Je te ferais plaisir, tu verras. Je te mériterai ! »« – Oui, oui, bien sur. »« – Oh, et c’est plus la peine de m’envoyer des messages toutes les heures, de toutes façons je n’ai lu que les premiers. »« – Ah. »« – Et je te fais confiance. »« – C’est gentil. »Tu dis ça sur un ton tellement neutre que cela n’a pas de sens. Je me sens profondément frustré de mon incapacité à t’atteindre.« – Tu viendras, hein ? »« – Je sais pas… Je pense. J’amène du gel ? »« – Hein ? Euh, non. Enfin si… Enfin j’en ai moi de toutes façons. De la meilleur qualité. Et puis je te le mettrai. Ou je demanderai à Anita ! »Tu demandes :« – Pourquoi pas à Justin ? »« – Justin ?!? »« – Oui, il est mignon. »« – Euh… Ah. Si tu le dis. Je verrai. »« – Ce serait cool. »« – Bon alors à demain. »« – Oui. peut-être. »Je te regarde partir avec la vague impression que quelque chose d’important est en train de m’échapper. Que je suis en train d’expérimenter quelque chose de nouveau : la perte de contrôle. Bizarrement cela m’excite. J’ai appelé Anita. Elle a eu un sacré pourboire ce jour là…
—– Elle —–
J’ai encore passé une journée entière à me morfondre dans ma chambre. Et puis, ce fut l’heure. Je me suis habillée et je suis partie, résignée. Vous aviez parlez de courses et de vêtements mais je ne savais si je devais vous croire. Je ne savais pas ce qui m’arriverait encore : Me faire enculer et vous sucer certainement avant de rentrer chez moi. Je ne répondais plus au téléphone depuis 3 jours. Je ne répondais pas non plus mes messages internet.
A 17 heures, j’étais chez vous et vous sembliez de mauvaise humeur : « T’es encore en pantalon ! Y en a marre de te voir fagotée comme ça. Je vais changer ça, moi. Tu vas devenir une véritable petite pute. Compris ? » Je vous regardais sans répondre.
« Enlève ton pantalon, Jessy, et viens me voir. » Docilement, je retirais mon pantalon sans me presser. Je le pliais et je le rangeais tranquillement sur une chaise. Je m’approchais de vous quand vous m’avez saisi le poignet et entraînée vers vous. Vous m’avez allongée sur vos genoux. Vous avez posé votre coude sur mon dos et votre main sur ma hanche. Vous m’avez immobilisée. Vous avez commencé à me frapper avec l’autre main sur mes fesses.
« Jessy, je vais te montrer qui est le vrai Maître ici ! » Votre main s’abattait sans arrêt sur mes fesses. Ça me faisait mal et j’ai poussé quelques cris. Vous vous êtes arrêté. Vous avez tiré sur mon slip pour le rentrer dans la raie de mes fesses. Vous avez caressé le haut de ma cuisse. Vous avez repris les coups à cet endroit. J’ouvrais grand la bouche pour ne pas crier. Vous me faisiez très mal. Et vous avez continué à me frapper méthodiquement. Vous avez baissé ma culotte jusqu’aux genoux et vous avez continué encore et encore. J’avais mal et j’étais humiliée. Je me suis promise de me venger. Oui un jour je me vengerai !
Mes yeux étaient encore plein de larmes quand Justin m’a ouvert la portière de la voiture. Il me regarda et j’ai haussé les épaules. Je me suis sentie encore un peu plus humiliée. Je suis montée à l’arrière à côté de vous. Vous ne disiez rien. Premier magasin : quelques fringues sages, des robes, une petite jupe écossaise de collégienne, un chemisier. Je ne fermais même plus le rideau quand je passais dans la cabine pour essayer. D’autres clients s’en étaient aperçus. Je vous parlais d’une voix suave si ça vous allait comme tenue. Vous en avez eu assez, vous avez payé et on est parti.
Nous sommes passés dans un magasin de lingerie érotique. Vous m’avez demandé ma taille en sous-vêtements : « 36 pour les culottes et 90 b pour les soutiens-gorge » Vous avez choisi plusieurs ensemble slip / soutien-gorge et vous m’avez poussée vers la caisse. Vous avez payé. On est passés dans un autre magasin du même genre. Vous avez choisi deux guêpières. Vous me les avez montré devant tout le monde. Vous avez choisi une robe très courte et moulante : « Met là et ne met rien en dessous. Prends ces chaussures. » J’ai fait ce que vous avez dit. J’avais du mal à marcher avec ces talons aiguilles. Je tenais mes anciens vêtements à la main. Vous les avez fait mettre dans un sac sauf ma culotte que vous avez tenue en main et vous m’avez frotté la joue avec devant les deux caissières qui se contenaient de pouffer de rire.
Nous avons repris la voiture. Justin s’est arrêté devant un sex shop. Nous sommes restés seuls à l’arrière de la voiture et vous en avez profitez pour me caresser les cuisses remontant jusqu’à mon sexe. je me laissais faire mais vous sentiez que je me forçais. Alors vous avez baissé la tête et vous avez embrassé mes genoux jusqu’à ce que Justin revienne. il avait un sac à l’enseigne du sex-shop qu’il déposa dans le coffre avec les autres sacs.
Nous nous sommes retrouvés au restaurant, le même que l’autre soir. Je me sentais plus à l’aise. Je buvais la première coupe de champagne d’un trait, puis la deuxième pareil et la troisième aussi. J’en buvais une quatrième et une cinquième. J’étais bien. Vous parliez lentement, je vous entendais à peine. Je me suis mise à rire :
« Tu te rends compte François de tout ce que tu dois faire pour me baiser…– tu en vaux la peine Jessy !– Il te plait tant que ça mon cul ?– Oui !– Quel aveu : Et tu nous préparas une soirée d’enfer, c’est ça ?– Ça dépend de toi…– De moi ?– Oui, dis moi ce qui te ferait plaisir…– Maintenant ?– Oui, tout de suite, là ! »
Je réfléchi un peu puis je fais une petite moue.
« Là, je n’ai pas de culotte et, toi, tu en as une ?– Oui bien sûr !– Et bien je veux qu’on dîne à égalité, enlève ton slip et donne le moi !– Ici ?– Je t’autorise à aller aux toilettes, tu connais, n’est ce pas ?– Oui…– Alors tu y vas, t’enlève ton slip et tu me le donnes. Si tu le fais, je serai super sympa avec toi cette nuit. Alors ? »
Jessy 6*
Je me lève et vais aux toilettes. J’hésite un peu mais je finis par ôter ma culotte. Je la fourre dans ma poche puis reviens. Je te glisse discrètement la culotte et m’assoie. Tu dis :« – Voyons voir si tu as du goût en matière de slip… »Tu t’apprêtes à lever ma culotte à la hauteur de tes yeux mais j’arrête ta main et la bloque sur la table. Tu souris et dis :
« – Oh, comme tu es romantique, François, me tenir ainsi la main… »Je rougis malgré moi. Je veux la retirer mais tu dis :« – Non. Sois un vrai gentleman : caresses-moi la main en me disant des mots doux… Sinon je finirais ce que j’avais commencé. »Je me maudis d’être entrée dans ce jeu. Mais je suis excité malgré moi. Je lui caresse doucement la main et lui sors les banalités que l’on sort au femmes dans ces moments là. Enfin je porte sa main à mes lèvres en la fixant des yeux. Ma culotte est sur la table, au vu et su de tout le monde. Mais c’est l’occasion de la récupérer. Je m’apprête à la récupérer mais tu appuies tout à coup ta chaussure à talon sur mon entrejambe. Tu en profites alors pour récupérer la culotte et la mettre dans ton sac. Tu caresses mon sexe :« – Dis moi, François, tu as l’air bien dur… C’est juste l’idée de m’enculer ce soir qui te fait bander ainsi ? »« – Bien sûr ! Quoi d’autre ? »Tu ne réponds pas mais je lis dans ton regard que tu sais qu’il y a autre chose. Et tu as envie d’en profiter. Et moi aussi, j’en ai envie…« – Mets-toi pieds nus. »« – Hein ? »« – Juste un pied suffira. Obéis. »« – Bien, bien… »J’obtempère. Tu souris, victorieuse, ton pied continue ses caresses plus ou moins brutal :« – Tu es vraiment très raide, François, c’est bien. Tu dois te sentir à l’étroit … »« – Un peu, oui… Peut-être pourrais-tu me soulager ? »« – On verra. Tu sais moi aussi je suis très excitée. Je mouille. Tu veux vérifier ? »« – Oui, bien sûr, petite pute. »Tu fronces les sourcils, ton talon aiguille s’enfonce dans mes couilles, je réprime un hurlement. Puis tu continues tes caresses, un peu plus fermement :« – Un peu de tenue, mon cher. On ne traite pas une dame ainsi… »Bordel, comment cette petite salope ose t-elle me parler ainsi ! Je pourrais te forcer à aller dans les chiottes et t’enculer de suite. Mais je dis simplement :« – Excuses-moi. Tu me plais tellement, tu comprends. »« – Vouvoies moi s’il te plait. »« – Hein ? Mais, ca va pas ! Tu… »Nouvelle pression sur mes bourses. Je serre les dents et grommelle :« – Bien. Excusez-moi, Milady. »Salope ! Comment une sale chienne, fille d’ouvrière, ose t-elle me traiter ainsi ! Et pourquoi cela m’excite t-il malgré tout ?« – Milady… Oui, j’aime bien ce nom. »Tu restes pensive et ajoute enfin :« – Tu veux vérifier que je suis bien humide pour toi, mon petit ? »Mon petit ? Mais pour qui me prends tu ?« – Euh, oui. »« – Oui, qui ? »« – Oui, Milady… »« – Bien, alors utilises ton pied, je t’y autorise. »Je n’hésite pas et je sens que tu écartes tes cuisses pour accueillir mon pied. Je sens ta vulve contre mes doigts de pied. C’est très humide, cette sensation est exquise…« – François, je crois que c’est trop humide, je vais tâcher ma robe… Tu vas venir avec moi. J’ai besoin d’être léchée. »Je ne réfléchis même pas et acquiesce. J’oublie presque de remettre ma chaussure. Je te suis et veux t’entrainer dans les toilettes des hommes. Tu dis juste :« – Non, celle des femmes. »« – Ah bien… Milady. »Tu souris.
Nous entrons alors dans les toilettes des femmes et tu t’installes sur le lavabo. Tu soulèves ta robe et te caresse la chatte :« – Tu aimes ça, mon beau ? »« – Oh oui, Milady. »Je sors mon sexe et me place entre tes cuisses. Tu me repousses :« – Non. Tu me lèches, c’est tout. »Je réprime une envie de te gifler. Mais ton regard me fige :« – Je… Bien, Milady. »Je m’agenouille et commence à délicatement goûter ta fleur. Tu pousses un petit gémissement :« – Bien, très bien… Ta Milady est contente de toi… »Manquerait plus qu’elle ne sois pas heureuse cette petite traînée ! Tu devrais être à mes pieds, pas l’inverse ! J’entends que tu dégage tes seins et te caresses. Je regarde ta poitrine et mes mains montent vers elle. Tu me donnes une claque sur les mains :« – Occupes-toi juste de ma chatte. Tu n’es pas autorisé à toucher mes seins, ni même les regarder … »J’ai très envie d’arrêter ce petit jeu, de me relever et de te violer. Mais quelque chose me pousse à obéir… Et à aimer ça. Je continue donc mes caresses en faisant de mon mieux pour te contenter.
Une femme entre alors. Elle reste figée puis s’apprête à ressortir sans mots dire. Mais Jessy lui dit :« – Ne vous gênez pas pour nous… »« – C’est que… »« – Vous voudriez que mon petit François vous lèche aussi, peut-être ? Vous savez il se débrouille bien. »Son petit François ? Mais… Tu es malade ! Je n’arrive pas à me révolter… Je ne comprends plus…« – Euh, c’est à dire… »« – Oh, j’ai une idée. Vous n’avez qu’à faire votre petit besoin et après il vous essuiera… Ca serait excitant, non ? »Elle ne va quand même pas accepter ? Que tu sois une perverse, passe encore, mais on est dans un grand restaurant. La fille répond :« – Oui, pourquoi pas. »Je n’en reviens pas. Je dis :« – Non, mais ça va pas ! »Tu me grondes :« – Je parle avec la dame, ce n’est pas une raison pour arrêter de me lècher ! »« – Euh… Bien, Milady. »« – Bien. Vous nous prévenez quand vous aurez besoin de mon chevalier servant, d’accord ? »La fille est très gênée. Mais aussi terriblement excitée. Si ça se trouve c’est une escort qui doit plutôt être habituée à se plier au plaisir de ses clients que d’avoir un riche homme d’affaire à sa disposition… Ou une gentille secrétaire qui s’offre à son patron. Ou même une épouse rangée…« – Euh, oui… »Elle se dirige vers les toilettes et s’apprête à refermer la porte. Tu lui dis :« – Pas la peine, laissez la porte ouverte, on est entre nous. »Quelle perverse tu fais… J’entends la femme faire son besoin alors que je continue à te donner du plaisir. Enfin le bruit d’écoulement s’interrompt. Tu me dis alors :« – C’était très bien, mon beau. Je suis très proche de l’orgasme, tu sais. Je pense qu’il viendra quand je te regarderai t’occuper de notre amie… Allez vas-y. »« – Bien, Milady. »Je me dirige vers les toilettes et m’accroupis face au sexe de l’autre femme. Tu te caresses en me regardant. Je m’apprêtes à prendre du papier pour l’essuyer. Tu ris :« – Voyons, François, ne sois pas bête ! Avec la langue… »« – Hein ? Tu es folle ! »« – Ne me parles pas sur ce ton et obéis ! »« – Je… Oui, désolé, Milady… »L’idée me répugne mais je n’arrive plus à te désobéir. Je commence à la lécher. Elle gémit de plaisir. Tu t’adresses à la jeune femme :« – Vous voyez qu’il se débrouille… »« – Umm… Oui… Je sens qu’il ne va pas essuyer que mon urine… »Tu souris :« – Bien sûr. Il lèche tout si je lui demande, n’est-ce pas, mon petit ? »Je ne réponds pas. Je boue intérieurement mais ne débande pas pour autant. Qu’est-ce que tu vas prendre une fois à la maison ! Enfin je t’entends avoir ton orgasme, assise sur le lavabo. Tu restes quelques instants à reprendre ta respiration puis tu remets ta robe et dis simplement :« – Bien. Moi je retourne manger. Toi tu restes ici jusqu’à ce qu’elle ait eu un orgasme. »Puis, t’adressant à la fille :« – Il fera ce que vous voulez. Il vous baisera quand et comme vous aurez envie. Si il est désobéissant ou même pas satisfaisant, venez me le dire. »Tu t’en vas alors me laissant avec elle.
Quand je reviens la femme me suit à distance. Elle s’avance vers toi et dis :« – Il a été très bien. J’avais envie d’être sodomisée et il a fait ça très bien, ce n’était que du plaisir. Vous pouvez être fière de votre amant ! »Tu me regardes avec un sourire en coin :« – Je savais que tu pouvais faire ça bien… Alors maintenant tu as intérêt à assurer, plus de médiocrité ! »« – Bien, Milady… »Nous finissons de manger. Je paies. Heureusement qu’il y a eu cette fille. J’ai du lécher son urine mais au moins elle m’a laissée me soulager en elle. Mais je bandes à nouveau. Il faut que je te possèdes, vite… J’entre dans la limousine et te tiens la porte. Tu dis simplement :« – Non, merci. Je vais à l’avant. »Et tu me laisses planté comme un imbécile avec ma portière. Et ma fellation ? Je vais quand même pas me branler à l’arrière de ma limousine ! Tu t’assoies à côté de Justin et lui adresse un sourire. Vous avez l’air complice… La voiture démarre.
Nous roulons en silence. Puis tu dis d’un coup, nonchalamment :« – Justin ? Tu n’as pas envie que je te suce ? »Il a du mal à ne pas faire une embardée :« – Hein ? Euh, je… »Tu sors tes seins, les lèche. Puis tu remontes ta jupe pour dévoiler ta chatte à nouveau trempée de désir. Tu t’étires langoureusement. Je trépigne, assiste impuissant au spectacle.« – Voyons, je suis sûre que tu en as envie… »Il rougit :« – Oui… Mais Monsieur… »« – Appelles-le François. Il n’y verra pas d’objection. »Tu te retournes vers moi :« – Hein, mon cher ? »Je grommelle :« – Non, non… Aucune objection… »« – Tu vois Justin ! Allez laisses toi faire… »Tu sors sa verge avant qu’il n’ait pu répondre et ses mots se perdent dans un râle alors que tu avales sa queue. Je suis hypnotisé par cette vision. Enfin tu te relèves en continuant à branler Justin. Tu me regardes et dis :« – Tu veux que je te suces aussi ? Je vais bientôt goûter le bon sperme de Justin, je le sens. »« – Bien sûr ! »« – Il faudra que tu fasses le chauffeur alors. Et Justin prendra ta place. Vous inverserez vos habits. Et il te traitera comme toi tu le traites. Et tu n’auras pas intérêt à te venger sur lui par la suite. Sinon tu peux dire adieu à mon cul ! »Ton cul ? je n’y ai même pas encore eu droit… C’est tout juste si tu vas me sucer comme c’est parti… Mais j’acquiesce en silence.« – C’est bien, mon beau. »Tu ajoutes, joviale :« – Et puis c’est normal qu’une fille d’ouvrière ne suce que des gens de sa classe ! Les patrons baisent plutôt les secrétaires… Enfin, peut-être que tu me trouveras un boulot de secrétaire… »Je ne réponds pas et tu recommences à sucer Justin qui ne tarde pas à venir dans ta bouche.
Tu restes un moment à lui lécher le sexe. Enfin la voiture se gare. Justin me rejoint à l’arrière et nous échangeons nos vêtements. Je m’assoie alors à l’avant. Je n’ai jamais conduis de limousine… Tu te caresses sur le siège passager. Justin dit alors :« – Et bien, François ? Qu’attends-tu ? Notre invitée s’impatiente ! »Je démarre. La voiture cale :« – Espèce d’imbécile ! Expliques-moi pourquoi je paie un incapable dans ton genre ? »Justin en profite. Toi tu jubiles sur ton siège. Je serre les dents et arrive tant bien que mal à démarrer. C’est vraiment dur à manier un engin pareil. J’en oublie pourquoi je me suis retrouvé ici. Et tu ne me le rappelles pas. Nous arrivons chez moi. Justin me dit :« – Bon, François, va garer la voiture. Et ne la rayes pas ! »Bien sûr que non que je ne vais pas la rayer… C’est MA voiture ! A l’entrée le gardien me regarde interloqué mais ne dit mot. J’arrive au garage. Comment on ouvre cette satanée porte ? Ah c’est automatique… Je me gare alors avec toutes les peines du monde. Je soupire. Et tout me reviens en tête. Tu m’as bien eue ! Tu ne m’as même pas sucée ! Je sors en trombe de la voiture et me dirige vers la maison, MA maison. Quand j’arrive au salon je m’apprête à m’énerver mais le spectacle que je vois me fige. Justin te baise sur le canapé. Je regarde sans bouger. Il t’éjacule dessus. Tu le lèche puis il range enfin sa queue et m’adresse un sourire goguenard :« – Bon, et bien je vous laisse, Monsieur. »Je l’attrape par le bras :« – Attends ! Mes vêtem… »Tu m’interromps :« – Oh, François, ne sois pas si mesquin… Et puis je t’aime bien en uniforme. »Tu es allongée sur le ventre et trémousse ton petit cul en guise d’invitation. Je laisse partir Justin. Je m’avance vers toi. Tu te mets sur le dos et mets en valeur tes courbes en t’étirant. Tu dis :« – Tu as envie de moi, François ? »« – Oui… Très envie. »« – Moi aussi. Tu te rappelles Ben ? »« – Le petit con ? Oui. »« – Tu as bien fait de me forcer à le larguer. Justin baise beaucoup mieux. »« – Ah… »« – Mais peut-être que toi tu peux encore mieux faire ? »Je te regarde. Mes yeux sont plein de désir. Je n’ai pas juste envie de te prendre. J’ai envie de te donner du plaisir, que tu ne puisses plus te passer de moi. Je commence à te caresser et dis :« – Oui, je suis sûr que oui… »Tu soupires et te laisses aller sous mes doigts…
—– Elle —–
Vous me caressez les seins et les cuisses. Je me laisse faire comme si vous ne faisiez rien. Je me concentre pour n’émettre aucun signe de plaisir, rien. Ça vous énerve. Je le sens bien et je continue mon petit jeu.
« Alors, on a du mal à faire jouir Milady ? Monsieur le directeur préfère s’en doute donner la fessée aux enfants de son personnel ? »
Vous ne répondez pas. De moi-même je me mets sur vos genoux. Je m’allonge sur le ventre, je croise mes bras devant moi.
« Vas-y frappe moi, je sens que tu en as envie ! »
Vous ne vous faites pas prier une deuxième fois. Vous n’avez pas grande chose à relever pour dénuder mes fesses. Votre main s’abat sur moi sans beaucoup d’intensité et pourtant je pousse un cri strident. Vous recommencez et je pousse un nouveau cri entre l’extase et la souffrance.
« Tu vas voir salope…– Oui fais moi voir !– Mais c’est que tu commences à aimer…– Oui j’aime tout ce que tu me fais ! »
Vous m’avez encore frappée deux ou trois fois puis vous avez caressé mes fesses et rabaissé ma robe. Vous m’avez mise à genoux. Vous avez pris mes épaules dans vos mains. Vous m’avez rapproché de vous.
« Et Justin ?– C’est… C’était… »
Je n’ai pas fini ma phrase. J’ai déboutonné votre pantalon. J’ai baissé la fermeture et cherché votre sexe dans le fond de votre caleçon. Je vous ai regardé en vous souriant. J’ai pris le bas de votre pénis entre mes doigts et je l’ai gobé. Je vous ai sucé lentement et avec minutie, relâchant votre sexe par moment, juste pour vous demandez si ça vous plaisait. Je léchais précautionneusement le gland. Mes doigts montaient et descendaient. Vous commenciez à prendre de la vigueur. Je faisais durer le plaisir. J’y prenais beaucoup de plaisir. Pas temps de vous avoir dans ma bouche mais parce que je vous sentais à ma merci.
Vous me caressiez les cheveux d’une manière très paternaliste. Vous me disiez que vous aimiez beaucoup la manière que je vous sucer et que je vous léchez le sexe. « A ton tour. Montre moi comme tu sais donner du plaisir ! » Je suis monter sur le canapé où vous étiez installé. Je me suis mise debout. Mes fesses étaient sur votre visage. Je me suis hissée sur la pointe des pieds et j’ai posé l’entrée de mon vagin sur votre visage : « Lèche moi ! »
Vous m’avez tenu par les hanches et j’ai senti votre langue sur mes lèvres intimes. « C’est tout ce que tu faire, vieux frustré ? ». Je me gardais de toute jouissance. Vous accélériez les mouvements de votre langue. je commençais à jouir pour de bon, je me contenais encore. J’ai baissé ma main droite et je me suis caressée le clitoris. J’ai fini par me laisser aller et à goûter le plaisir que vous me procuriez. Votre langue était dans mon vagin.
Je me suis retenue sur le dossier du canapé. Ma tête tournait : l’alcool et le plaisir se mélangeaient. J’ai fait l’effort de me pencher sur vous. Tout en laissant mon sexe à votre bouche, j’ai repris le votre dans la mienne. Vous me léchez et moi je vous suce et c’est à celui qui procurera le plus de plaisir à l’autre. Vous aviez abandonné mon vagin pour mes fesses. Le plaisir de chacun était extrême.
J’ai fini par m’empaler sur votre sexe, mon dos collé à votre ventre. Ma tête était penchée sur votre épaule. Vous me demandiez si j’aimais et je répondais oui en soupirant. Je continuais à me caresser le clitoris et je gémissais de plaisir. Je vous demandais à mon tour si vous aimiez et vous me disiez que oui.
Je me suis levée brusquement et je vous ai regardé. Je me suis mise à genoux devant votre sexe tendu.
« Vois-tu François, je ne sais pas si tu mérites de fourrer ton sperme dans ma chatte… »
Vous ne teniez plus. Vous avez pris votre pénis à pleine main et en deux coups vous vous êtes mis à éjaculer. J’ai léché le sperme qui sortait.
« Tu vois François, je sais être gentille, très gentille sauf que toi, t’es qu’un pauvre con de patron. Alors tu vois, si tu veux que je sois encore très gentille avec toi, je veux que tu me demandes pardon. Je veux que tu te mettes nu et à genoux et que tu me demandes pardon pour toutes tes méchancetés. Je veux que tu me demandes pardon et que tu me proposes un dédommagement. Je verrais alors si je veux encore être gentille avec toi… »
Jessy 7*
J’obtempérai sans même réfléchir : je voulais t’avoir à nouveau pour moi comme ce soir. Je ferais ce qu’il faudra pour ça. Une fois nu je me suis mis à genoux et j’ai dis :
« – Je te demandes pardon, Milady. Je t’ai sous estimé, je ne t’ai pas mérité. Laisses moi une autre chance. »« – Ah. Et pourquoi je ferais ça ? »« – Et bien… Et bien… Je pourrais t’acheter d’autres robes, ce sera toi qui les choisira »« – Pas très convaincant tout ça… »Une idée vite… Oui, voilà ! En plus ça fera enrager son père, à défaut d’avoir pu contrôler la fille…« – Que dirais-tu d’un boulot facile et bien payé ? »« – Continues. »« – Et bien tu pourrais être mon assistante particulière. »« – Tu veux surtout pouvoir me tirer quand tu veux, vieux sagouin. »« – Oui…. Enfin non. On baisera comme et quand tu veux. Si certains de mes clients ou des mes clientes t’attirent ou même un employé, je ferais ce qu’il faut pour qu’il soit à toi ! »« – Ca devient intéressant tout ça… Et mes études ? »« – Ne t’inquiètes pas, tu auras un emploi du temps on ne peu plus flexible. »Tu réfléchis, fais les cents pas en me laissant à genoux au milieu du salon. Anita entre et regarde le spectacle sans y croire. Elle ressort discrètement. Enfin tu dis :« – Bien, j’accepte. Oh, et apprends à mieux traiter tes employés ! Anita passe encore, elle aime ça, mais tu es injuste avec Justin ! »« – D’accord… »J’ai peur de la réponse mais je ne peux m’empêcher de poser la question :« – Tu vas encore baiser avec lui ? »« – Peut-être. Si tu n’es pas à la hauteur. »Je me jette à tes pieds, embrasse tes jambes en pleurant comme un gosse :« – Ne m’abandonnes pas, je deviendrai le meilleur amant du monde ! »Tu réponds simplement :« – On verra. Je passerais demain soir pour le contrat de travail. »Tu t’éloignes me laissant anéanti au milieu du salon. Je me blottis au sol en gémissant. C’est Anita qui est venue me relever. Elle m’a consolé. Je l’ai baisé très tendrement ce soir là, comme une porcelaine. Et elle n’a pas demandé de paiement pour ça.
Le lendemain j’avais repris mes esprits. Après un longue journée j’avais une dernière réunion très importante avec des actionnaires. Alors que nous discutions stratégies ma secrétaire est discrètement rentré et m’a soufflé :« – Il y a une jeune demoiselle qui fait du grabuge à l’entrée. Elle dit avoir rendez-vous… »Je fronce les sourcils :« – Une jeune demoiselle ? »« – Oui… Je crois que c’est la fille du délégué syndicale… »Jessy ! Je l’avais oubliée, quel imbécile ! Je me lève d’un coup et sors de la salle de réunion sans même une explication. J’entends vaguement que ma secrétaire invente une excuse bidon. Une histoire de famille… Je me rends à l’accueil et te trouves de fort méchante humeur. L’hôtesse parait terrifiée. Et c’est toi qui me donnait des leçons sur comment traiter les gens… Je m’approche :« – Jessy ? Excuses-moi, j’ai oublié de laisser des instructions ce matin. »« – Tu as OUBLIE ? Tu me déçois beaucoup François ! Je m’en vais ! »L’hôtesse d’accueil est abasourdie par la façon dont tu oses t’adresser à moi. Je n’en ai cure. Je t’attrape par le bras :« – Excuses-moi. Viens allons en discuter ailleurs. »Tu m’adresses un regard noir mais finis par accepter en rechignant.
Je t’emmène dans un bureau. Là je me jette à tes pieds et me perds en plates excuses. Tu me regardes. Puis tu t’assoies sur le bureau, fais glisser ta culotte et dis simplement en écartant les jambes :« – Lèches-moi. Je verrai alors si je te pardonne. »Je m’apprête à baisser le stores mais tu me dis :« – Non. Ce n’est pas nécessaire. »« – Mais… Si des employés… »« – Et bien comme ça ils sauront que tu es un vieux pervers… Et que tu m’obéis. »« – Je… Bien, comme il te plaira. »Je m’accroupis alors entre ses cuisses. Elle sont si belles… Je ne peux m’empêcher de les caresser, les lécher. Quand mes yeux se posent enfin sur ton intimité tu es déjà humide. Je lèche délicatement les pétales de ta fleur. Puis mes doigts les écartent, je t’effeuille délicatement. Tu as l’air d’aimer, tu te masses la poitrine. Je glisse mes doigts en toi tout doucement. Tu soupires. Je te lèche de plus bel, plante ma langue. Enfin tu me dis :« – C’est bien, mon petit François. Maintenant tu vas me prendre tout en douceur. »Tu te relèves, m’embrasses, sors ma queue et me branles un peu. Puis tu te retournes et poses tes mains sur la table. Je pose mon gland sur ta rondelle. Tu dis :« – Pas ici, mon beau, pas aujourd’hui. »Je suis frustré mais je te prends délicatement. Tu te penches plus en avant et m’encourage à plus d’ardeur. Je ne me fais pas prier. Tu pousses des cris de plaisir mais je ne m’occupe plus de mes employés, juste de toi. Enfin je jute en toi dans un râle. Nous restons enlacés puis tu me dis :« – Bien tu t’es fais pardonner. Allons s’occuper de ce contrat de travail. »« – Bien, je t’emmène chez les RH. »« – Non, tu t’en occupes personnellement. »« – Mais, j’ai une très importante réunion ! »« – Plus importante que moi ? »J’ai très envie de répondre que non, que je vais les envoyer au diable mais l’entreprise n’y survivrait pas…« – Je… S’il te plait… »« – Bien. Je vais être gentille. Tu vas garder ma culotte, je vais garder la tienne. »Ouf, un simple échange de culotte… Mais tu continues :« – Tu garderas ta braguette ouverte. »« – Hein ? Mais… »« – Et je t’accompagne à la réunion, sans culotte. »Je suis estomaqué, ne sais que répondre. Tu te contentes de tendre ta main :« – J’attends. »J’obéis. Après tout si je fais attention. Et puis ta jupe n’est pas trop courte on ne verra peut-être pas ta chatte. Rien que d’y penser je bande. Je pense alors avec horreur : mais si je bande LA ça va se voir que je n’ai pas de culotte et ma braguette ouverte ! Tu me regardes avec un sourire en coin :« – Un souci, mon cher ? »« – Non, non… »J’essaie de penser très fort à des choses bien barbantes pour ne pas bander. C’est loin d’être aisé avec toi à mes côtés.
Nous nous dirigeons vers la salle de réunion. Ma secrétaire n’est pas vraiment étonnée de me voir avec une jeune fille, même si je les préfère d’habitude plus matures. Elle est par contre très étonnée de me voir aller vers la salle de réunion en sa compagnie. Elle demande :« – Monsieur ? La réunion, n’est pas finie… »« – Je sais. »J’entre en essayant de ne cacher ma braguette avec ma veste. Je tousse puis dis :« – Messieurs, excusez du dérangement. Un problème avec la fille d’un ami. Elle assistera à notre réunion si cela ne vous gêne pas. »« – Mais, il y a des choses très confidentielles… »« – Je réponds d’elle. D’ailleurs elle sera bientôt mon assistante particulière. »Ils froncent les sourcils en murmurant. Une assistante, si jeune ? Une pute, oui. S’ils savaient… La réunion se poursuit malgré tout. Tu es derrière moi mais je sens bien que tu ne te gênes pas pour allumer les gens présents. Tu as même repéré un gars pas trop vieux et je crois bien que tu t’es arrangée pour qu’il voit bien que tu n’as pas de culotte… A la fin de la réunion tu lui fais un petit signe de la main et il t’adresse un clin d’œil. Tu t’approches de moi, me fais une gentille bises sur la joue comme si j’étais ton père et pas ton amant. Tu me dis alors :« – Bon, je te fais confiance pour le contrat. J’ai rendez-vous là. »Je grommelle :« – Oui, vas-y… »« – Oh, rends moi ma culotte. Et puis files-moi ta carte et ton code, dés fois que j’ai des dépenses imprévues. »J’obéis. Tu pars. Je me rappelle alors que tu as toujours la mienne de culotte. Et que tu vas probablement baiser avec cet actionnaire. Et me laisser seul. J’appuie sur l’interphone :« – Claire ? Venez me rejoindre en salle de réunion. J’ai besoin d’être sucé. »Elle est choquée. D’habitude je suis moins direct. Ne serais-ce que parce que d’autres personnes peuvent entendre au secrétariat. Ce soir je m’en fous. Elle demande :« – Votre jeune amie n’est pas avec vous ? »« – Non. Elle est allée se faire tringler par un jeune Golden Boy. »Silence je la sens gênée. Enfin elle dit :« – Vous voulez qu’on sorte après ? Ca vous fera du bien. Et puis on pourra faire plus de choses… »Une vraie crème cette fille. Mais dans quel merdier ai-je été me mettre avec cette Jessy ? Pourtant je n’arrive pas à me passer de toi. Je réponds simplement :« – Merci, Claire, mais une fellation suffira. Oh, vous pourrez partir après, je vous donne votre soirée. »« – Bien, Monsieur. Merci, Monsieur. »Je la sens un peu vexée. Il faut dire qu’elle espère toujours devenir ma femme. Peut-être, qui sait. En plus elle commence à me connaitre et n’aime pas que mon argent. Je fais tourner mon siège et regarde pensif par la baie vitrée en attendant son arrivée.
—– Elle —–
Golden boy ? Parlons-en. Il m’a emmenée dans sa voiture de sport. Nous avons roulé une bonne demie heure sur la voiture. C’est la première fois que je montais dans une décapotable. Il ne disait rien. Nous nous sommes arrêtés sur un restaurant d’autoroute. Ce n’était pas super, je m’attendais mieux. Un quart d’heure après, nous étions chez lui. Gros pavillon de banlieue. On est rentré et il m’a tout de suite dit : « A deux heures du mat, il faut que tu sois barrée. J’ai une importante réunion demain matin. » Il s’est aussitôt jeté sur moi pour me peloter. Au bout de quelques secondes il s’est aperçu que je n’avais pas de culotte. Il me lâcha : « Quelle salope ! ». J’avais espéré mieux.
On a baisé dans le salon, dans la cuisine et dans sa chambre à coucher. Il y avait des photos de sa femme et de ses deux petites filles partout. Ça n’avait pas l’air de le déranger. A deux heures du mat, j’étais dans un taxi. Retour chez moi. Malgré son manque de romantisme, il m’avait super baisée et je ne cracherai pas sur le fait de goûter à nouveau à son sexe. Avant de partir, il m’avait dit « Au revoir et si j’ai envie de te voir, je passerai par monsieur Du Castel, n’est ce pas ? ». Je repensais à vous et à tout ce que je faisais depuis quelques jours. J’étais un peu perdue, j’avais besoin de réconfort. J’ai demandé au chauffeur de taxi de m’emmener chez Ben.
Ça tombait bien, ses parents étaient en vacances. J’ai pu dormir chez lui. J’ai même dormi dans son lit. Je me suis fait toute petite contre son corps. Ça ne nous était jamais arrivé. On a même fait l’amour. il était si surpris qu’il en fut maladroit. C’était tendre mais je n’ai pas vraiment joui. On a pris un petit déjeuner tard et je lui ai dit qu’on allait faire des courses. On a été au centre commercial que je connaissais mieux que vos boutiques de luxe. Je lui ai payé deux jeans et un blouson de cuir. J’avais un sentiment de puissance de pouvoir payer ce que je voulais. Ben ne semblait même pas heureux.
Vous m’avez alors appelé sur mon téléphone.
« Bonjour Jessy, t’es déjà réveillée ?– Ben oui puisque je te réponds !– T’as passé une bonne nuit ?– Qu’est ce que ça peut te faire ?– Je te trouve bien agressive mon chou…– Je parle comme je veux !– Non tu parles toujours comme ça…– C’est ça oui…. Il faut que tu me rendes ma carte bancaire…– Et pourquoi que je ferais ça ?– Parce qu’elle est à moi et que je n’ai plus envie de jouer…– Je te l’as rends quand j’aurai mon boulot…– Mais tu ne sais rien faire. Prends en conscience…– Je veux le boulot de ta secrétaire !– Le poste de Claire ?– C’est comme ça qu’elle s’appelle, cette pouffe…– C’est comme ça oui qu’elle s’appelle et je ne crois pas que ce soit possible, pour certaines choses certainement mais sinon, c’est un haut poste à responsabilités, tu ne pourrais pas…– Alors vas te faire foutre toi et ta carte ! »
J’ai raccroché et j’ai demandé à Ben s’il voulait que je lui achète une moto ou une voiture. Une décapotable. Il m’a regardé avec tristesse me demandant ce qui se passait. Je l’ai engueulé et il est parti. J’ai traîné toute seule dans le centre commercial. Je n’avais rien envie d’acheter. J’ai rencontré quelques copains et copines mais je n’avais pas envie de parler. C’est en sortant du centre commercial, qu’ils me sont tombés dessus.
Trois malabars. L’un d’eux a mis sa main sur ma bouche. Je pouvais à peine respirer par le nez. Le même m’a tordu le bras dans le dos. Il m’a poussé en avant. Nous étions entouré par les deux autres. Ils m’ont fait monter dans une voiture, à l’arrière. Celui qui avait sa min sur mon visage l’a enlevé et un autre appliqué un mouchoir à sa place. Je me suis endormie.
Quand je me suis réveillée, j’étais dans une chambre que je ne connaissais pas. J’étais nue est allongée sur un lit. Mes poignets et mes chevilles étaient attachés aux quatre coins du lit. Les cordes étaient si tendues que je ne pouvais pas faire le moindre geste. Je ne pouvais pas parler non plus, ma bouche était bâillonnée. Je ne pouvais pas retourner la tête. Je ne pouvais que rester ainsi et attendre. J’ai attendu plusieurs heures.
Il faisait noir quand la lumière s’est allumée. J’ai entendu votre voix.
« Bonsoir Jessy… J’espère que tu as été sage… Comme tu ne semblais pas vraiment vouloir me rendre ce qui m’appartient, j’ai été obligé de sous traiter l’affaire… J’ai récupéré ma carte. Efficace ces gens, tu ne trouves pas ? Pas très causante Jessy ! Ce n’est pas grave. On va jouer un peu ensemble. Ton cul m’excite au plus haut point… Surtout dans ta position ma Jessy… »
Vous vous êtes mis à côté de moi pour que je vous voie. Vous avez remonté les manches de votre chemise. Vous m’avez montré un sac. Celui que Justin avait ramené du sex-shop l’autre jour.
« Tu te rends compte, qu’on ne s’en est même pas servi. Je n’aime pas le gaspillage, Jessy, je n’aime pas le gaspillage ! Surtout ne bouge pas, petite, ne bouge surtout pas ! »
Je ne pouvais de toutes façons pas bouger et vous le saviez. Je ne suis jamais sentie aussi impuissante face à un homme. Vous avez sorti un martinet. Vous avez reculé. Je ne vous ai plus vu mais j’ai aussitôt senti les lanières en cuir du martinet claquer sur mes fesses. Et ça ne s’est pas arrêter avant longtemps. J’ai cru que j’allais tomber dans les pommes quand vous avez arrêté. Vous m’avez alors montré le manche du martinet. Malgré mes larmes, j’ai vu qu’il avait la forme d’une gode. J’ai senti votre main sur mes fesses brûlantes. Vous les écartiez avec deux doigts. Vous avez vidé un tube de gel dans mon anus. Vous avez enfoncé d’un coup sec le manche du martinet dans mon anus. J’ai poussé un cri étouffé.
Vous m’avez montré une cravache. Vous m’avez fait tourner la tête pour que je la voie bien. Vous avez commencé à me frapper avec sur le dos. Vous donniez des petits coups répétitifs mais pas forts et soudain vous me donniez un coup plus fort. Vous repreniez alors les petits coups et j’appréhendais le moment où vous m’appliqueriez le coup fort. Vous m’avez frappée sur le dos, sur les fesses, les cuisses, les jambes et même la plante des pieds. Et en alternance, vous m’enleviez un gode pour m’en mettre un autre plus gros. Vous avez joué ainsi avec moi pendant deux heures.
Vous avez enlevé mes liens. Vous avez enlevé mon bâillon. Je tenais à peine debout. J’avais du mal à poser mes pieds contre le sol. Ma jupe et mon débardeur étaient par terre. Vous m’avez dit de me rhabiller. Je l’ai fait. Vous m’avez entraînée vers la porte. Nous sommes sortis de la chambre. On était chez vous. J’étais dans une pièce que je ne connaissais pas. Les trois hommes qui m’avaient enlevée étaient là, assis dans les fauteuils.
« C’est bon messieurs, tout est fini. Vous allez ramener cette fille à la Côte des Corbeaux. Vous la laisserez là. Jessy, tu te débrouilleras pour rentrer toute seule ? »
Je suis remontée dans leur voiture et ils se sont dirigés vers la Côte des Corbeaux, le quartier le plus craignos de la ville. Que des barres d’immeubles et un nombre incroyable de personnes qui traînent. Même les flics n’osent pas y aller. C’est un coin que j’évite aussi et voilà que je vais m’y retrouvée en pleine nuit et seule. Pas la peine de discuter avec ces trois abrutis. Nous sommes arrivés. Ils m’éjectent de la voiture et partent à toute vitesse.
Je me retrouve seule sur un trottoir, heureusement désert. Je calcule qu’il me faudra deux bonnes heures de marche pour rentrer chez moi. Je rêve d’être dans mon lit. Je me mets à marcher vite. L’air frais passe sous ma jupe. Mes fesses me brûlent et ce qui devait arriver, arriva. A cent mètres en face de moi, une bande de jeunes. Je me retourne et me mets à courir pour tomber sur trois autres jeunes qui m’attrapent et me ramène vers les premiers. Les premières mains baladeuses s’aperçoivent que je n’ai ni culotte ni soutien-gorge. Cette nouvelle est accueillie par des cris. Je reçois une paire de claques. Je vais me laisser faire, ce sera mieux.
Une bagarre éclate. Je ne cherche pas à comprendre. Je me mets à courir. J’ai cent mètres d’avance quand ils s’en aperçoivent. Ils se mettent à courir derrière moi. L’instinct de survie est plus fort. Je courre le plus vite que je peux. Mais je les sens approcher. Je courre encore. Une voiture s’approche derrière moi.
« Monte, Jessy ! »
Je monte à côté de vous. Vous accélérez. Un pavé s’écrase sur le pare-brise qui se fendille. Je tremble. Vous me ramenez chez vous. Vous m’avez sauvée et pourtant c’est à cause vous si j’ai vécu ça. Nous retournons chez vous. J’ai peur. Dans le salon, il y a encore les trois verres. La porte de la chambre où j’étais enfermée est ouverte. Je peux voir les liens sur le lit, la cravache au sol, quelques godes et même le sac du sex shop. Vous vous mettez à genoux. Vous prenez mes mains.
« Excuse moi, Jessy, je suis un monstre, je suis un homme horrible, comment je pourrais m’excuser ? S’il te plait Jessy, reste avec moi. S’il te plait Jessy, dis quelque chose… »
Jessy 8*
Tu te retournes, t’apprêtes à partir. Je me jette à tes pieds, te supplie. Tu sors alors de tes gonds. Tu me roues de coups de pieds en me traitant de tout les noms. Tu pleures. Tu as eu tellement peur ce soir. Enfin tu te calmes. Tu me regardes avec dédain, roulé en boule par terre. Tu me craches dessus puis tu te diriges à nouveau vers la porte. Je me redresse comme je peux. J’ai très mal, je dois avoir des bleus partout et une côté fêlée. Je t’appelle :
« – Non, Jessy ! Restes ! Milady !!! Maîtresse ! »Tu t’arrêtes, te retournes lentement. Tu susurres, tel un serpent :« – Comment m’as-tu appelée ? »« – Euh… Milady ? »« – Non… après. »« – Maîtresse ? »Tu parais pensive. Tu reviens vers moi. je suis agenouillé. Tu poses ton talon sur ma nuque :« – Maîtresse… Maîtresse Milady. Oui, ça sonne bien… Tu vas m’appeler ainsi maintenant. »Je te regarde, plein d’espoir :« – Tu restes ? »Ton talon se lève puis s’abat sur ma nuque dans un craquement. J’ai affreusement mal. Tu hurles :« – D’abord tu ne me tutoies pas, espèce de larve ! Ensuite tu m’appelles Maîtresse Milady, compris ? »« – Bie… Bien, Maîtresse Milady. »Tu ôtes ton pied, je m’effondre. Tu demandes :« – Où est Anita ? Appelles-la. »« – Oui, Maîtresse Milady. »
Quelques secondes plus tard Anita apparait. Elle demande :« – Oui, Monsieur ? »Tu réponds à ma place :« – Appelez-le larve, ça lui va bien. »« – Bien Mademoiselle. »« – Et moi, Maîtresse. »« – Euh, bien Maîtresse. »« – Allez cherchez un gode. La larve veut se faire déchirer le cul. »« – Ici ? »« – Oui, imbécile. »« – Bien… »Elle ne tarde pas à revenir. Elle baisse mon pantalon. Je ne réagis pas. Elle enfonce le gode dans mon cul. J’ai atrocement mal. Tu ne regardes même pas. Je serre les dents pour ne pas crier, je sais que cela te déplairait. Tu demandes distraitement en fouillant le placard à liqueur :« – Comment fait-on pour faire venir ton majordome ? »« – La fausse sonnette sur le bureau est en fait un bouton d’appel, Maîtresse Milady… »« – Bien. »Tu sonnes. Un homme d’un certain âge, distingué, apparait. Il a un léger mouvement de recul en voyant ce qui se passe mais se rattrape vite.« – Oui, Monsieur ? »A nouveau tu réponds :« – Payez Anita pour ses services, voulez-vous ? »Il ne réagit pas. Tu demandes :« – Vous êtes sourd ? »« – Non. Mais vous n’êtes pas habilitée à me donner des ordres. »Son regard est chargé de haine à ton égard. Tu saisis la cravache et te venges sur moi. Toujours pas de réaction du majordome. Je dis enfin :« – Obéissez-lui, James. »« – Bien monsieur. »Il repart et revient quelques instants plus tard avec quelques billets qu’il tend à Anita.« – Autre chose ? »Tu lui dis :« – Oui, vous allez rester ici. »« – Non. »Tu tempêtes :« – Comment ça, non ? Il vous a dit de m’obéir ! »« – Je suis habilité à refuser les ordres qui me paraissent inconvenants. Bonne soirée. »Il repart en fermant la porte. Tu fulmines, me cravaches à nouveau.
Enfin tu te calmes un peu. Anita dis alors :« – Si vous voulez, j’ai un jouet plus adapté, Maîtresse… »« – Ah ? »« – Oui, la larve l’utilise quand il a plusieurs compagnes, il aime bien les voir se donner du plaisir quand il se repose… »« – Oh… Ca m’a l’air intéressant. Allez chercher ça, voulez-vous ? »« – Tout de suite, Maîtresse ! »Anita s’en va. Tu me regardes. Je n’ose bouger. Tu t’accroupis face à moi. Tu me craches au visage puis dis :« – Dis donc, tu bande plus. T’es devenu impuissant ? »« – Non, Maîtresse Milady… Mais j’ai trop mal… »« – Et alors ? Moi je prend mon pied quand on m’encule bien. Anita n’est pas douée c’est ça ? »« – Si si, Maîtresse Milady. Mais moins que vous j’en suis sûr. »« – Tu aimerais mon cochon, hein ? »« – Oui, Maîtresse Milady. »Tu te lèves, me cravaches les fesses et dis :« – J’y penserais. En attendant tu vas picoler un peu, ça aide… »
Tu me tends la bouteille de whisky et je commence à boire en attendant que tu me demandes d’arrêter. Ma gorge me brûle. La bouteille est à moitié vide quand Anita revient. Tu me dis alors d’arrêter. Anita porte un gode-ceinture qu’elle s’empresse de m’enfourner dans l’anus. Je hurle. Elle me déchire de plus bel. Tu es ravie. Tu t’assoies face à moi et me montre ta chatte :« – Tu en as envie, hein ? »« – Oui, Maîtresse Milady ! »Tu te mets alors à quatre pattes et écartes tes fesses :« – Et de ça aussi, surtout de ça, n’est-ce pas ? »« – Oh oui, j’adorerais, Maîtresse Milady. »Tu te relèves et te contentes de dire :« – Enculez le plus fort, Anita. »Elle ne se fait pas prier. Tu commences à me parler :« – Bien tu vas virer cette Claire. »« – Je ne peux pas, Maîtresse Milady, ça ne dépend pas que de moi ! »« – Alors violes-la, pour qu’elle démissionne. »« – Mais… Elle me fera un procès ! »« – Fais là violer par tes sbires. Elle fera une dépression et je pourrais prendre sa place. »« – S’il vous plait, Maîtresse Milady. Pas Claire… »« – Tu l’aimes ? »« – Non, Maîtresse Milady. »« – Alors quoi ? »« – Je tiens à elle, Maîtresse Milady… »« – Justement. A partir de maintenant moi seule compte pour toi, compris, la larve ? »« – Oui, Maîtresse Milady. »« – Donc je vais commencer à travailler avec elle, histoire de prendre un peu mes marques, et quand je le déciderais, tu enverras tes sbires la traumatiser. »Je pleures à l’idée de faire autant de mal à la seule femme qui m’ait réellement aimé mais je n’ai pas le choix si je veux te garder :« – Bien, Maîtresse Milady. »« – Oh, et James… »« – Oui, Maîtresse Milady ? »« – Vires-le. Maintenant. »« – Mais… »« – Un problème, la larve ? »« – Je ne peux pas, Maîtresse Milady… »« – Tu n’es décidément bon à rien… C’est quoi le problème maintenant ? »« – James… Ca fait si longtemps. Je ne trouverais jamais quelqu’un en qui je puisse avoir autant confiance, Maîtresse Milady. »« – Moi, j’ai pas confiance en lui. Vires-le. »Tu te diriges vers la sonnette et l’appelle. Quand il arrive tu me regardes. Je détourne les yeux, Anita me sodomise toujours, elle s’amuse comme une folle. Je dis :« – James. Vous êtes viré. Immédiatement. Je vous prie de partir. Je vous ferais parvenir vos indemnités. »« – Bien, Monsieur. Comme Monsieur voudra. Au revoir, Monsieur. »
Il repart sans rien ajouter. Tu fulmines. Tu t’attendais à le briser mais il a eu l’air de s’en foutre. Tu hais cet homme. Je rajoute alors :« – Vous devriez faire attention, Maîtresse Milady. James connais pas mal de monde… Il pourrait vouloir se venger. »Tu hurles :« – Tais-toi, la larve ! »Puis, t’adressant à Anita :« – Donnez moi ce gode-ceinture, j’ai envie de le déchirer pendant qu’il vous léchera. »« – Bien, Maîtresse. »Tu commences alors à me ramoner sauvagement. Je me concentre sur la chatte d’Anita. Tu dis alors :« – Doigtes lui le cul, à cette salope ! »Je m’exécute. Anita à l’air d’aimer. Enfin tu t’arrêtes. Tu t’es calmée. Tu dis alors :« – Vas t’asseoir dans un coin, la larve. Anita va m’enculer, j’en ai très envie. Et toi, tu n’as pas intérêt à te toucher ! »J’assiste alors impuissant au spectacle de celle que j’aimerais tant prendre se faisant sodomiser par ma femme de ménage et adorant chaque instant. Je bande, mais je n’ose me toucher. J’ai mal au cul mais je m’en fous. Je me ferais encore sauvagement sodomiser pendant des heures juste pour pouvoir glisser mon sexe en toi, sentir tes lèvres sur ma verge… Mais là je n’y ai pas eu droit. Plus tard j’espère.
Tu décides de rester dormir chez moi, tu t’installes dans mon lit et y invites Anita. Tu m’as ordonnée de resté couché sur le sol du salon. A un moment de la nuit j’ai vu Justin passé. Puis repartir plus tard. Tes cris de jouissances ont envahis la maison une bonne partie de la nuit, résonnant dans ma tête…
—– Elle —–
Les jours suivants se passèrent de la même manière.
Le jour, vous alliez à votre bureau et vous traitiez vos affaires tout à fait normalement ou presque. Presque parce que je n’étais pas loi. Je m’étais imposée aux côtés de Claire. Je m’amusais à lui lancer des pics. Je ne faisais pas grand chose quand j’étais là et ça vous mettez la pression. Par moment, je rentrais dans le bureau. Vous étiez en plein travail et je vous racontais tout ce que vous subiriez dès votre retour à l’appartement. Une autre fois, vous étiez en rendez-vous et je suis entrée en jouant la parfaite putain soumise. Mais je n’en faisais pas plus. Je m’amusais seulement. Le soir à l’appartement c’était tout autre chose.
Votre consigne était d’être entré à 17 heures au plus tard. Tous les soirs vous étiez là à 17 heures. Je m’étais installé chez vous avec Anita. Toutes les deux, on s’amusait beaucoup à vous humilier. Tout d’abord, on ne supportait aucun vêtement sur vous. Dès votre retour, vous deviez rester nu. J’avais acheté un collier pour chien. Je vous le mettais. Vous deviez alors rester à quatre pattes devant nous, la tête baissée, le regard vers le sol. Vous deviez rester le plus immobile possible. Pendant ce temps, on se gavait de gâteaux en regardant la télé et en vous ignorant totalement. Selon notre humeur, cette séance pouvait durer dix minutes ou plusieurs heures.
Quand nous avions fini notre film ou nos papotages, nous daignons alors vous tendre nos pieds et vous deviez les lécher. Vous deviez lécher quatre pieds de petites femelles en chaleur et vous ne pouviez rien nous faire d’autre. Les choses avaient ainsi tourné. Vous léchiez nos pieds, nos orteils, nos chaussures. Vous léchiez jusqu’à ce que vous dise d’arrêter. Quand nous avons jugé que nos pieds étaient assez propres, vous deviez vous allonger sur le dos. On s’essuyait nos chaussures sur votre ventre. Nous portions souvent des escarpins à hauts talons aiguilles et on s’amusait à enfoncer nos talons dans votre ventre, dans vos cuisses, sur votre poitrine. On frottait votre sexe, on écrasait vos testicules et votre visage. Tout ça nous faisait beaucoup rire.
A tour de rôle, on vous chevauchait et on vous faisait avancer à quatre pattes. Celle qui était sur vos dos avait la cravache et elle n’hésitait pas vous cravacher les fesses pour que vous avanciez plus vite. On se chronométrait sur trois tours de la pièce. Quand j’étais sur vous, je ne ménageais pas mes efforts pour gagner. Cravache et insultes pleuvaient alors sur le pauvre animal que vous deveniez.
Celle qui gagnait avait droit à un massage des pieds. C’était souvent moi mais des fois je laissais aussi Anita gagner. Vous deviez vous mettre de nouveau sur le dos et vous occupez de nos pieds nus. J’aimais vous les faire sentir essayant même de mettre un orteil de votre narine. Vous deviez aussi les lécher. Lécher les orteils et entre les orteils. J’avais que c’était délicieux. J’écartais mes cuisses pour mieux profitez des caresses de votre corps. Par moment, vous aviez un début d’érection, alors j’écrasais votre pénis et vos testicules car je ne supportais pas de voir bander du moins si je ne vous l’avez pas demandé. Quand vous étiez redevenu à ce que j’estimais être un état normal, vous deviez me demander pardon à genoux. Vous deviez faire preuve de beaucoup d’imagination dans les noms que vous vous attribuiez pour que j’accepte votre pardon.
J’étais Maîtresse Milady et Anita était Maîtresse Ségur. On s’amusait vraiment beaucoup. On s’entendait très bien. On se caressait souvent pendant nos jeux. On vous autoriser à venir nous lécher entre les cuisses. Nous étions vautrées sur le canapé les cuisses grandes ouvertes ou bien l’une d’entre nous vous enjambait la tête et se frottait sur votre visage jusqu’à ce qu’elle jouisse. Au moindre mouvement de votre sexe, l’autre l’empoignait et serrer de toutes ses forces.
Tous ces jeux duraient jusqu’à une heure avancée de la nuit. Puis Anita et moi nous nous couchions dans votre lit et vous par terre au pied du lit. La plupart du temps, vous dormiez avec une gode enfoncé dans votre anus. Anita m’avait fait découvrir les caresses entre femmes que je n’avais jamais connu avant. J’aimais beaucoup. Quand on avait envie d’un homme, on téléphonait à Justin et il arrivait dix minutes après pour nous baiser. Il vous regardait toujours avec compassion. A huit heures du matin, il était toujours là pour vous emmener au bureau. On vous réveiller à sept heures pour que vous soyez prêt. Vous étiez prêt mais toujours de plus en plus fatigué. Anita et moi, dormions jusqu’à midi.
Celle qu’on avait laissé tranquille jusqu’à présent, c’était Claire. Claire, votre dévouée secrétaire qui était amoureuse de vous, ça en crevez les yeux. Les fois où je venais au bureau, elle m’exaspérait. Elle me prenait toujours par le haut et me parlait comme on parle à une enfant. Je vous avais demandé de la faire violer mais vous la défendiez. Je me disais que je m’en occuperai bien un jour. En attendant, je rentrais chez nous, je retrouvais Anita et on attendait 17 heures que vous rentriez, que vous vous mettiez tout nu et alors on s’occuperait une nouvelle fois de notre larve, de notre lavette, de notre serpillière…
Jessy 9*
Encore une matinée fatigante. Je tiens difficilement debout. Heureusement tu me laisses relativement en paix pendant la journée… Aujourd’hui tu as daignée te présenter au bureau. Ton embauche à fait jaser, même ton père voit ça d’un sale œil. Claire ne dit rien mais je sens qu’elle devine qu’il y a anguille sous roche. Mais elle me soutient toujours. Je souris en pensant à elle alors que je classe des dossiers dans son bureau. Ah, Claire… Mon petit rayon de soleil dans ces jours embrumés.
Soudain tu te lèves et vas fermer la porte. Je te regarde et demande, interloqué :« – Que fais-tu ? »« – Déshabilles-toi. »Claire n’a pas levé les yeux mais elle a arrêté de taper à l’ordinateur. Je sens qu’elle contient sa fureur. Tu tempêtes, impatiente :« – Alors ? Tu ne sais plus obéir à ta Maîtresse ? »Je récupère du choc et me dépêche de répondre :« – Bien sûr, Maîtresse Milady ! »Je me dénude. Claire garde les yeux baissés. Ton regard vont de elle à moi et tu souris victorieusement. J’aurai du m’en douter, tout ceci n’a pour but que d’atteindre Claire… Pourquoi faut-il que tu lui en veuilles autant ? Tu dis alors :« – Montres ton dos à ta chère secrétaire. Montres lui les traces de ta soumission… »J’obtempère. Claire garde les yeux baissés. Tu cries :« – Regardes, sale pute ! Je fais ça pour toi ! »Claire sursaute et lève les yeux malgré elle. Elle pousse un gémissement d’effroi en voyant les traces de cravache sur mon dos. Elle bafouille :« – François… C’est… C’est horrible ! Qui vous… »Les mots s’étranglent dans sa gorge : elle sait bien qui m’a fait ça… Tu sors alors une cravache de ton sac et ajoute :« – Et il aime ça en plus ! »Tu me fouettes le sexe :« – N’est-ce pas, la larve ? »Je retiens un rictus de douleur :« – Oui, Maîtresse Milady. »« – Bien, appuies-toi sur le bureau de ta petite femme. »« – Bien, Maîtresse Milady. »Je suis penché vers Claire. Nos regards se croisent. Je lis une intense compassion dans ses yeux. Elle a les larmes aux yeux. Sa main se pose sur mon visage. Je veux m’excuser auprès d’elle, lui dire que ce n’est pas moi… Mais tu me hurles dessus :« – Trêves de papouilles les amoureux ! Je vais m’occuper de ton cul mon salaud ! »Tu sors un gode-ceinture et me l’enfile dans l’anus sans ménagement. Je cries de douleur, des larmes me viennent aux yeux. Claire gémit et murmure :« – François… Vous n’avez pas à supporter ça… »Avant que je n’ai pu répondre tu dis :« – Ta gueule, la pouffiasse. Tu vois bien qu’il aime ça ! »Tu fais bouger le gode en moi :« – D’ailleurs tu vas venir lui faire du bien, toi qui l’aime tant ! »Claire blêmit :« – Il n’en est pas question ! »Tu souris méchamment et me susurre :« – François, ma petite larve, je crois que ta petite femme ne veux pas m’obéir… Tu devrais la convaincre, dans son intérêt… »Tu laisses ta phrase en suspens, je comprend aisément ce que tu sous-entends… Je dis alors à Claire :« – Viens me prendre, j’aime me faire défoncer le cul comme une petite chienne en chaleur. »Claire n’est pas dupe, elle se contente de me caresser encore le visage. Enfin elle m’embrasse, tendrement. Elle ne m’avait jamais embrassé comme ça, même quand je l’emmenais en sortie pour la sauter. Tu es furieuse :« – Viens l’enculer, salope ! Il n’attend que ça ! »Je la regarde avec douceur et lui dit :« – Vas-y, s’il te plait. »Elle me retourne mon regard puis cède enfin :« – Bien. Si c’est ce que tu veux… »Elle se lève. Je sens le gode sortir de mon cul. Tu la déshabilles, lui suces les seins. Claire se laisse faire avec réluctance. Enfin tu lui enfiles le gode-ceinture et la fait se placer derrière moi. Tu te places derrière Claire, lui caresses la poitrine et chuchotes :« – Allez, salope, fais ton travail… »Tu lui enfonces ton majeur dans le cul et Claire s’avance par réflexe pour échapper au viol de tes doigts. Tu guides le sexe artificiel en moi. Tu murmures méchamment à l’oreille de Claire :« – Tu vois, c’était pas si difficile… Il ne reste plus qu’à plonger tout ça en lui ! »« – Mais… C’est trop gros ! »« – Ne t’inquiètes pas, la larve à l’habitude. N’est-ce pas ? »« – Oui, Maîtresse Milady. N’hésites pas, Claire. »Elle s’enfonce alors en moi. Puis tu la forces à faire des va et viens en la caressant. Tu lui demandes :« – Alors ? Tu aimes, petite pute ? »« – Non ! Et je suis sûre que François non plus ! »Tu grognes :« – Sale pétasse ! Je t’offre son cul et c’est tout les remerciements que j’ai ? T’es qu’une salope ! »Tu la gifles puis la saisit par la gorge. Ses hanches stoppent leurs mouvements. Tu lui dis :« – Continues à l’enculer. Sinon je t’étrangle, compris ? »Elle recommence péniblement. Tu lui pinces méchamment les tétons. Je fais mon possible pour avoir l’air d’aimer ça, pensant que ce sera plus facile pour elle et que cela te calmera. Mais cela produit apparemment l’effet inverse… Claire comprend bien que je me force et rien n’a l’air de pouvoir calmer ta fureur.
Enfin tu repousse Claire et me jette au sol avant de me bourrer de coups de pieds. Je me roule en boule. Claire veut s’interposer mais tu la gifles violemment. Puis tu vas ouvrir la porte en grand, nous laissant tout deux nues à la vue de ceux qui passerait dans le couloir. Claire ne pense même pas à se cacher et vient m’aider à me relever pour m’emmener dans mon bureau. Elle détache ensuite le gode-ceinture et met ma veste avant de retourner dans son bureau pour récupérer nos vêtements et te rendre ton jouet. Le reste de la journée est pesante. Je sens que Claire est prête à éclater en sanglot et tu as l’air encore plus énervée que d’habitude …
A 17h je rentre, comme d’habitude. Aujourd’hui il n’y a pas eu de petit jeu. Tu m’as juste attaché et t’es défoulée avec ta cravache. Puis tu as appelée Justin et il t’a baisé devant moi, plusieurs fois. Anita aussi. Et tu m’as fouettée à nouveau, j’avais le dos en sang…
Le lendemain je suis fourbu, j’ai les traits tirés. Claire me regarde d’un air soucieux. Tu est venue aujourd’hui aussi et tu regardes notre manège d’un air réprobateur. Vers midi tu viens dans mon bureau et me dis simplement :« – Il faut se débarrasser de Claire. »« – Tu sais bien que je ne peux pas la renvoyer comme ça… »Tu hurles :« – Dis plutôt que tu ne VEUX pas ! »Puis, plus calmement :« – Mais ce n’est pas grave, c’est elle qui va démissionner. »« – Comment cela ? »« – Comme j’avais prévue initialement : tu vas appeler tes connaissances et la faire violer. Sous nos yeux. Et tu resteras impassible. Elle devrait comprendre que tu n’es rien pour elle. Ou alors c’est une conne et on pourra utiliser des méthodes plus expéditives… »J’écarquille les yeux :« – Tu ne veux quand même pas… »Ta voix se fait sifflante, on dirait un serpent :« – TOUT plutôt que de continuer à côtoyer cette traînée ! »« – Je… Je vais essayer de la raisonner, de lui expliquer qu’il faut mieux qu’elle démissionne… »Tu hurles à nouveau :« – NON ! Je VEUX qu’elle comprenne qu’elle n’est rien pour toi ! Appelles tes contacts, je veux que ce soir elle se fasse ravager comme la chienne qu’elle est ! »« – Voyons, Jessy, sois… »« – TA GUEULE !!! Obéis, c’est tout. »Tu pars en claquant la porte. Je suis anéanti. Je pose ma main sur le téléphone mais n’arrive pas à trouver le courage. Je retire ma main. Puis ton regard, ta voix pleine de colère me viennent à l’esprit : je suis terrifié, je tremble comme une enfant. Je prend une grande inspiration et compose le numéro…
« – Allô ? »« – C’est François. J’aurais besoin de vos services. »« – Pour quoi exactement ? »« – Une femme qui me pourrit la vie, je voudrais que vous envoyez quelques hommes pour la violer. »« – Ok. Où ? Quand ? Qui ? »« – Ce soir, dans le parking de mon lieu de travail. Je vous attendrai pour vous montrer la cible. »« – Bien. Tarif habituel. »« – D’accord. »« – En cash. »« – Cela va de soi. »« – A ce soir. »« – Au revoir. »Je raccroche. Je me sens vide. Puis je réalise ce que je viens de faire. Pourquoi ai-je voulu avoir encore une nouvelle conquête ? Pourquoi ne t’ai-je pas lâchée ? Ce devrait être toi qui va se faire violer ce soir, pas Claire. Ce n’aurait jamais du être Claire. Elle m’aime. Et moi aussi. Mais je m’en aperçoit trop tard. Quel imbécile j’ai été ! Il est encore temps… Je commence à numéroter à nouveau mais je pense à toi et je me fige avant d’éclater en sanglot.
Claire entre alors dans mon bureau et me voit affaler en pleur. Elle referme doucement la porte et se place à mes côtés, pose sa main sur mon épaule. Si seulement elle savait !« – Là, François… Ca va aller, tu vas t’en sortir. »Je sanglotes de plus bel :« – Je suis désolé, désolé… »« – Tu n’as pas à l’être, on a tous nos faiblesses… »Elle ne comprend pas pourquoi je m’excuse, elle crois que c’est pour ce qui c’est passé hier, pour lui avoir imposé ta présence aussi… J’aimerai lui dire de fuir, mais je n’y arrive pas. Pourquoi ne suis-je pas capable de trouver la force de sauver la femme que j’aime ? Pourquoi suis-je lié à toi à ce point ? Claire s’assoit sur le bureau et je pose ma tête sur ses genoux. C’est si doux. Bientôt elle ne sera plus là pour moi…
—– Elle —–
18 h 30, tout était mis en place.
Vos hommes de main attendaient dans le parking. Ils étaient six. Je les avais vu avant pour leur expliquer ce que vous attendiez exactement d’eux. Leur travail leur paru plaisant. Ça m’a réjouit aussi. J’ai mis une robe très sexy et je me suis bien maquillée. A 18 h 00, je suis repassée par le bureau. Claire rangeait ses affaires et m’a regardé d’un air dégoûté.
« Qu’est ce qu’il y a Claire, quelque chose ne te plait pas ?– C’est ta tenue, tu te crois où ?– Je me crois que je vais dans le bureau de François pour le chercher et passer une bonne soirée avec lui !– Et tu crois que ta tenue de pute va lui plaire ?– Un : il aime toutes mes tenues… Deux : on verra bientôt qui est la plus pute de nous deux ! »
Sur cet échange avec Claire, je suis entrée dans votre bureau. J’ai fermé la porte et je me suis installée sur vos genoux et je vous ai donné un gros baiser sur la joue : « Je t’aime ma grosse lavette, je vais te montrer combien je t’aime et après toi aussi tu me montreras combien tu tiens à ta gentille Maîtresse… » Et je me suis mise à vous caresser avec la main et vous lécher avec la langue. Une dizaine de minutes plus tard, Claire a entrouvert la porte pour dire bonsoir. Elle nous a vu. Elle a marmonné quelques mots et est vite partie.
« Allez mon petit toutou, c’est le moment de lancer les réjouissances. Montre moi de quoi tu es capable. Appelles-les et dis la phrase qu’ils attendent ».
Vous avez hésité. J’ai serré vos testicules dans ma main. Au lieu de souffrir vous sembliez jouir. J’ai insisté. Vous avez composé un numéro et vous avez dit : « Ici, François Du castel. La cible c’est la blonde en robe bleue. Elle arrive dans le parking. » Vous avez raccroché et je vous ai senti très tendu.
A peine une minute plus tard, Claire était jetée sur le parquet de votre bureau. Les six gorilles étaient derrière elle. Ils l’ont soulevée. Ils l’ont plaquée contre votre bureau. L’un d’eux a attaché une corde à son poignet droit. Il a lancé l’autre bout sous la table. Un autre l’a ramassée et l’a attachée au poignet gauche de Claire. Elle était maintenant aplatie sur votre bureau, les bras tirés de chaque côté. Elle poussait des « Oh ! » offusquée. « Oh ! Oh ! Oh !» et puis « François ! Mais enfin François ! » « François, dites quelque chose !!! » « François, faites quelques chose… » Sa voix s’étranglait de rage. Elle vous regardait pleine d’interrogation et de crainte. Elle nous regardait en fait parce que j’étais toujours sur vos genoux.
Vous étiez assis dans votre fauteuil face à Claire attachée sur le bureau. Elle vous implorait et moi, je vous caressais. J’avais ouvert votre chemise, je caressais votre poitrine et je pinçais vos tétons. Je posais ma main sur votre pénis et je le sentais bine dur dans votre pantalon.
« Allez mon petit pou, dis à ces messieurs ce qu’il doivent faire de cette connasse… »
Mais vous n’arriviez pas à parler. Je tordais vos tétons l’un après l’autre. Au toucher de votre pénis, je savais que vous jouissiez de plus en plus et pourtant vous ne disiez rien. Vous transpiriez et Claire aussi. Les hommes avaient attaché chacun de ses pieds à un pied du bureau. Elle était immobilisée, prête pour la suite. Les hommes se sont reculés attendant votre ordre. D’une main, j’ai ouvert votre pantalon. Ma main s’est glissée dans votre caleçon et j’ai serré vos testicules. J’ai serré fort. J’ai serré très fort et vous avez crié : « Baisez là ! » J’ai continuait à serrer et vous n’avez rien pu ajouter d’autre. Quand je vous ai laissé, vous aviez du mal respirer.
Vous cherchiez à respirez à nouveau. Pendant ce temps, un des six hommes s’est approché calmement derrière Claire. Il a rabattu sa robe sur son dos. Il a ouvert son couteau et a découpé les deux côtés de son slip avant de tirer dessus et le jeter sur le bureau. Claire vous implorait de faire arrêter cette mascarade. Claire implorait l’homme de la laisser tranquille. Il a appuyé sa verge contre ses fesses. Elle s’est mise à crier. Elle hurlait d’une manière désespérée. Il n’y avait plus personne dans l’entreprise pour l’entendre. L’homme frotta quelque peu son gland sur le sexe de Claire puis il la pénétra. Elle poussa un long cri pour dire qu’elle ne voulait pas. Maintenant tout son corps se déhanchait au rythme des mouvements de l’homme qu’elle avait en elle. Elle ne criait plus mais continuait à se lamenter. Elle vous regardait puis fermait les yeux. Je suis descendue de vos genoux. Je me suis mise entre vos cuisses et j’ai pris son sexe dans ma bouche.
Je vous ai sucé longuement. A chaque fois que je vous sentais venir, je me retirais et je serrais de toutes mes forces votre sexe dans ma main. J’attendais un peu et quand je vous sentais ramollir, je le reprenais en bouche. Je vous ai laissé jouir dans ma bouche. Elle était pleine de sperme. Je me suis relevée. Claire venait de faire jouir son troisième homme. Je lui ai soulevé la tête en tirant sur ces cheveux. Elle gardait la bouche fermée. J’ai pincé son nez. Elle a fini par ouvrir la bouche. J’ai collé ma bouche contre la sienne et j’y ai tout vidé. Elle a aussitôt recraché votre sperme mélangé à sa salive sur le bureau. Je l’ai giflé. Un quatrième homme est arrivé derrière elle. Il l’a violemment frappé sur ses fesses avec une règle en bois qui traînait sur votre bureau. Je continuais à lui tirer les cheveux. Je l’ai ainsi obligée à laper tout le sperme répandu sur le bureau et elle l’a fait pendant que le quatrième homme prenait son pied.
Je me suis de nouveau installée sur vos genoux. Je vous ai donné une grosse bise sur le front en vous chuchotant « Merci mon lapin adoré… ». Nous avons regardé Claire se faire prendre par les deux derniers hommes. J’ai pris votre téléphone et j’ai photographié le visage de Claire en larmes. Si la salope pensait que c’était fini pour elle, elle se trompait. Je ne l’aimais pas, mais vraiment pas. « Bon maintenant, on va chez elle ! La soirée ne fait que commencer… »
Nous avons pris votre voiture. Vous conduisiez. J’étais assise à côté de vous. Claire était derrière entre deux gorilles. Les quatre autres nous suivaient dans leur voiture. Vous conduisiez tout doucement et je me moquais de vous. Vous étiez droit et vous évitiez de regarder dans votre rétro ce qui se passait derrière. Moi, par contre je me retournais fréquemment pour narguer Claire :
« Alors qui c’est la plus salope ? Celle qui se fait sauter devant son amant ou celle qui le suce gentiment ? »« Lequel des six t’as préféré ? Tu ne sais pas ? T’auras le droit à un deuxième tour ! »« T’as déjà emmené François chéri chez toi ? »« Je me demande comment c’est chez toi ? Un appart de vieille fille certainement… »« Ton maquillage a coulé ma chérie… »« Tu ne dis plus rien ? »« Tiens, on arrive chez toi poufiasse de merde ! »
On est monté chez elle. Un deux pièces très bien rangé. Un des gorilles lui a tout de suite scotché la bouche. Les autres se sont mis à la bousculer, se la lançant de l’un à l’autre et en lui donnant une gifle ou une claque sur les fesses. Ils se la balançaient de plus en plus vite. Elle a fini par perdre l’équilibre et tomber. Ils lui ont donné des coups de pieds puis ils l’ont relevé et ont recommencé à se la balancer. Elle s’est vite retrouvée nue. Elle était quand même pas mal balancée. J’ai demandé au chef des gorilles d’arranger ça au cours de la soirée.
Ils l’ont prise à nouveau dans différentes positions, à même la moquette ou sur des meubles. Ils l’ont traînée dans toutes les pièces, la cuisine et la salle de bain. Pendants certains la baisaient et la frappaient, les autres vidaient les tiroirs, cassaient les bibelots, vidaient des boites par terre. Je les aidais en sautant de joie. J’essayais de vous entraîner avec moi. Vous étiez récalcitrant. J’avais enlevé votre pantalon et baissé votre caleçon. Je vous encourageais avec mon doigt enfoncé dans votre anus.
La soirée continuait. Claire n’était plus très fraîche. Son appartement était sans dessus dessous. Les hommes se sont mis à pisser partout sur les meubles, sur la moquette et sur Claire aussi. J’ai exigeais de vous que vous fassiez comme eux. J’ai dû insister avant que vous le fassiez. Les hommes ont mis Claire à genoux, ils l’ont forcé à garder la bouche ouverte et vous avez uriné dans sa bouche. J’avais deux doigts dans votre anus. Claire était couverte d’urine. Je vous ai demandé de lui faire l’amour. Vous avez refusé.
J’ai demandé aux hommes de jouer avec elle jusqu’à ce que vous acceptiez. Vous avez tenu dix minutes avant de vous allonger sur elle et de lui faire l’amour. C’était romantique et pathétique.
Après, j’ai tenu à ce que vous me rameniez chez nous. Nous avons laissé Claire avec ses nouveaux amis.
« Je crois que tu devras embaucher une nouvelle secrétaire pour m’aider au bureau. Je sens que je vais être débordée de travail… »
Jessy 10*
Les jours suivants je suis déprimé au possible. Je réagis mécaniquement à tes ordres. Tu t’énerves, deviens de plus en plus violente. Mais rien ne semble pouvoir me faire réagir. Tu te décides à prendre en main le recrutement de la nouvelle secrétaire, espérant me faire oublier définitivement Claire. Tu me dis :
« – Bon, on testera juste leur aptitude sexuelle, le reste on s’en fout. »« – Je ne peux pas faire ça, Jessy, je risque un procès. »« – On n’a qu’à directement embaucher une pute, je suis sûr qu’il y en a plein qui rêverait d’un poste pareil. »« – Ce n’est pas possible non plus. Ce n’est pas si facile d’être secrétaire… C’est un vrai travail qui demande des compétences. »Tu restes pensive quelques instants. Puis tu dis enfin :« – Bien, on lancera les candidature de manière normal mais c’est moi qui les recevrait en premier. Je repérerait facilement celles qui sont prêtes à baiser pour un poste. Et je virerai les autres. »Je soupire :« – Ok, fais comme tu veux. »
Les jours suivants vient les « entretiens » défiler. Tu as rodé un petit numéro standard: sodomie à sec d’entrée, pour tester leur capacité à simuler. Puis une pénétration standard, parce qu’il faut bien vérifier tous les trous. Et enfin une branlette espagnole pour tester la poitrine suivi d’une gorge profonde, pour tester leur motivation. Et bien sûr je leur gicle sur la face pour qu’elles comprennent bien que c’est moi le boss. Tu regardes tout ça en te caressant, venant parfois maltraiter les candidates pour les stimuler un peu. Tu gardes même celle qui te plaisent le plus pour qu’elles te lèchent. Tu prends un plaisir fou à diriger tout ça. Cela te fait oublier ma morosité. Je profite d’un de tes « entretiens spéciaux » pour m’éclipser et téléphoner à Claire. Elle est anéantie. Mais elle ne m’en veut pas. Elle t’en veut à toi. Elle me supplie de te virer, voir même de quitter mon poste, de partir loin d’ici avec elle. Mais je ne trouve pas la force, je me contente de sangloter. C’est elle qui me réconforte finalement. Elle qui a tout perdu : Sa dignité, son travail… Je réalise à quel point je l’aime et je pleure de plus bel. Mais je n’arrive pas à prendre la décision de partir. Tu sors alors du bureau, tu as l’air de bonne humeur. Je raccroche le téléphone. Tu me souris et dis :« – Je crois qu’on va prendre celle là, elle lèche divinement bien ! Tu ne trouves pas, ma petite larve ? »Tu remarques alors ma main posé sur le combiné. Tu fronces les sourcils. Puis tu entres dans une fureur noire, tu hurles :« – A qui téléphonais-tu ? »Je ne répond pas, baisse les yeux, tu tempêtes :« – Je parie que c’était Claire, hein ? Avoues, sale goret ! »« – Je… Oui… »Tu me gifles. Puis tu me frappes du poing encore et encore. Je tombes au sol et tu me bourres de coups de pied en hurlant :« – Oublies cette pétasse ou je la tue ! Tu comprends ça ? Je la tuerai, l’écorcherais vive devant tes yeux ! »Je gémit :« – Non, non… Ne fait pas ça, je serai obéissant… »Je t’embrasse les pieds. Tu me frappes au visage, je saigne du nez :« – Alors oublies cette pute. Tu es à moi, à personne d’autre ! »« – Oui, Maîtresse Milady… Pardonnez-moi… »« – Relèves-toi. »J’obéis. Tu me plaques sur le mur, m’étrangle. La force de ta petite main me surprend, tu es vraiment une autre femme, une folle dangereuse, tu me fais peur… Tu susurres :« – Bien, on va embaucher l’autre salope. Mais ce soir tu vas me faire un petit plaisir. »« – Oui, Maîtresse Milady ? »« – Tu vas aller chez Claire, seul. Et tu la violes. Je veux que tu la frappes, qu’elle ait mal. Tu vas la baiser comme une chienne toute la nuit. L’attacher, lui pisser dessus. Tu as un chien ? »« – Euh, non, Maîtresse Milady. »« – Achètes en un. Ou deux. Et tu la forceras à les sucer, à se faire prendre. »« – Je… S’il vous plait… »« – Tu prendras des photos aussi. Plein de jolies photos de cette salope. »« – B… Bien, Maîtresse Milady. »« – Vas-y, téléphones lui. »Je la regarde à nouveau. Son regard est terrifiant. Je compose le numéro de Claire…
« – Allô ? Claire ? C’est François… »« – Ca a coupé, que c’est-il passé ? C’est encore elle ? »« – Non, non, une mauvaise manipulation… »« – Ah… »« – Euh… Je voudrai passer te voir ce soir. Pour voir comment tu vas… »Un long silence. Je l’entend soupirer puis elle dit :« – D’accord… Si c’est ce que tu veux. »Je ferme les yeux en retenant mes larmes :« – A ce soir, Claire. »Sa voix est un murmure :« – A ce soir François. Je t’aime. »Je raccroche. Tu jubiles derrière moi. J’ai envie de te gifler. De t’effacer de ma vie… De te tuer. Je me retourne d’un coup. Tu as un mouvement de recul. Mon bras se lève. Mais il retombe aussitôt. Je n’y arrive pas. Tu me tiens en ton pouvoir… Je baisse les yeux et dis simplement :« – Je pars plus tôt, je te laisse. »Tu es trop déstabilisée pour réagir à temps. Tu me lances juste en partant :« – N’oublies pas les chiens ! »Je grommelle une vague réponse et pars.
Je traînes dans la ville, sans force. Puis je vais acheter deux chiens. Deux gros danois. Et un appareil de bonne facture. Des menottes et des liens en cuir aussi. Un fouet… Enfin il est l’heure. Je m’approche de l’appartement de Claire à pas lent. Comme j’ai honte, comme je me sens faible… Je sonne. Claire m’ouvre. Nous nos regardons longtemps. Enfin ses yeux se posent sur les chiens et elle a un sourire triste :« – C’est pour moi n’est-ce pas ? Elle veut que tu me violes, que ces chiens aussi me viole, n’est-ce pas ? »Alors elle savait… Comment peut-elle être aussi résignée ? Je bafouille :« – Je… Non… C’est… »Elle me sourit à nouveau. Toujours cet air triste qui me fend le cœur :« – Ne mens pas, c’est inutile. Allez entres, fais ce que tu as à faire. »Elle laisse la porte ouverte et s’agenouille par terre, attendant que l’Enfer se déchaine sur elle, que JE me déchaine sur elle. Je n’y arrive pas. J’ai beau penser à ta fureur je ne peux me forcer à la violenter. Devant mon hésitation elle amène un chien à ses côtés et le caresse. Puis elle passe sous lui et commence à le sucer. Je n’en reviens pas. C’est pire que tout. J’ai détruit Claire. Je prend les chiens, referme la porte et pars en courant. Je m’assoies dans l’escalier de son appartement et éclate en pleurs.
Un peu plus tard Claire vient me rejoindre. Elle s’assoit à mes côtés, me prend par le bras et pose sa tête sur mon épaule. Nous restons silencieux. Je brise enfin le silence:« – Pourquoi ? Comment peux-tu ? »Elle répond simplement, avec un calme étonnant :« – Parce que je t’aime. Énormément. Si je dois devenir ta chienne, SA chienne pour rester auprès de toi, je suis prête à le faire. Dis le lui. Elle se lassera j’en suis sûre. Et moi je serais là. Je serais toujours là. »« – Elle veut te tuer, tu sais. Et je crois qu’elle en est capable. »Nouveau silence. Elle me demande :« – Tu es sûr de ne pas vouloir fuir ? »« – Je… Je n’y arrive pas. »Je sanglote à nouveau. Elle me caresse le visage et m’embrasse :« – Ce n’est pas grave. J’attendrai. »« – Elle va te tuer… Elle est folle ! »« – Ce n’est pas grave. »Je soupire :« – Tu es folle, Claire. »« – Oui, probablement. Mais toi aussi. Et elle aussi. Nous sommes tous fous, ce monde est fou. »Elle m’embrasse à nouveau :« – Mais l’amour, ça c’est précieux. Tu m’aimes, n’est-ce pas ? »Je murmure :« – Oui… Je ne comprend pas comment je peux te faire subir tout ça et te dire que je t’aime mais c’est la vérité. »« – Ne t’inquiètes pas, je te crois. On va s’en sortir. »Un dernier silence, long, pesant… Enfin elle me dit, avec le calme désarmant qui la caractérise :« – Viens faire ce que tu as à faire. Puis tu lui transmettras mon message. »Je la regarde, la serre contre moi, l’embrasse avec passion. Nous avons fait l’amour, là, dans cet escalier. Puis elle m’a guidée chez elle… Et l’Enfer c’est déchainé…
—– Nadine —–
Les jours qui ont suivi la petite fête que j’avais offerte à Claire ont été troubles. Je vous supportais de moins en moins et le soir vous me faisiez pitié. Des fois, je ne vous touchais même pas. Je me contentais de me faire lécher les pieds. Mais j’étais assez garce pour continuer à vous tourmentez.
Pendant ces semaines, je me suis essentiellement consacrée à trouver une collaboratrice pour faire le travail que j’étais sensée faire. J’ai sélectionné plusieurs CV de jeunes femmes qui possédaient des diplômes de secrétariat. J’avais 12 CV et je les ai toutes reçues les unes après les autres. Ça m’excitait de faire ce genre d’entretien. Je posais les questions habituelles puis tout d’un coup, je leur demandais de se lever, de se retourner et de relever leur jupe ou de baisser leur pantalon. A ma grande surprise, seulement cinq d’entre elles sont parties offusquées. Les sept autres avaient accepté de montrer leurs fesses pour avoir ce boulot.
Avec ces sept là, je passais à l’étape suivante. Je leur présentais le patron. Je vous présentais vous et, elles, elles devaient vous présenter leurs seins pour que vous vous masturbiez entre. Vous avez pu le faire avec quatre d’entre elles. Vous l’aviez fait sans enthousiasme mais vous l’avez fait quand même et je vous prenais discrètement en photos. Sur les quatre qui restaient j’ai éliminé une femme mariée et mère de famille. J’ai éliminé aussi une fille qui faisait vraiment trop vulgaire. Aux deux qui restaient, je leur ai demandé de me lécher. J’avais enlevé ma culotte et écarté les cuisses. Les deux l’avaient fait et j’ai choisi Séverine.
Séverine était parfaite. Elle avait quelques années de plus que moi et avait tout à fait le style de ce qu’on attend d’une secrétaire. En plus, elle se débrouillait bien pour taper les lettres, répondre au téléphone et ranger la paperasse : tout ce que je détestais. Elle avait en permanence un gentil sourire et même un petit air de soumission qui ne me déplaisait pas. Elle accepté sans rechigner les petites gâteries que je lui demandais et celles que je vous imposais pour m’amuser. Son salaire suivait bien sûr. Dès le premier mois, elle avait gagné autant qu’un cadre. Je m’en fichais ce n’était pas moi qui payait.
Anita était rentrée dans son pays, Justin ne me disait plus rien et je trouvais Ben un peu niais. Le Golden boy, Marc Kosky, avait repris contact avec moi. Avec lui, c’était clair. Il me prenait pour une pauvre fille juste bonne à baiser quand il en avait envie où il avait envie : à l’hôtel ou chez lui dans sa maison. Il m’était très antipathique et pourtant j’y suis retournée deux fois. Il me faisait jouir.
Avec mon père, j’ai aussi essayé d’arranger les choses. Je n’ai bien sûr pas tout raconté. Personne n’aurait cru à mon histoire. Je lui ai dit que je faisais une sorte de stage et que je pouvais aussi avoir des informations qui pouvaient lui servir. C’est ainsi, qu’il a su avant les autres que tous les ouvriers allaient être augmentés. J’étais devenue la petite princesse de l’atelier et à ce titre j’ai eu le droit de goûter au bel Antonio. C’était le modèle des ouvriers. Ça rassurait mon père de savoir que je sortais avec lui. Je ne sortais pas vraiment avec lui, il me baisait de temps en temps, c’est tout.
Je me jetais donc dans les bras de deux machos finis durant la journée et le, soir, je me retrouvais avec ma lopette préférée. Vous aviez profité de mes ébats et donc de mes absences pour reprendre contact avec Claire. La salope tenait le coup. Elle avait certes démissionné mais vous étiez toujours en contact avec elle. Cette situation m’énervait. Je vous demandais d’aller chez elle de l’attacher de la violer et de prendre des photos. Je vous demandais de la faire baiser par un chien et de prendre des photos. Vous me rameniez les photos et je n’y croyais guère. Je vous soupçonnais de prendre votre pied avec elle, derrière mon dos. Les photos n’étaient que des mises en scènes grossières. A chaque fois que vous me rameniez ce genre de photos, je vous dérouillais. Vous le saviez et vous continuez. Je ne sais si c’était mes coups ou Claire qui vous faisait tant bander.
« François ! J’en ai assez de tes virées chez Claire. C’est une véritable chienne. Si tu veux la voir encore, il faudra qu’elle vienne ici. Je veux qu’elle s’installe chez nous, ici. Je veux qu’elle se mette dans cette cage ! Tu l’emmènes ici ou je la fais disparaître à tout jamais ! »
Jessy 11*
Je me suis rendu chez Claire ce soir là. Quand elle a vu mon expression elle a tout de suite compris. Elle a soupiré, a pris ses clés, est sorti de chez elle en fermant la porte. Puis elle m’a pris par le bras. Comment pouvait-elle rester aussi digne en sachant ce qui l’attendait ? Je n’ai alors pu me retenir. Je l’ai prise, là contre le mur. J’ai joui en elle.
Je l’ai entendu jouir elle aussi. Elle s’époumonait en criant mon nom, sans se soucier du voisinage. Puis nous sommes allés à la voiture, toujours sans un mot. Quand nous sommes arrivés je l’ai embrassée. Puis nous nous sommes dirigés vers la maison.
Tu nous attendais, impatiente. Claire a dit :« – Bonsoir, Maîtresse Milady. Je suis à vos ordres, votre chienne fidèle. »C’était ses premiers mots de la soirée, en dehors de ses cris de jouissance. Cela paraissait si naturel dans sa bouche. Tu as eu un sourire méchant, as pointé la cage posée près de toi et dit :« – Rentres la dedans, salope. »« – Bien, Maîtresse Milady. »C’était très petit, elle a eu du mal à entrer. Tu as refermé la cage avec un gros verrou. Puis tu m’as dit :« – Passes ta queue entre les barreaux, mon gros loup. »J’ai été étonné que tu m’appelles ainsi. Mais j’ai obéit. Tu as eu l’air furieuse en me voyant déjà si dur. Claire a approché ses lèvres de mon gland puis s’est rappelée qu’elle n’était plus ma chienne mais la tienne. Son obéissance t’énervait. Tu pensais la briser mais sa docilité paraissait si naturelle… Enfin tu t’es résignée :« – Pompes-le, sac à foutre. »Elle s’est alors exécutée, faisait bien attention à ne pas trop y mettre d’ardeur. J’ai poussé un râle sourd. Tu te sentais de plus en plus excitée malgré toi. Tu lui as hurlé dessus :« – Mieux que ça, pétasse ! C’est ça qu’on t’apprend dans tes écoles de secrétariat ! C’est pas une fellation, ça ! Tu veux me forcer à le faire moi-même ? Pour qui tu me prends ? Les larves comme lui ça se fait sucer par des déchets dans ton genre, pas par moi ! »Tu as saisis un pique feu et tu lui as malmené, les seins, le flanc, le dos. Tu as insisté sur sa colonne vertébrale. Elle suçait maintenant de toutes ses forces : ça me rendait fou. Enfin tu as dit :« – Bon… Recules-toi, lopette. »J’ai obéi. Claire à tendu la langue entre les barreaux, comme si elle voulait encore me sucer. Tu as attrapée le haut de la cage et as appuyée avec ton pied sur sa langue. Elle a eu un rictus de douleur, un hurlement assourdi. Puis tu t’es agenouillée face à elle.
Elle t’a regardée. Tu lui as crachée au visage et as dit :« – Tu ne me dévisages pas comme ça, connasse ! J’suis pas ta copine, d’accord ? »« – Oui, Maîtresse Milady. Pardon, Maîtresse Milady. »« – Bon, tu vas te faire enculer par la larve pour la peine. Mais tu dois avoir l’habitude de toutes manières, n’est-ce pas ? »« – Oui, Maîtresse Milady. J’aime tellement me faire défoncer le cul, je suis une vraie pute. J’aborde régulièrement des hommes pour leur demander de me satisfaire quand François n’est pas dans les environs. Des femmes aussi parfois, je leur prête mes jouets. »Claire joue très bien son rôle, ca t’excites terriblement. Tu continues :« – Tu as aimée te faire violer dans le bureau alors ? »« – Oui. Et puis sentir votre regard sur moi… J’ai été très déçue que vous ne restiez pas pour me voir sucer tout ces beaux mâles pour les inciter à me prendre toujours plus fort. Et aussi que vous n’accompagniez pas François quand il vient avec ses chiens… Si vous saviez quelle salope je suis, Maîtresse Milady ! »« – Mais je le sais, ma petite pute, je le sais. C’est pour ça que tu es là. »Tu souris :« – On amènera les chiens plus tard, là tu vas te mettre en position pour mon petit chien à moi, regardes comme il dresse sa queue ! »Tu ricanes alors que Claire colle ses fesses sur les barreaux, son anus positionné entre deux d’entre eux.
Je me place derrière elle. Tu me regarde et dis d’un ton paternaliste :« – Pas d’hésitation, ma petite larve. Je sais que tu es une lopette mais là tu as bien vu que c’est une vraie cochonne. Il va donc falloir la défoncer bien fort ! »« – Bien, Maîtresse Milady. »J’attrape la cage, plante ma verge en elle, violemment. Elle est poussée vers l’avant mais elle se hâte d’attraper les barreaux pour ramener son cul à son emplacement initial, entrainant mon sexe loin en elle. Je la déchire au rythme de ses halètements. Tu te place de nouveau face à elle et lui crache dessus avant de lui demander :« – Tu as envie de sortir de ta cage, hein ? Ces barreaux t’empêche d’être prise aussi profondément que tu le voudrait, n’est-ce pas ? »« – Oui, Maîtresse Milady. Mon cul est bien trop dilaté pour se suffire de si peu. »Tu souris, vas chercher le plus gros de tes godes-ceinture et te l’attaches autour de la taille. Tu le glisse entre les barreaux et Claire s’empresse de le sucer. Tu dis :« – Et tu penses que la petite queue de notre lopette, suffira ? Moi je ne penses pas… »« – C’est vrai, Maîtresse Milady. Je préférerais de beaucoup sentir votre grosse queue en moi. »Tu souris à nouveau et murmure :« – Bien… »Puis tu t’adresses à moi :« – Tu as eu ton quart d’heure de gloire, sale larve. Mais tu n’as pas été à la hauteur, comme d’habitude. Sors immédiatement de son cul, je vais te montrer ce qu’elle veut… »J’obéis et reste sans bouger à côté de la cage. Tu ouvres cette dernière et Claire se traîne dehors.
Tu ne lui laisses pas le temps de soulager ses muscles endoloris, ni même de se relever et l’encules sauvagement. Elle hurle de douleur. Tu accentue tes assauts en me regardant :« – Tu vois, c’est ça, qu’elle veut. »Puis tu ajoutes d’un ton sadique :« – Et tu ne pourras jamais lui donner ! »Tu ricanes en défonçant de plus bel la pauvre Claire, maintenant en larmes. Enfin tu me dis :« – Mets-toi à quatre pattes. Montres-nous ton cul. »« – Oui, Maîtresse Milady. »Tu te penches sur Claire et lui murmures à l’oreille :« – Tu as vu comme il est obéissant ? »Elle parviens à articuler faiblement :« – Oui, Maîtresse Milady, une vraie carpette. »« – Oui. Et vu qu’il n’a pas été capable de te donner le plaisir que tu attendais, tu dois avoir envie de te venger, non ? »« – Oh oui, Maîtresse Milady ! Ce moins-que-rien n’a même pas été capable de m’enculer comme il faut ! Il mérite une punition ! »Tu t’extrais de son cul et détache ton gode-ceinture avant de lui tendre :« – Tiens, fais-toi justice. Et n’hésites pas, il ne mérite que ça… Et il va aimer de toutes façons. »
Claire saisit le gode et le fixe sur elle. Puis elle me prend. Elle n’y va pas trop fort. Elle sait que tu as envie de la réprimander, de la forcer à me défoncer encore plus. Ca ne rate pas. Tu te mets à hurler :« – C’est ça que tu appelles le défoncer ? Un enfant de cinq ans lui ferait plus d’effet ! Tu as pourtant les outils pour… Vous êtes vraiment aussi incurable l’un que l’autre, incapable de sodomiser quelqu’un correctement ! »Tu mets un autres de tes godes-ceinture autour de ta taille et t’installe derrière Claire. Tu saisis ma taille et t’enfonce en elle en la prenant en sandwich entre nous. Le gode de Claire s’enfonce au fond de moi. Tu fais bouger ma taille au même rythme que tes hanches. Claire gémit. Enfin tu prends ses mains et les posent sur mes hanches. Tu lui caresses les seins avant de reculer. Tu dis simplement :« – Vas-y, pétasse, déchires-le. »Elle obtempère. J’ai mal. Mais c’est si bon… Tu as ôtée ta ceinture, t’es assise sur le divan et te masturbes en nous regardant. Quelques chose te déplait dans le plaisir que je prend avec Claire, mais cela t’excite tellement… Quant à moi je pousse des cris de douleur, de plaisir. Je gémis le nom de Claire à plusieurs reprises alors qu’elle me prend sauvagement. Elle m’insulte, me serre les bourses, me pince les tétons, me claque les fesses. J’adore. Je bande comme jamais. J’ai trouvé ma Maîtresse. Celle dont je serais le chien. Mais qui sera aussi ma chienne. J’éjacule dans un râle. Tu ne t’es encore aperçue de rien, tu te caresses en poussant de petits cris.
Tu réalises alors que jamais je n’avais éjaculé en étant maltraité comme cela avec toi. Tu bondis, jettes Claire au sol :« – Sale truie ! C’est MON soumis ! MA larve ! Je vais te tuer ! »Tu éclates en sanglots. Je me redresse, te prend dans mes bras. Puis je murmure :« – Tu peux être notre Maîtresse à nous deux, tu sais. Nous serons tour à tour l’esclave l’un de l’autre, suivant ton bon vouloir. Et elle pourra remplacer Anita aussi ! »Tu te calmes un peu. Oui… Anita l’insoumise. Claire sera mieux qu’un simple remplacement. Enfin une vraie salope qui t’obéira au doigt et à l’œil. Tu pourras même t’amuser à devenir sa soumise le temps d’une soirée en sachant qu’un seul mot de toi rétablira tout. Et puis Séverine est gentille mais elle n’est là que pendant la journée… Et puis tu ne penses pas qu’elle irait jusqu’à se prostituer ou s’offrir aux hommes que tu lui désigneras. Alors que Claire… Oui, Claire le ferait. Parce que je suis là, parce que tu sais qu’elle m’aime. Mais tu veux une garantie, une assurance. Tu murmures :« – C’est vrai François ? Vous serez à moi ? Tous les deux ? »Je souris :« – Oui, Maîtresse Milady. »« – Alors frappe-la. Bourres-la de coup de pied. »J’hésite un peu. Je vois que Claire porte encore les traces des maltraitances précédentes. Mais mon désir d’obéir est plus fort. Je commence à la frapper. Elle crie, se roule en boule. Mais elle n’appelle pas à l’aide. Tu m’amènes un fouet et me dis :« – Vas-y, défoules-toi. Elle t’a enculée cette salope après tout… »Je prend le fouet et frappe de toutes mes forces sans même y penser. Le sang coule des plaies de Claire. Enfin tu m’attrapes le bras :« – Arrêtes, mon poussin, tu vas la tuer. »Je m’aperçois alors qu’en effet j’aurai continué jusqu’à sa mort si tu ne m’avais pas arrêté. Parce que tu me l’avais ordonné. Je suis horrifié. Mais tu me caresses le visage, m’embrasses, me souris :« – Tu as gagné. Elle est maintenant mon esclave. Je la ferais baiser par plein d’hommes. On achètera une cage plus grande. Je vous y enfermerai tous les deux, la nuit. Et je m’amuserai de vous voir vous contorsionner pour pouvoir vous caresser, faire l’amour. Oui, ce sera amusant… Surtout quand je vous séparerai d’un seul mot. Je vais faire de vous des esclaves sexuelles. Et vous allez adorer. »Puis tu regardes Claire, ta main est toujours sur mon visage. Tu dis :« – François, sur le divan. Claire, viens me lécher. »Claire se traîne péniblement jusqu’à toi. Elle veut se relever mais elle a trop mal. Tu l’attrapes par les cheveux et lui adresse un sourire moqueur :« – Ben alors, on est fatiguée, ma pute ? Je croyais qu’on avait l’habitude de se faire déchirer les trous par des malabars ? Ne me dit pas qu’ils ne te maltraitent pas un peu ! »Elle hoche vaguement la tête et tu la relâches elle retombe lourdement au sol. Tu t’assoies face à elle, écarte les cuisses et attends. Claire s’approche et commence à te lécher, te doigter. Tu pousses un soupir. Elle s’y prend bien, malgré son corps meurtri. Oui, elle remplacera très bien Anita… Ce n’était pas un si bon coup. Tu savoures sa langue. Puis enfin tu lui dis :« – Dans ta cage, vite. »Elle murmure faiblement :« – Oui, Maîtresse Milady. »Elle veut se lever mais n’y arrive toujours pas. Alors elle rampe. Tu t’en amuses. La suit dans sa lente progression, pose parfois ton pied sur elle et appuie, lui tirant des gémissements de douleur. Puis tu la laisses continuer.
Tu viens enfin t’asseoir à mes côtés. Tu te déshabilles. Tu me regardes. Ta main se pose sur mon sexe. Je trésaille, m’attendant à une nouvelle torture. Mais tu me caresses juste en me fixant des yeux. Je lis le désir dans ces derniers. Cela faisait longtemps que je n’avais lu une telle expression. Ma verge durcit dans ta main. Tu te lèves et va fermer le cadenas de la cage. Tu te rassoies à mes côtés et commence à me masturber à nouveau. Tu regardes Claire. Moi aussi. Elle se caresse. Puis se contorsionne pour nous montrer son entrejambe, sa poitrine. Elle se lèche le sein en se doigtant. Je sens alors tes lèvres sur mon sexe. Je manque de jouir. J’avais oublié combien tu suçais bien… Quand était-ce, la dernière fois ? Bah, peu importe ! Je soupire :« – Merci, Maîtresse Milady… »Tu te redresses, me masturbes à nouveau. Tu me donnes une claque sur les fesses et je m’attend à être de nouveau sodomisé. Mais tu te penches pour me sucer à nouveau. Enfin tu te redresses. Tu écartes les cuisses et ta chatte et me dis :« – Tu sais, je suis très humide. C’est très excitant d’avoir deux esclaves aussi dociles que vous. »Tu n’as pas besoin de me l’ordonner, je suis déjà penché sur toi, te fouillant, te léchant. Tu caresses mes cheveux. Tu demandes en souriant :« – Elle a bon goût, ma mouille, hein, ma fiotte ? »« – Oui, Maîtresse Milady, c’est le plus délicat des nectars. Je suis jaloux que votre chienne ait pu y goûter avant moi… »« – C’est vrai, c’est injuste. Mais tu vas la rendre jalouse elle aussi… »Tu me redresses en me tirant les cheveux. Tu m’embrasses et te place à califourchon sur moi. Claire hurle :« – Non ! Maîtresse Milady ! C’est un sous-homme, une larve, une lopette ! Vous en pouvez le laisser vous prendre ainsi ! Donnez moi votre gode-ceinture, je vous prendrais mieux que lui ! »Tu lui souris et dis d’un ton sec :« – Ta gueule, sale chienne. Tu n’as pas d’ordres à me donner. »Puis tu me laisses glisser en toi. Tu pousses un soupir de contentement :« – François, comme j’avais envie que tu me baises à nouveau, si tu savais… »Je ne répond pas. Les seuls sons qui emplissent la pièce sont ceux des tes fesses claquant sur mes cuisses, le bruit obscène de ta chatte humide aspirant mon membre, nos souffles courts. Et les plaintes de Claire. Plaintes d’être ainsi délaissée. Plaintes entrecoupées de gémissements alors qu’elle se stimule, excitée par le spectacle de notre étreinte. Claire qui m’aime tant qu’elle a fait tout ça. Et qu’elle trouve du plaisir à me regarder en prendre. Cette pensée me fait mal. Je suces ton tétons avec un peu trop de force et tu me réprimandes gentiment. Tu sais pourquoi j’ai fait ça, la cause de ma frustration. Mais tu savoures ta victoire. Ou peut-être est-ce une défaite ? Tu t’en fiches, c’est terriblement bon. Tu me serres contre toi et dis :« – Tu n’as pas pas été très doué quand tu as pris Claire, ma lopette… »« – Non, c’est vrai. Désolé, Maîtresse Milady ? »« – Tu veux une deuxième chance… Avec moi ? Peut-être que je te stimulerai plus que cette trainée. C’est vrai que baiser une salope qui saute sur tout ce qui bouge, ce n’est pas très excitant… »Et c’est toi qui dis ça… Et pourtant ton corps m’excite toujours autant. Malgré, ou à cause, de tout ces hommes… Je te souris :« – Je saurais vous satisfaire, Maîtresse Milady ? »Tu me retournes mon sourire :« – Tu sais ce qui te différencie des autres, mon lapin ? »« – Non, Maîtresse Milady. »« – Tu me baises. MOI. Les autres ne baisent qu’une petite salope allumeuse. »Tu m’embrasses. Je crois que je tombe amoureux. Ou peut-être l’ai toujours été. Amoureux de ta violence, ton insouciance, ton ingratitude, ton égoïsme. tout le contraire de Claire. Et pourtant je vous aime toutes les deux. Quand tu me présentes ton cul j’hésite à te prendre avec ma violence habituelle. Mais tu me souris et dis :« – Tu sais que c’est comme ça que j’aime, mon goret… »Je te prend alors avec l’énergie du désespoir. Je libère toutes la frustrations, la haine, la colère, le dégoût de moi. Et tu hurles ton plaisir. Tes cris se mêlent à mes râles et aux gémissements de désir de Claire…
—– Nadine —–
Nous sommes partis tous les deux au bureau. Sur la route, je vous tenais le bras. On aurait presque cru à un couple marié. Au bureau, Séverine était déjà là, fraîche et pimpante. Elle vous a aussitôt accaparé pour vous parler de vos rendez-vous de la journée. On avait un accord tacite, je vous laissais traiter vos affaires tranquillement durant la journée. Quand à Séverine, je me suis dit que son cul mériterait une bonne correction. Mais pour l’instant, elle était occupée et je me suis vautrée dans un fauteuil et je l’ai regardée s’activer.
Je me suis endormie à un moment. Je me suis réveillée et Séverine répondait au téléphone. Je suis partie faire un tour dans l’entreprise. Je ne savais pas trop quoi faire. Je suis passée à l’atelier pour dire bonjour à mon père. Ça n’a pas manqué, Antonio m’a invitée à déjeuner. Mon père m’a encouragée à y aller. Pour tout déjeuner, je n’ai eu que son pénis à lécher. Je m’en doutais. Il m’a emmené chez lui, un minable deux pièces en désordre. Il m’a balancée sur le lit. Il s’est jeté sur moi. Il s’est juste contenté d’enlever mon slip et de me prendre sans même me caresser une seule fois. Il s’est vite déchargé en moi. Puis j’ai dû le sucer jusqu’à ce qu’il reprenne de la vigueur. Il m’a retournée sur le ventre et m’a prise par derrière. Ce fut un peu plus long que la première fois.
« Je retourne au boulot, si tu peux faire un peu de ménage, ce sera bien ! »
Il est parti et je me suis retrouvée seule chez lui. Qu’est ce que je foutais là ? Je n’avais pas la réponse. Bêtement, je me suis retrouvée à ranger ses vêtements et j’ai commencé à faire la vaisselle quand j’ai reçu un SMS de Marc. Il me donnait rendez-vous dans un quart d’heure. J’ai tout laissé tomber et je l’ai rejoint.
Comme la première fois, il m’a emmenée chez lui, dans sa grande maison dans une lointaine banlieue cossue. IL n’y avait personne chez lui et nous avons fait l’amour dans son lit sous le regard de sa femme en photo. Ça devait être un fantasme. Il me baisait bien mais côté tendresse, ce n’était pas mieux qu’avec Antonio. Il me ramena même jusqu’à chez moi (chez vous) en me disant « A la prochaine, Jessy ! » Il me glissa même un billet de 10 euros dans le slip. Voilà tout ce que je valais à ses yeux.
Je suis entrée dans la maison. J’avais presque les larmes aux yeux. Je venais de me faire baiser par deux mecs qui me prenaient pour une petite pute de rien du tout. J’avais besoin de tendresse. J’ai vu Claire dans sa cage. Je l’ai fait sortir. Je me suis déshabillée. Nous nous sommes couchées toutes les deux dans le lit. Elle m’a caressée. J’ai répondu à ces caresses. Nous avons fait l’amour. Nous nous sommes léchées, embrassées et caressées. Elle me faisait vraiment l’amour comme je ne l’avais jamais fait. J’ai repris conscience et je la repoussais.
« Salope qu’est ce que tu fais, je ne suis pas une gouine moi !– C’était pour vous faire plaisir Maîtresse Milady…– A quoi joues-tu ?– Je ne joue pas, je suis votre…– Ta gueule, tu rois que je ne vois pas clair dans ton jeu ? Allez retourne dans ta cage ! »
Elle est retournée dans sa cage à coup de pied au derrière. J’ai refermé le verrou et j’ai caché la clé. J’ai pris une douche. je me suis séchée et j’ai mis des sous vêtements et une robe très sexy. Je me suis maquillée. J’ai préparée un repas et je vous ai attendue.
Quand vous êtes arrivé, vous avez bien entendu été surpris. Mais vous vous êtes laissé faire. Nous avons dîné en amoureux. J’en rajoutais. Claire dans sa cage était silencieuse. J’ai débarrassé la table et jeté quelques miettes dans la cage. Nous nous sommes mis au lit. Je vous ai entrepris, je vous ai fait frémir. Vous bandiez comme une bête. Je me suis empalée sur vous. J’ai hurlé de plaisir. Nous avons recommencé et recommencé. J’ai fini par m’écrouler et par dormir.
Jessy 12*
Je te regarde dans ton sommeil. Tu parais si innocente… Ma main s’attarde sur ton visage, tes cheveux, tes formes. Tu gémis mon nom dans ton sommeil et te serre contre moi. C’était si bon ce soir, la sensation de la jeune chatte autour de mon membre est si délicieuse… Je bande à nouveau.
Je suis alors descendu au rez-de-chaussée. J’ai contemplé Claire, recroquevillée dans sa cage. Puis je l’ai appelée doucement, l’ai secouée. Elle s’est réveillée et m’a demandé d’une voix pâteuse :« – Oui, François ? »Je me suis contenté de glisser ma verge entre les barreaux et de lui dire :« – Suces-moi. »Elle a souri. Puis elle a demandé :« – Tu voudras me prendre aussi ? Ou m’enculer peut-être ? »« – Non, une fellation suffira. C’est juste pour me vider les couilles. »Elle a alors commencé à m’avaler. Elle n’était plus la chienne à cette instant. Elle était redevenue ma gentille Claire, celle qui se glissait sous mon bureau quand je devais rester tard le soir pour trier des papiers. Elle suce d’ailleurs toujours aussi bien… J’entends alors ta voix derrière moi :« – Tu es levé ? Tu donnes à manger à la petite chienne ? »Je me retourne doucement, Claire ne s’arrête pas… Tu es au balcon du premier étage, tu sembles encore à moitié endormie. Je crains ta réaction, j’ai peur d’avoir briser ce moment de grâce qui nous liait ce soir. Mais tu t’es contentée de regarder en te caressant puis tu as dis :« – Je suis fatiguée. Je vais retourner me caresser au lit. Tu viendras t’occuper de moi, après ? »« – Euh, oui, bien sûr, ma puce… »Je suis tellement étonné que j’en oublie de t’appeler Maîtresse. Mais là encore tu ne t’en offusques pas et me souris gentiment avant de repartir. Je reste longtemps les yeux fixés sur le balcon et jute dans la bouche de Claire sans m’en apercevoir. Elle me lèche la hampe, me caresse les bourses. Je lui adresse un sourire :« – C’était très bien. Tu veux que je te fasse sortir un peu ? »« – Non, seule la Maîtresse peut en décider. »« – Comme tu veux. »Je m’agenouille et l’embrasse :« – Tu es très courageuse de supporter tout ça… »« – Je fais ça pour toi. Et pour notre Maîtresse. »Je souris :« – Toi aussi tu t’es prise d’affection pour cette gamine ? »Elle me coupe la parole et me réprimande :« – Ne parles pas ainsi de notre Maîtresse ! »Je n’en crois pas mes oreilles. Apparemment elle a fait plus que se prendre d’affection pour toi… Ca me rassure un peu, je ne suis pas le seul à être tombé aussi vite dans tes griffes ! Je me relève et elle me demande :« – Tu veux que je te suce encore un peu ? Que je te fasse durcir pour elle ? »Je lui souris à nouveau puis regarde en direction de la chambre :« – Non, ce ne sera pas nécessaire. J’ai déjà très envie d’elle. Et puis elle sait y faire aussi, malgré son âge… »« – Oui, je m’en suis aperçue… »Je la regarde :« – Vous avez fait l’amour ? Quand ? »« – Cet après-midi. Quand elle est rentrée elle avait l’air si triste… Je crois qu’elle s’est faite baiser par des hommes qui l’ont traitée comme une pute. Alors elle m’a libérée et nous avons fait l’amour. »Puis Claire rajoute :« – Mais elle m’a repoussée ! Elle m’a dit que je voulais faire d’elle une lesbienne ! »Elle sanglote. Je reviens vers elle et lui pose la main sur l’épaule. Elle voudrait se serrer contre moi mais la cage l’en empêche. Elle gémit :« – Expliques-lui, François ! Dis-lui que je voulais juste lui faire du bien… »Elle a toujours été si gentille. Et, à nouveau, elle ne pense pas à elle, réduite à l’état d’esclave sexuelle, mais à ton bonheur, celui de sa Maîtresse. Pourquoi ne suis-je pas tomber amoureux d’elle plus tôt ? Ou, plutôt, pourquoi ne m’en suis-je pas aperçu ? Ou peut-être est-ce mieux ainsi ? Oui, j’en suis sûr. Toi, la petite fille perdue, tu vas donner un sens à tout ceci. Et nous formerons un couple épanoui tous les trois. Mais il reste tant d’obstacles à franchir… Je me relève et remonte vers la chambre :« – Je lui en toucherai deux mots, ne t’inquiètes pas. Dors maintenant, tu en as besoin. »Elle a les yeux baissés, elle semble brisée. Sa voix est un murmure :« – Tu m’aimes toujours, François ? Même maintenant que je suis devenue la trainée servile de ta Maîtresse ? »Je la regarde avec un sourire plein de compassion. Elle relève la tête, je lis de l’espoir, du désir dans son regard. Et une infinie douceur. Je lui souris et dis :« – Je t’aime plus qu’avant, si cela est possible. »Elle s’effondre en pleurs. Des pleurs de fatigue, de joie… C’est tout son désespoir qui s’échappe de son corps. Quand je jette un dernier regard sur elle avant d’entrer dans la chambre elle s’est déjà endormie…
Toi aussi tu dors et je m’approche doucement. Je ne veux pas te réveiller mais ne peux m’empêcher de glisser mes doigts sur tes formes. Tu t’étires et m’adresse un sourire. Tu me dis simplement :« – Tu me prends tout de suite ou tu as besoin que je te fasse durcir ? »Je ne peux retenir un rire. Tu es si spontanée, crue même dans tes demandes. Et j’y ressens pourtant une certaine naïveté, comme si tu ne savais pas vraiment ce qui t’attendais… Je te souris en massant ta poitrine :« – Ca ira, rien que de te voir m’a rendu bien assez raide. »Tu tends les bras et me dis alors :« – Alors viens me prendre, mon bel amant, viens jouir en moi. »Je ne me suis pas fait prier. Tu n’as pas tardé à pousser des hurlements de jouissance, tes hanches se sont mises à bouger frénétiquement, accompagnant mes assauts. Tu as gémi mon nom, me réclamant plus d’ardeur. Puis tu t’es retrouvée assises sur moi, je ne sais trop comment. Je crois que c’est moi qui t’ai relevé mais je n’en suis pas sûr. Nous sommes si focalisés sur notre jouissance que les détails s’estompent… Je me rappelle pourtant tes seins qui ballotaient face à moi, mes lèvres qui les caressaient, les pinçaient tendrement aussi. Mes mains qui pétrissaient ta poitrine, tes fesses, te caressaient le visage, les hanches, les cheveux. Mes doigts qui jouaient en toi, sur ton clitoris, dans ton anus, dans ta bouche, sur tes mamelons durcis. Enfin je t’ai remise sur le dos et me suis penché sur toi, t’ai embrassé… Et t’ai rempli de ma semence. Tu m’as serré contre toi, as crié mon nom, comme une complainte, un appel désespéré, un espoir futile de faire durer cet instant d’éternité… Puis le silence a envahi la pièce, seuls nos souffles courts se faisaient entendre. J’étais avachi sur toi et tu me caressais le dos, la nuque, les cheveux, les fesses. Comment avais-je pu tenir si longtemps sans ressentir ça ? Comment avais-je pu te laisser t’éloigner, te faire baiser par tout ces hommes alors que j’étais là ? Et quand ton plaisir a t-il pris une si grande importance pour moi que tes seuls halètements suffisent à me rendre fou ? Je ne sais pas. Je n’en ai cure. Je t’embrasse tendrement et me place à tes côtés. Je te prend dans mes bras et tu t’y blottis en murmurant :« – C’était merveilleux, ma lopette. Tu as intérêt à assurer comme ça plus souvent si tu veux me garder… »« – Oui, Maîtresse Milady, je ferais tout pour vous plaire, vous donner du plaisir. »« – C’est bien… »Tu soupires alors et t’endors dans mes bras.
Le lendemain je me réveille seul. Je panique : que nous réserves-tu encore ? Ou peut-être as-tu fui, déboussolée par notre étreinte d’hier ? Je descend les escaliers quatre à quatre et je te trouve en train de petit déjeuner tranquillement. Je m’arrête essoufflé. Tu me regardes :« – Un problème, petite merde ? »« – Non, non, rien Maîtresse Milady… »« – Bien. »Je viens m’asseoir en face de toi. Tu sembles pensive et de mauvaise humeur ce matin. Pourquoi ? Tu paraissais si heureuse hier ? Ou peut-être est-ce pour ça… Tu as peur de redevenir dépendante de moi. Je veux te rassurer et je pose ma main sur ton bras avant de dire :« – Ne t’inquié… »Tu ne me laisses pas finir, retires ton bras comme si je t’avais frappée, me flanques un grand coup de pied et hurles :« – Dans la cage avec l’autre pute, tout de suite ! »Je ne vois pas trop comment on va pouvoir tenir à deux dedans mais j’obéis et me dirige vers celle-ci. Tu ouvres la porte, Claire se serre au fond :« – Entres, sale larve, déchet de l’humanité. »J’arrive tant bien que mal à me placer aux côtés de Claire et tu refermes la porte avant de verser mon petit déjeuner sur la cage :« – Démerdez-vous pour manger. »Puis tu vas chercher le jus d’orange et nous le verse dessus :« – Et voilà pour les vitamines ! »Enfin tu finis de t’habiller et commence à partir je t’appelle :« – Jessy ! Je dois aller travailler ! »Mais tu ne réponds pas…
Nous restons ainsi toute la journée. Nous avons soif. Mais nos corps serrés l’un contre l’autre éveillent notre désir. Je bande et Claire parvient à glisser sa main sur ma verge. Nous nous embrassons alors que je la doigte. Je ne sais combien de fois j’ai éjaculé entre ses doigts. Ni combien de fois j’ai senti son vagin être agité de spasmes sous mes caresses. Mais ce fut une journée mémorable. Bizarre mais mémorable.
Enfin tu es rentrée. Tu avais l’air déprimée à nouveau. J’ai demandé :« – Qu’as-tu ? C’est Antonio, n’est-ce pas ? »Tu t’es contentée de hocher la tête, à ouvert la cage. Je suis sorti. Tu as dis :« – Toi aussi, grosse pute. Mets-toi à quatre pattes. »Tu t’es assise sur elle, sans considération pour ses muscles endoloris. Elle n’a rien dit, a juste serré les dents. J’ai demandé :« – Il t’a encore traité comme une salope ? »« – Pas aujourd’hui. Il n’était pas en forme. Enfin si on peut dire qu’il est parfois en forme… C’est son frère et son cousin. Ils étaient de passage alors il m’a demandé de les satisfaire. »« – Et tu as accepté ? »« – Bien sûr. »« – Mais c’est inadmissible ! Quel petit salopard ! On va lui faire un procès, le faire virer ! »Tu souris :« – Il me semble que tu n’étais guère mieux, il y a peu… »Je rougis, bafouille :« – Je… Mais… J’ai changé ! »« – Peut-être qu’il changera aussi… »Je tempête :« – Mais pourquoi restes-tu avec lui ? Encore Ben, je pouvais comprendre, mais lui ? Et l’autre petit crétin, le Golden Boy… »« – Marc. »« – On s’en fout de son nom. Vire-les ! »« – Je ne peux pas… »Je sens un sourde angoisse dans ta voix, tu baisses les yeux. Ma colère s’apaise et je m’approche de toi :« – Pourquoi tu ne peux pas ? Dis-le moi ? »Tu sanglotes :« – Je ne veux pas finir seule, j’ai peur ! Je n’ai rien à offrir, rien que mon corps… »Je m’agenouille face à toi, te prends parles épaules, soulève doucement ton visage embué de larmes. Je lèche l’un d’elle alors qu’elle coule sur ta joue :« – Tu m’auras toujours, moi. Et Claire aussi. Ne t’as t-elle pas prouvé hier qu’elle voulait ton plaisir ? »Tu cries :« – Non ! Elle est comme les autres ! Elle pense que je suis une sale petite gouine ! »Ta voix n’est pas aussi assurée que tu le voudrais. Je me contente de te sourire. Claire te dis :« – Ce n’est pas vrai. Vous m’êtes précieuse. Je voulais vous donner du plaisir. Vous rendre votre sourire. Mais je ne suis pas un homme… »Je te dis alors :« – Demain, tu vires cet Antonio. Je m’assurerai que ni lui, ni ton père ne fasse de problème. Je doute que ses cousins soient de taille contre mes amis… »Tu murmures :« – Et Marc ? Il baise si bien… Mais il me traite comme une simple pute, même pas une escort. Il m’a payée dix euros la dernière fois. Dix euros… »J’enrage. je voudrais te dire de l’envoyer au Diable, que l’on va s’occuper de ce petit salopard d’une façon bien cruelle. Mais j’ai une meilleur idée :« – Tu voudrais qu’il soit à tes pieds ? Que ce soit toi qui lui envoie des SMS pour lui demander de venir te satisfaire. Qu’il te prenne uniquement quand et si tu en as envie ? Tu pourras même t’amuser à le faire venir pour rien, juste pour l’humilier. Et lui glisser un billet en partant, ‘pour le dérangement’. Un billet de cinq euros… Tu pourras le faire devant tout le monde. »« – C’est vrai ? C’est possible ? »« – Oui. Ce petit imbécile se prend pour une star. Et j’ai plein de dossier compromettant. Sur lui. Sur sa femme aussi. Sur ses collègues et sa société. Je ne les sors pas parce que ça ne se fait pas entre PDG. Mais s’il t’a traité ainsi… »Ta voix est pleine d’espoir :« – Et je pourrais sentir sa queue si je veux ? »« – Oui. Et il n’a pas intérêt à mal te baiser, le petit saligaud. Il devra déjà s’estimer heureux de pouvoir continuer à te prendre. »
Tu as l’air soulagée. Mais une ombre passe sur ton visage. Tu murmures :« – Et si tu me quittes ? Tout le monde me haïra. Je deviendrais une paria. Même Ben ne voudra plus de moi ! »« – Je ne t’abandonnerais pas. »Tu te lèves d’un coup et me pointes du doigt en hurlant :« – Vous dites tous ça, vous, les hommes, mais ce n’est que du vent ! Ne m’as tu pas promis monts et merveilles au début de notre relation ? »« – Si… Mais… »« – Mais rien, tu mens ! Tu veux m’avoir pour toi tout seul et te venger ensuite en me laissant tomber ! »« – Non ! Jamais je ne ferais ça, je t’aime ! »Tu restes figée en entendant ce mot. C’est vrai que je ne te l’avais jamais dit. Du moins pas sérieusement. Tu trembles et murmure enfin, anéantie :« – Non. Tu aimes cette trainée. Cette Sainte-Nitouche de Claire. Avec ses seins blancs et son auréole d’ange. Celle qui a tout abandonné pour toi. Je ne suis rien, moi… »Je me relève aussi te saisis à nouveau par les épaules et te secoue pour te sortir de ta torpeur :« – C’est faux ! Oui, j’aime Claire. Oui, j’aime sa pureté, sa gentillesse, sa docilité. Mais je t’aime aussi. Avec ta froideur, ta mauvaise humeur. Cela ne rend que meilleur tes moments de calme. Si tu savais combien il est bon de te faire l’amour après une de nos engueulades. Ou de te prendre délicatement après que tu m’ais humilié avec tes jouets. Et puis j’aime te voir porter une de mes chemises au petit déjeuner le matin, les cheveux en bataille, sans ton maquillage. Juste toi. Tu es précieuse à mes yeux. »Je sens bien que tu ne veux me croire. Tu dis alors dans un murmure :« – Tu feras tout pour moi ? »« – Oui. »« – Bien, vas chercher ton arme. »
Il y a longtemps que je craignais ce moment. J’ai pris le soin de remplacer les munitions par de la grenaille mais cela reste dangereux à manipuler. J’obtempère malgré tout. Tu demandes sans relever la tête :« – Il est chargé ? »« – Oui. »« – Bien, sors Claire de sa cage et violes-la. Plaques ton revolver sur sa nuque pendant que tu la prendras. »J’obéis à nouveau. Notre étreinte contraste tellement avec nos caresses de la journée. Claire ne retient pas ses cris de douleurs et je la prend aussi fort que possible. Nous savons qu’il n’y a qu’ainsi que tu seras apaisée. Tu nous regardes, hypnotisée. Enfin je jutes en elle et attend que tu m’ordonnes de ressortir de son corps. Mais ton ordre me glace le sang :« – Tues-la. C’était votre dernière étreinte, son cadeau d’adieu. »Je reste figée. Puis je sors lentement de ma compagne. Je te supplie du regard :« – Jessy, reprends-toi… »Tu hurles :« – Ta gueule, sale larve ! Tu m’avais promis ! Tues-la, prouves-moi que tu m’aimes au moins autant qu’elle ! »Je pointe l’arme vers Claire. J’ai beau savoir qu’à cette distance elle n’aura que quelques contusions, je ne peux presser sur la détente. Et Claire, qui ignore pourtant que le revolver n’est pas chargé avec de vraies balles ne réagit pas. Elle tremble pourtant, de tout son corps. Je l’entend sangloter faiblement, murmurer une prière. Pourquoi ne se révolte t-elle pas ? Tu dis alors d’un ton tranchant comme l’acier :« – Poses le canon sur sa tempe, je veux voir sa cervelle répandue sur le tapis… »Tu es devenue folle. En plus, je sais qu’un coup tiré de si près risque d’être très dangereux, même avec de la grenaille… Je t’adresse un dernier regard mais tu détournes les yeux et dis simplement :« – Tires ! Tires !!! »Claire me regarde et me sourit :« – Fais-le. Pour toi, pour elle, pour nous… »Je ferme les yeux et presse sur la détente. J’entends ton cri d’effroi. Mon bras tombe le long de mon corps et l’arme glisse de ma main, faisant un bruit sourd en percutant le sol. Enfin j’ouvre les yeux et je vois Claire, gisante dans une mare de sang. Je ne cesse de me répéter à moi-même, sans pouvoir bouger :« – Je l’ai tué. J’ai tué Claire. J’ai tué l’une des femmes que j’aimai. Et probablement celle qui m’aura le plus aimé, celle qui m’aimera le plus. »Tu reste pétrifiée. Puis tu deviens hystérique. Tu geins :« – Non ! Claire ! Je ne voulais pas ! Elle était si gentille ! Ces doigts étaient si doux… Non !!! »Tu tombes a ses côtés et remues le corps comme si il allait se réveiller. Ta voix devient murmure :« – Non, reviens-moi. Ma petite chienne… »Puis tu te jettes dans mes bras en pleurnichant :« – Ne m’abandonnes pas, s’il te plait ! Je redeviendrai ton esclave si il le faut, mais ne m’abandonne pas. Je ne savais pas, je ne voulais pas… »Je te serre contre moi et répond distraitement :« – Ne t’inquiètes pas. Tout ira bien. Tu es tout ce qui me reste de toutes façons… »Tu m’embrasses. Un gémissement sourd s’élève derrière toi. Claire. Elle est encore en vie. Mais plus pour longtemps si on ne fait rien. Tu te jettes sur elle, la prend dans tes bras :« – Oh, Claire… Tu ne voulais pas me quitter, n’est-ce pas ? Merci… »Je pose ma main sur ton épaule et dis doucement :« – Dépose là doucement, on ne sais pas si elle n’a pas de traumatismes graves. Le mieux serait de l’emmener rapidement das une clinique. »Tu me regardes, pleine d’espoir :« – Elle reviendra ? Ce sera de nouveau ma petite chienne ? Elle me pardonnera ? »« – Oui, j’en suis sûr. Elle t’aime, tu sais… »Tu te serres contre ma jambe puis vas finalement t’asseoir sur le divan. J’appelle Justin en m’habillant :« – Justin, une voiture rapide et confortable, vite. Et prévenez le médecin qui habite à proximité aussi. »Je vais chercher un peignoir pour habiller Claire. Le médecin arrive bientôt accompagné de Justin. Il ausculte Claire puis dit :« – Ca n’a pas l’air trop grave. Probablement un léger traumatisme crânien. Des soins et beaucoup de repos devraient faire l’affaire. »Je le remercie et Justin m’aide à la porter au dehors. Il ne dit rien mais t’adresse un regard noir. J’hésite à te laisser seule. Je viens alors te voir et m’agenouille devant toi en te disant :« – Ne t’inquiètes pas, tout va s’arranger. Bientôt, tout ceci ne sera plus qu’un mauvais souvenir et tu pourras t’amuser avec ta petite chienne et moi. Elle ne t’en voudra pas, tu le comprendras quand elle te léchera… »« – Tu crois ? »« – J’en suis sûr. »« – Et la police ? Et l’enquête ? »« – Il n’y aura pas d’enquête, j’en fais mon affaire. Et puis Claire ne portera pas plainte. »« – Mais si elle meurt… »Tu fond à nouveau en larmes. Je te serre contre moi :« – Elle ne mourra pas. Claire est forte. Et elle t’aime. Ne l’oublie jamais. N’oublie jamais ce soir. »Tu renifles :« – Je n’oublierai pas… Comment le pourrai-je ? »
Une semaine plus tard, Claire est de retour. Elle n’a pas sûr pas été dans sa cage, pas tout de suite… Elle a même eu droit au grand lit. Plusieurs fois tu as fait des crises d’hystéries, t’enfermant dans la cage, te frappant la tête sur les barreaux, exigeant que l’on te frappe, t’insulte. Mais dans ces moments là nous refusions de t’obéir. Claire et moi te calmions. T’embrassions. Cela finissait habituellement au lit, tu t’offrais à moi et je me faisais aussi doux que possible. Tu voulais juste être rassurée. Tu n’étais qu’une enfant capricieuse finalement. Séverine passait parfois te voir. Elle n’était bien sûr pas au courant des détails de notre relation. Mais je trouvais sains que tu vois d’autres personnes. Même si ce n’était clairement pas la personne la plus indiquée… J’avais essayé de recontacter Ben mais il m’avait raccroché au nez. Dommage. Nous ne nous étions pas encore occupés de Marc. Mais je l’avais rabroué un jour, décrochant à ta place. Il n’a plus rappelé. Il sautait apparemment Séverine maintenant. La pauvre. Enfin bon, il sera toujours temps de le mettre à nos pieds quand tu auras repris du poil de la bête.
Enfin, un matin, alors qu tu amenais le petit déjeuner de ta petite chienne, qui allait déjà mieux, tu t’es approchée d’elle, lui a caressée le sein puis l’a sortie de sa chemise de nuit pour le sucer. Claire a été surprise :« – Maîtresse ? Je… Vous ne craigniez pas que l’on pense que vous êtes gouine ? »Tu lui as caressée le visage, délicatement. Tu lui as souris en murmurant :« – Tu es mon esclave, n’est-ce pas ? »« – Oui, Maîtresse, bien sûr. »Elle n’a même pas pensé que cela pouvait être le prélude à des tortures. Ainsi est Claire :« – Alors si nous faisons l’amour, je ne peux pas être une gouine étant donné que je baises avec mon esclave et non une femme… »Elle a froncée les sourcils :« – Euh… Oui, Maîtresse. »« – Alors tout va bien… »Tu as alors commencée à caresser ta petite chienne, toute heureuse d’avoir récupéré ton bien…
—– Nadine —–
J’étais débordée par tous ces événements. J’avais du mal à tout assumer. Je n’allais plus au bureau et Séverine s’occupait de tout. A la maison, je finissais le plus souvent dans vos bras et je m’y endormais comme une petite fille. Quand Claire n’était pas dans sa cage, je ne disais rien. Je savais très bien que, derrière mon dos, vous preniez tous les deux du plaisir. Je m’en fichais. Il parait que Marc couchait avec Séverine et je m’en fichais. Je suis restée ainsi plusieurs jours enfermée chez vous.
Je suis enfin sortie un jour. A mon retour ce fut à nouveau l’enfer pour vous deux. Vous étiez tranquillement assis dans le canapé à regarder la télé. Ça m’a mis e hors de moi.
« Toi la salope de chienne, qu’est ce que tu fais hors de ta cage ? »
Je me suis précipitée sur Claire et je l’ai tirée par les cheveux et je l’ai rouée de coups de poing et de pieds. Vous ne bougiez pas. Je vous ai crié dessus.
« Lopette de mon cul va me chercher une corde et vite fait sinon je la bute et ce sera après ton tour ! »
J’étais ivre de rage. Je la bousculais et lui arrachais le peu de vêtements qu’elle avait. Quand vous êtes revenu, elle était nue. Je lui ai fait tendre les bras et vous lui avez attaché les poignets avec la corde. J’ai pris l’autre bout de la corde et je l’ai balancé au-dessus de la poutre. Je l’ai récupéré. J’ai tiré dessus jusqu’à ce que Claire touche à peine le sol avec ses orteils. J’ai attaché la corde au tuyau du radiateur. Claire était suspendue par les bras, nue, le corps tendu. Je suis partie chercher un martinet, deux fouets, une cravache.
« Allez petite bite, tu vas fouetter ta chérie ! Fais la jouir !!! »
Vous avez commencé à la fouetter mollement. J’ai crié. Vous avez frappé plus fort. J’ai crié encore plus et vous avez frappé encore plus fort. Mais ça ne me suffisait pas. Je vous ai fait mettre tout et j’ai pris un fouet et je vous ai fouetté. Je frappais de toutes mes forces et je vous demandais d’en faire autant avec Claire. Vous commenciez à prendre votre pied entre les coups que je vous donne et ceux que vous donniez à Claire. J’ai arrêté et vous continuez. Claire se plaignait. Elle vous suppliait mais vous étiez sourd à ces suppliques.
« Couché sale chien ! Je vais la finir ta salope ! Je vais la finir comme elle le mérite ! J’en ai marre de son sourire !!! »
Vous vous êtes mis à quatre pattes. Je me suis mise face à Claire. Je l’ai frappé avec la cravache. Je l’ai frappé sur son ventre, ses cuisses, son bas ventre, ses seins, ses bras. J’ai frappé jusqu’à ce qu’elle perde connaissance. Alors je vous ai mis sur le dos. Je me suis installée à califourchon sur vous et je vous ai masturbé d’une manière très sauvage. Quand vous avez éjaculé, j’ai fondu en larmes. Nous avons laissé Claire suspendue et nous sommes partis nous coucher.
Je vous ai alors raconté mon après-midi. J’étais retournée à l’entreprise. Je ne le voulais pas vraiment et pourtant je suis repassée par les ateliers. Et j’ai revu Antonio et je l’ai suivi. J’étais quand même attirée un peu par lui. Mais une fois dans son studio, j’ai eu droit à une crise de jalousie. Il me reprochait d’avoir disparue. Il me reprochait de coucher à droite et à gauche. Il me traitait de salope et a commencé à me cogner dessus. J’ai dû ensuite faire le ménage, la vaisselle, ranger ses affaires et faire son lit. Je l’ai sucé et il m’a fait l’amour. Il m’a dit que c’était nul. Il a téléphoné à deux de ses amis. Ils sont arrivés et il m’a encore forcé à faire l’amour avec eux. Je ne voulais pas, il m’a encore frappée et insultée alors j’ai finis par accepter. Je me dégouttais.
Après la séance de tout à l’heure et après ce que je venais de vous raconter, vous vous êtes dit que cet Antonio était bien précieux pour votre jouissance et que vous alliez le chouchouter désormais. Plus il me brusquerait et plus je serai une bonne Maîtresse. Vous m’avez caressée en me disant que tout ça était fini et que vous vous occuperiez d’Antonio comme vous vous étiez occupé de Marc Kosky et de sa femme. Vous m’avez dit en souriant de venir demain matin avec vous au bureau. On s’est endormie et la pauvre Claire est restée suspendue toute la nuit.
Je l’ai détachée au petit matin. Elle tenait à peine sur ses pieds. Je l’ai laissée s’écrouler sur un matelas à même le sol et je me suis préparée. Je vous ai attendu dans la cuisine. Nous sommes partis ensemble au bureau. Vous m’avez laissé un moment avec Séverine. Elle semblait gênée. Une heure plus tard ; Marc Kosky est passé devant nous. Il était accompagné d’une femme blonde. J’ai reconnu la femme des photos de sa maison. C’était sa femme. J’ai vu Séverine rougir. Marc et sa femme son entrés dans votre bureau.
« C’est vrai que tu baisses avec ce mec ?– heu.. C’est-à-dire que…– allez fait pas ta Saint Nitouche, tu fais tout ce que je te dis alors tu fais peut être aussi tout ce qu’il te dit…– Non Jessy ne croyez pas ça…– Il te baise ou non ?– Il.. il…– Il te baise ou non ?– Oui !– Et bien voilà, t’es la petite poule du coq… Il suffit de le dire !!– Ca vous gêne Jessy ?– Bof, il me saute aussi…– Désolée, je ne savais pas…– T’en fais pas, quand il y en a pour une, y en a pour deux… Il te fait jouir au moins ? »
Elle n’a pas pu me répondre, vous m’avez appelée dans votre bureau. Monsieur et madame Kosky étaient assis face à vous.
« Entre Jessy… Je vous présente ma collaboratrice… Jessy, je te présente Monsieur et Madame Kosky. Marc, vous connaissez déjà Jessy il me semble ? Si nous reprenons nos comptes, vous nous devez très exactement 847 630 euros. Si je retire les 10 euros que vous avez déjà donnés à Jessy, il nous reste à percevoir 847 620 euros. Vous avez deux minutes pour régler vos dettes !– Mais ce n’est pas possible !– Et si ! Et je ne parle pas des autres affaires, pour l’instant. »
La femme de Marc perdait de son assurance. D’où j’étais je voyais ses mains moites. Elle vous a regardé : « Laissez nous un délai, le moyen de nous retourner. Nous avons deux enfants, vous ne pouvez pas…– Si, madame Kosky, ma chère Alice, je peux tout et il va falloir de vous remboursiez. En euros ou autrement… Ca fait une grosse somme vous savez. Va vraiment falloir assumer.– Nous assumerons…– Un petit acompte peut être ?– Mais que voulez-vous ? »
Vous me regardez : « Alors, Jessy je décide ?– Ben oui, t’es le patron (enfin ici !)… »
Jessy 13*
J’ai souri. Puis j’ai dis machinalement :« – Il parait que vous baisez bien, mon cher Marc. C’est ce que m’ont dis Jessy et Séverine. »Il s’est raidi. Sa femme l’a regardé et a demandé :
« – Qu’est-ce qu’il raconte ? »« – Vous ne saviez pas ? Votre mari baise mes secrétaires. Entre autres. »« – Ce n’est pas vrai ! Dis lui, Marc ! »« – Bah, ce n’est pas grave. Vous baisez bien avec l’homme qui nettoie votre piscine… »Elle a rougi, a ouvert la bouche mais n’a rien dit. Je les ait regardé avec un sourire. Puis, toujours machinalement j’ai dit :« – Marc, faites moi une démonstration. »« – Quoi ? »« – Baisez votre femme. »« – Vous êtes fou ! »« – Vous préférez que j’appelle Séverine ? »« – Je… Non… »« – Alors baisez Alice, vite. »Il l’a saisit parles épaules et l’a embrassé, a commencé à la caresser. Elle a voulu se libérer mais il l’a maintenu. Je me suis appuyé sur mon siège et j’ai dis :« – Ne vous retenez pas, Marc, violez la. Déchirez ses vêtements. Ce sera ôté de votre facture… »« – François… »« – Ta gueule, et obéis. »Sa femme l’a regardé, horrifiée. Mais il a obéi, a déchiré ses vêtements et l’a plaquée sur le bureau face à moi. Il a commencé à la pénétrer. Je l’ai regardé. J’ai soupiré comme si je m’ennuyais et j’ai dis :« – Mieux que ça Marc. Ne me dites pas que c’est ça qui rend mes secrétaires folles de votre sexe. Et puis il me semble que vous préférez la sodomie… »Alice a crié :« – Non, non ! »Mais Marc me connaissait. Il savait qu’il n’avait pas le choix. Il l’a fait. J’ai sorti ma queue, me masturbant doucement. Tu t’es assise à mes côtés, sur l’accoudoir et m’a caressé la verge en m’embrassant. Enfin j’ai dis :« – Bien Marc. Mais je pense que vous n’enculez pas votre femme comme la salope qu’elle est. Son amant doit la ramoner bien mieux. »Je me lève :« – Je vais vous montrer. »Je lui ai fait signe de s’écarter sans même lui adresser un regard. Et j’ai violemment déchiré l’anus de sa femme. Elle a hurlé. Je m’en fichais, le bureau était insonorisé. J’ai saisi sa tête et lui ai dit :« – Tu vas lécher Jessy, ma petite Alice. »« – Je ne suis pas une gouine ! »« – Elle non plus. Elle aime juste qu’on lui lèche la chatte. »Tu t’es installée sur le bureau, cuisses écartées. J’ai plaqué la tête d’Alice sur ton intimité. Elle rechignait encore. Je t’ai laissé faire. Tu as redressé sa tâte, lui a craché au visage puis l’a giflée :« – Salope ! Tu vas me lécher et bien, d’accord ? Tes cris m’ont bien excitée alors maintenant tu finis ton boulot ! »Elle s’est mise à pleurer. Mais elle a obéi. Je l’ai enculé plus fort, lui arrachant des cris étouffés par ta chatte. J’ai regardé Marc :« – Ben alors ? Vous ne vous branlez pas ? Elle ne vous excite plus votre femme ? »Il n’a rien répondu. J’ai appuyé sur l’interphone :« – Séverine, venez sucer Marc, il n’a pas le moral. »Séverine est arrivée. Elle était gênée, rougissante. Je lui ai souri. Elle a vu que Marc avait déjà la queue sortie. Ses yeux ont brillé de désir. Quelle salope ! Puis elle l’a sucé en se caressant les seins, la chatte. J’ai retourné Alice sur le dos et lui ai recouvert la poitrine et la gorge de foutre. J’ai dis :« – Va sucer ton mari avec son amante. Fait toi juter à la gueule. Je parie que ça fait longtemps qu’il ne le fait plus, que tu n’attends que ça. »J’ai regardé Séverine et Alice sucer ce petit con avec un sourire. Tu m’as masturbé en m’embrassant, j’étais déjà dur. Je t’ai prise. J’ai tourné la tête en entendant Marc pousser un râle, jutant sur ses deux compagnes. Je te baisais méthodiquement, tu m’enlaçais, je n’avais d’yeux que pour toi. J’ai dit distraitement :« – C’est bon, tu peux t’en aller Marc. »« – Bien… Viens Alice. »« – Elle reste ici. Jusqu’à nouvel ordre elle sera ma pute. Et celle des employés que je lui désignerais. »J’avais déjà un employé en tête…« – François, non ! »« – Ta gueule, barres-toi. »Il est parti en claquant la porte, laissant Alice agenouillée, en pleurs. Séverine a regardé Marc partir puis est venue consoler Alice. J’ai ricané :« – Tu baises son mari et maintenant tu fais la gentille ? Vas faire ton boulot Séverine, je t’appellerai si Alice ne me suce pas assez bien. »Je te limai toujours la chatte, délicatement, caressant tes seins. Tu m’as embrassé et a murmuré :« – Merci, ma lopette. »Je t’ai souri puis t’ai retourné pour t’enculer…
Plus tard dans la journée, alors qu’Alice était glissée sous mon bureau pur me sucer la bite j’ai téléphoné à l’atelier :« – Passez moi Antonio. »« – Allô ? »« – C’est le patron. Bon, je sais que tu baises une de mes secrétaires, la stagiaire. »« – Ouais, et alors ? »« – Et alors j’ai des infos pour toi. »« – Ah ? »« – Oui. Tu sais quand tu la frappes et que tu la forces à baiser d’autres hommes… »« – Oui ? »« – Et bien elle adore. »« – On dirait pas, elle rechigne. »« – C’est parce qu’elle veut que vous soyez plus violent. »« – Ah ok. »« – Bon je vais te filer un tuyau pour ce soir. tu vas contacter un de mes amis. »« – J’ai déjà assez de potes pour la faire baiser. »« – Je doutes qu’il ait des chevaux et des chiens de races. »« – Elle aime ça aussi ? »« – Elle n’ose pas mais elle en rêve. »« – C’est quoi le traquenard. »« – Pas de traquenard. »Je jette un oeil à Alice. Je presse sa tête contre mon aine alors que j’éjacule dans sa bouche. Je dis alors :« – Je vais te prouver ma bonne foi : Tu vas avoir le droit à la visite d’une de mes amies avide de bite comme la tienne. »« – Vraiment ? »« – Oui, ça rendra Jessy jalouse. »« – Bonne idée. »« – Bon je t’envoie la petite Jessy, mon amie viendra chez toi avec l’adresse du gars. Baises la bien, elle aussi, elle aime qu’on la rudoie. »Je raccroche. Puis je souris à Alice :« – J’ai un travail pour toi… »Elle me supplie du regard. Mais je me contente de caresser son beau visage et de lui dire :« – Mais d’abord tu vas me faire durcir et m’offrir ton cul. »
En fin de journée je me suis arrangé pour t’envoyer à l’atelier. Je savais que tu irais voir Antonio. Et si tu n’y allais pas j’avais contacté deux trois autres ouvriers pour t’amener à lui, de gré ou de force… Soit-disant sur ordre d’Antonio, bien sur !
—– Nadine —–
Elle avait bien dégusté, cette salope d’Alice. Son mari m’avait prise pour une moins que rien. Vous lui aviez mis le paquet. J’espère qu’elle s’en souviendra. Mais quel salaud ce Marc. Il n’a pas hésité à balancer sa femme pour s’en sortir lui. Il me débecte. Il baisait bien mais il me débecte quand même.
Je me sentais en forme. Vous m’avez donné un papier à aller porter à l’atelier. J’avais le temps, j’ai traîné en parlant avec plusieurs personnes qui m’ont trouvée en forme. J’ai fini par rencontrer Antonio. C’était le début du week-end et il m’a demandé de passer chez lui. Je me suis dit que c’était au bon moyen de mettre les choses au point. On est donc rentré chez lui. Il m’a tout de suite emmené au lit et nous avons fait l’amour. Il a pris soin de moi. C’était très bien. Après, je n’ai pas échappé à la séance de ménage. Je me suis dit que ça valait la peine si après on recommençait.
Ça a sonné à la porte, alors que je finissais la vaisselle qu’Antonio n’avait pas faite depuis la dernière fois que j’étais venue. A ma grande surprise, je vis Alice entrer dans le studio.
« Mais qu’est ce qu’elle fait là, celle là ?– T’occupe Jessy, retourne faire la vaisselle et quand t’auras fini ramène nous à boire… »
Rageusement, j’ai fini la vaisselle et je suis revenue avec deux bouteilles et trois verres. Alice s’était fait une beauté. Elle portait une mini jupe et son décolleté laissait deviner son soutien-gorge rose. Elle faisait un véritable numéro de charme. Antonio ne savait plus où se mettre. Il lui a servi un verre et pas à moi. Il s’est approché d’elle et je suis restée debout.
« Elle va rester longtemps cette pétasse ? Tu la connais d’où d’abord ?– Jessy ne parle pas comme ça de mes invités !– Mais tu vois pas quel te fais du plat…– Jessy tu m’énerves, fermes là ! Retourne dans la cuisine. »
Comme une conne, je suis retournée dans la cuisine. Antonio est venue me chercher :« On va passer le week-end à la campagne, chez un ami d’Alice. Elle est vraiment super cette fille ! »
Je n’avais pas mon mot à dire. On a pris la voiture d’Alice. Elle conduisait. Antonio était à côté et moi derrière, à l’étroit. Nous avons roulé plus d’une heure avant d’arriver devant une grande maison au milieu d’un parc avec des dépendances. Nous sommes sortis de la voiture. Un homme d’une cinquantaine d’années nous a accueillis. Nous sommes entrés. Il nous a accompagnés dans un grand salon. Il y avait une épaisse moquette et une cheminée. Je me serais cru dans un film. Ce fut un film d’horreur tout le week-end.
Toute la soirée du vendredi, Antonio et l’homme m’obligèrent à avoir des relations avec plusieurs chiens que des gardes champêtres emmenaient et ramenaient. Alice les encourageait en pouffant de rire, en applaudissant, en s’esclaffant. L’homme s’appelait Monsieur Duriez. Au début, je ne voulais pas. Antonio me prit dans un coin et me secoua jusqu’à ce que je dise oui. La fois suivante, c’est Monsieur Duriez qui me parla d’une manière si autoritaire que je n’ai plus osé rien dire. Je me suis rappelée que je vous avez demandé de faire à Claire ce que je subissais et maintenant c’était à mon tour d’y passer.
Je n’avais jamais vu de sexe de chien de si près. Le premier était un gros chien gris. Antonio m’a tenu à genoux et Monsieur Duriez a placé le chien devant moi, ses fesses à la hauteur de mon visage. Il retourna le sexe du chien vers moi. Il était gros, rond, rouge et ça me dégoûtait. Je l’ai sucé du bout de la langue. Monsieur Duriez me força à en faire plus. J’ai eu du mal à le mettre dans ma bouche. Je donnais des petits coups de langue par ci par et j’ai fini par le prendre complètement dans ma bouche. Juste le bout mais je me suis suffisamment excitée dessus pour que le chien jouisse. J’ai vomis. Alice m’emmena dans une salle de bain. Elle m’a mise nue et s’est moquée de moi d’une manière très perverse.
Quand nous sommes revenues, il y avait un gros chien noir dans la pièce. Alice m’a allongée sur la moquette. Elle m’a tenue par les épaules et Monsieur Duriez m’a demandé d’écarter les cuisses. Le gros chien noir est aussitôt venu entre mes cuisses et il a léché mon sexe. Je sentais sa langue énorme et mouillée ouvrir mon vagin. Alice me caressa avec ses doigts. Elle écrasa un petit four entre mes cuisses. Les coups de langue du chien sont alors devenus frénétiques. Alice essaya de retourner rapidement le chien mais il éjacula aussitôt. Elle sembla déçue. Monsieur Duriez la calma en lui disant, que la soirée ne faisait que commencer.
Le gros chien noir fut remplacé par un autre gros chien noir. Et cette fois, Monsieur Duriez prit lui-même les chose mains. Il retourna le chien qui, très docilement, se laissait faire. Il a pris son sexe à la base sous les testicules. Il le gonfla et m’expliqua très précisément chaque geste que je devais faire avec ma langue. J’avais beau grimacer et hocher la tête, il insistait et je finissais par bien faire ce qu’il me demandait. Je me sentais minable. Je voyais Alice qui se collait à Antonio.
C’est un dalmatien qui m’a prise le premier. Je connaissais cette race depuis mon enfance grâce au film. J’étais à quatre pattes. Alice et Monsieur Duriez ont aidé le chien pour qu’il puisse s’accoupler avec moi. La soirée était bien avancée, j’étais complètement accablée et je me laissais faire même quand ils ont fait mettre le sexe du chien dans mon anus. Il y a eu encore quelques autres chiens.
J’ai été enfermée dans une cage du chenil. Les chiens que je venais de connaître étaient là aussi dans des cages proches de la mienne. Je suis restée là tout le restant de la nuit, la journée suivante et encore une nuit. Je n’ai vu personne si ce n’est qu’un homme qui est passé deux fois pour donner à manger et à boire aux chiens. Il me donna la même chose mais je n’ai touché à rien. Je suis restée prostrée tout le temps. Je ne parvenais pas à comprendre ce qui m’était arrivée. Je ne savais pas ce qu’étaient devenus Antonio, ni Alice, ni personne.
Je pensais en avoir vu pas mal. Je pensais que ce serait fini mais je me trompais. Vers l’après-midi, Monsieur Duriez et un autre homme dans le même genre sont venus me chercher. Ils m’ont traînée nue à travers le chenil et la cour. Nous sommes entrés dans l’écurie. Et ce qui s’était passé avec les chiens la veille, s’est passé à nouveau. Mais cette fois, ce fut avec deux chevaux.
Monsieur Duriez et son ami, m’ont plaqué contre la croupe du cheval. Il était plus grand que moi. Ils m’ont forcée à le caresser puis à me pencher et j’ai vu alors son sexe. Il était énorme, long et le bout aplati. Ils m’ont forcé à me pencher et à toucher ce sexe avec la main, avec les seins et les fesses. Comme je ne voulais pas, ils ont fait appel à deux gardes qui m’ont tenue pendant qu’ils m’obligeaient à me coller contre le sexe du cheval. Je me suis retrouvée accroupie sous le cheval. J’ai dû le masturber. Je l’ai fait maladroitement d’une main. J’ai mis le bout du sexe contre ma bouche. Le cheval s’est cambré. Un des gardes l’a calmé.
J’ai eu droit au deuxième cheval. Son sexe était encore plus gros et j’y ai eu le droit dans la bouche et dans le vagin. En 24 heures, j’avais était prise par des chiens et un cheval. J’étais humiliée comme je ne l’avais jamais été. Mon humiliation fut complète avec mon retour.
Alice m’attendait dans le salon où nous étions arrivés le premier soir. Elle tenait les vêtements que je portais. Je me suis habillée. Elle me raccompagna dans a voiture.
« Tu sais Jessy, que tu te tapes mon mari, je m’en fiche un peu. Il se tape toutes les petites greluches de ton genre. Ça me donne aussi un peu de liberté. Mais c’est le père de mes enfants et je n’aime pas qu’on lui fasse du mal. François Du Castel semble lui en vouloir et t’en vouloir aussi. Je ne comprends pas très bien quel jeu, il joue.
Antonio, non plus d’ailleurs. C’est qui ce mec pour toi ? C’est un vrai con. Dire qu’il a voulu me sauter ! Je l’ai bien remis à sa place. Tu sors avec lui ? Tu vis avec lui ?
Et Du Castel dans ta vie ? C’est lui qui m’a dit te t’emmener chez Duriez. Qu’est ce que tu lui a fait ? Il m’a demandé en plus de te déposer chez lui. Il est sadique ou maso ce mec ?»
Je ne répondais pas mais j’aurai pu dire que vous étiez les deux. Alice insupportait. Elle ne se prenait vraiment pas pour une merde. Je me suis jurée de me venger un jour. Mais pour l’instant, la vengeance était pour vous. Comment aviez-vous pu me faire une telle chose. Je ne cherchais même pas à savoir si Alice m’a dit la vérité.
Quand je suis arrivée chez vous, le dimanche se terminait tranquillement. Claire et vous étiez vautrés sur le divan.
« Foutez vous à poil tous les deux et magnez-vous le cul, je ne rigole pas ! Toi la garce tu te mets debout les mains sur la tête et tu ne bouges pas. Toi la lopette, avance par ici que je t’attache ! »
Vous avez obéi. Je vous ai attaché les mains avec la corde qui pendait au dessus de la poutre. J’ai tiré. Comme Claire l’autre jour, vous touchiez à peine le sol avec vos pieds. Votre corps nu était tout tendu.
« Elle est toute petite ta bite, mon amour. Tu veux que je te raconte ce qui m’est arrivée ce week-end ? C’est sûr que ça peut te faire bander. Mais tu banderas pas tout de suite ma lopette…»
J’ai pris vos testicules en plein dans ma main et j’ai pressé.
Jessy 14*
Tu t’es rapidement déchaînée sur moi. Tu m’as fouetté sur tout le corps, insistant sur mes parties génitales. Tu m’as détaché et je suis tombé au sol, mes muscles trop endoloris pour maintenir mon corps. Tu m’as roué de coups, me flagellant à nouveau. Tu m’a écrasé rageusement la verge puis les testicules.
J’ai hurlé. Puis tu m’as forcé à te lécher, m’invectivant, me disant que je ne te léchait pas assez bien, que tu prenais plus de plaisir en te frottant la chatte sur l’accoudoir de ton siège au boulot. Tout cela m’excitait et tu t’en es rapidement rendu compte, cela t’as exaspéré. Tu m’as donné un grand coup de pied dans les testicules pour me faire débander. Puis tu as hurlé :« – Tu crois que je vais te laisser prendre ton pied ? Attends, je vais te faire vivre l’enfer que j’ai vécu ! »Tu es allé chercher les chiens. Tu m’as fait sucer le premier. Puis tu as amené le deuxième près de moi et il m’a enculé. C’était l’extase pour moi. Pas de me faire prendre par des chiens. Mais de te servir de défouloir, de sentir ta rage se déverser sur moi. Tu as fouetté Claire sans grande conviction. Elle n’a rien dit, n’a pas bougé. Elle avait mal pour moi mais je ne ressentais que le plaisir alors que la verge du chien me défonçait. J’ai senti le sperme couler dans ma gorge et je l’ai avalé goulument, sans même que tu l’ordonnes. J’ai continué à lécher le chien, espérant le garder dur. L’autre chien ne s’était pas encore fini. Tu t’es avachie sur le canapé. Tu m’as regardé puis tu t’es mise à pleuré et m’a laissé avec les chiens pour aller te coucher.
Le lendemain j’étais fourbu mais heureux. Tu avais l’air d’un zombie. Je t’ai appelé pour te demander de passer à l’atelier. Je comptais sur Antonio pour s’occuper de toi, j’étais sur qu’il trouverais de nouvelles manières de t’humilier… Tu t’es approchée de moi et t’es accroupie à mes côtés. Puis tu as pleuré en te serrant contre moi :« – François, arrête ce jeu… »« – Tu n’aimes plus que je sois ta lopette ? »Ta voix est lasse :« – Si. Mais tu essaies de me faire du mal pour que je sois plus méchante… Je croyais que tu étais ma larve obéissante… »« – C’est Alice qui t’a raconté ? »« – Oui. »« – Quelle salope. Elle devait juste se faire baiser par Antonio. »« – Il ne m’a même pas touché. C’est tout juste si elle ne lui a pas demandé de venir sucer les chevaux avec moi… »Ca m’a étonné. J’ai réfléchi. Enfin j’ai dit :« – Dis-moi, ce qui te dérange c’est de ne pas savoir quand je suis le maître et quand c’est toi ? »« – Entre autre… »« – Bien, j’ai une petite idée… »
Plus tard dans la journée j’ai appelé Marc et sa salope de femme. Je lui ai dis :« – J’ai une proposition à vous faire. »« – Qu’est-ce que vous allez encore exiger de moi, vieux salopard ? »« – Oh, rien de très grave… Il faut juste signer ce papier et j’oublie votre dette. »Il a été étonné :« – Vraiment ? Que dis ce papier ? »« – Que vous laisserez Alice divorcer si elle veut. Et que vous vous occuperez de vos gosses. Et que vous n’exigerez pas de pension alimentaire. »« – C’est tout ? Et si Alice ne souhaite pas divorcer ? »« – Et bien ce papier ne vaudra rien ! »Il m’a regardé d’un air suspicieux. Il a lu et relu le papier. Enfin il a pris un stylo m’a regardé et a demandé :« – Après je ne vous devrais plus rien ? »J’ai hoché la tête. Il m’a fixé longuement puis il a signé en soupirant. Enfin il m’a jeté la feuille puis s’est dirigé vers la porte en tirant sa femme par le bras. J’ai dis :« – Alice reste ici. »« – Elle n’y est nullement forcé ! »« – Non. Mais je suis sur qu’elle va aimer ma proposition. »Ses yeux sont devenus deux fentes. Mais Alice s’est dégagée et lui a fait signe de partir devant. Elle s’est assise face à moi, ses jambes croisées révélaient à dessein sa culotte qu’elle savait maintenant hors de ma portée…
Je l’ai regardé et j’ai dit enfin :« – Jessy m’a raconté comment vous vous étiez comporté avec Antonio : très impressionnant je dois dire ! »« – Et ? »« – Et j’ai justement besoin d’une Maîtresse pour moi… Et Jessy. »« – J’ai déjà un amant. »« – Je parle d’une Maîtresse avec un grand M… »Elle s’est mise à l’aise dans son siège. Comme je le pensais elle était très intéressée… J’ai continué :« – Quittez ce crétin et venez vous installer chez moi. Vous serez la reine. Même Claire sera à votre disposition. »« – Claire ? Votre ancienne secrétaire ? »« – Oui. Elle est devenue la chienne de Jessy par amour pour moi. »Elle a éclaté de rire :« – J’ai toujours pensé que c’était une petite conne sans envergure ! Et Séverine ? »« – Pour l’instant elle se contente de satisfaire mes envies et celle de Jessy au boulot… Et celle de votre mari en dehors. »« – Mais cela peut changer… »Je souris :« – Probablement. »Elle reste pensive. Enfin elle se lève et dit :« – Je comprends mieux la raison de ce papier… »« – Et oui. J’ai tout de suite compris que vous étiez celle dont nous avions besoin. »« – Oui… Je suis enfin libre. Et j’ai même un petit chien à ma disposition. »« – Et deux chiennes… au moins. »Elle arbore un grand sourire :« – Et deux chiennes, c’est vrai. »Elle me regarde :« – On va tester tout ça. Tu as un gode-ceinture, tapette ? »« – Bien sûr, Maîtresse ! »« – C’est bien. »Je le sors du tiroir et lui tend. Elle me lance un regard de dégoût :« – Pour qui me prends-tu ? Je ne t’accorderai jamais ce plaisir. »« – Oui, excusez-moi, Maîtresse. J’appelle Jessy. »« – Non. »Je suis interloqué. Elle poursuit :« – Appelle Séverine. »Je souris à nouveau :« – Bien sûr. »
J’appelle Séverine. Elle est surprise quand je lui tend le gode-ceinture. Alice lui dit de l’enfiler. Elle veut se déshabiller mais Alice lui demande de rester habiller, lui expliquant qu’elle souhaite que nous restions le plus possible habillés. Tout cela afin que l’on voit bien que j’étais le patron qui se faisait enculer par sa secrétaire. Ca l’excitait. Elle nous a regardé. Puis elle t’a appelé. Le spectacle t’as surprise. Tu as commencé à dire :« – C’est quoi ce bordel ? Qu’est-ce que cette pute fait sur ton siège, François ? »Alice s’est dressé et a hurlé :« – Ta gueule, petite pute ! Tu es mienne maintenant ! Déshabille-toi et viens immédiatement me lécher ! »Le ton d’Alice t’a pétrifié. Tu m’as regardé. Puis tu as obéis, te disant que je t’expliquerai tout ceci plus tard. Tu t’es retrouvée à quatre pattes sous la table, ton joli cul et ta fente offerte à mon regard. Alice a dit :« – C’est bien… Tu mérites une récompense. Séverine, viens l’enculer elle aussi. »Séverine a obéi. Elle savait bien faire ça. Pas étonnant que Marc l’apprécie autant. Je suis resté agenouillé à regarder. Alice poussait de petit gémissement et le bruit des cuisses de Séverine sur ton cul m’excitait. Je me suis mis à bander. Alice s’est levée d’un coup. Ta tête à cogné sur la table mais elle t’a ignoré. Elle a crié :« – Je ne t’ai pas autorisé à bander, lopette ! Ramollis immédiatement ! »Je m’y suis efforcé, sans succès. Elle est venu vers moi, m’a flanqué une gifle puis s’est agenouillée pour m’écraser les couilles. Enfin j’ai débandé. Elle a regardé sa main avec dégoût :« – J’ai été obligé de te toucher, sale déchet ! »Elle m’a giflé à nouveau. J’ai gémis :« – Pardon, Maîtresse… »Elle a demandé à Séverine de lui lécher la paume pour la nettoyer. Puis elle lui a fait sucer ses doigts, un par un. La chienne était au ange, elle t’enculait toujours. Alice s’est rassise. Tu n’as pas réagi alors elle t’a donné un coup de genou dans la mâchoire, ta tête à a nouveau cogné le dessous de la table :« – Lèches moi, petite pute ! »Cela à duré un petite peu. Puis elle a congédié Séverine. Elle m’a regardé et a dit :« – Tu vas enculer ma chienne, petite larve. »J’étais très excité. J’ai tout de suite bandé. Une douleur vive à la cuisse alors qu’Alice, enragée me lance un coupe papier en criant :« – Je ne t’ai pas demandé de bander, espèce d’impuissant ! Ta queue ne sers à rien, entends-tu ? »J’ai retiré le coupe-papier de ma cuisse en bafouillant :« – Mais… Vous m’avez demandé de l’enculer, Maîtresse… »Elle m’a lancé le gode-ceinture :« – Avec ça, crétin. Et que je ne te reprennes plus à vouloir nous montrer ta bite de gamin ! »Alice a alors savouré ma frustration alors que je me retenais de bander en t’enculant. Elle t’a aussi insulté à nouveau pour que tu la lèche mieux. Enfin elle nous a tout deux congédier de mon propre bureau. On s’est rhabillé dans le secrétariat. J’avais la cuisse en sang et toi très mal au crane de t’être taper la tête sous le bureau. Mal au cul aussi.
Le soir nous sommes rentré ensemble. Tu es restée silencieuse blottie contre moi. Arrivée à la maison tu m’as dis :« – Viens, François. Viens me faire l’amour. »« – Bien, Maîtresse Milady. »« – Appelle-moi Jessy dans ces cas là, s’il te plait. »Je t’ai caressé la joue et t’ai embrassé tendrement :« – D’accord Jessy. »Nous avons commencé à monter l’escalier. J’ai alors dis, sans même y penser :« – J’ai envie de t’attacher ce soir. Et de te fouetter. Et de te prendre violemment. »Ta réponse m’a surprise :« – Moi aussi… Maître Marc. »Me faire appelé du nom de ce petit con qui te donnais tant de plaisir m’a excité encore plus que d’être appelé Maître. Je t’ai souris :« – Je vais t’enculer bien fort, salope, tu vas souffrir. »« – Merci, Maître Marc. »Tu as regardé Claire :« – Voulez-vous que nous vous donnions du plaisir toutes les deux ? »« – Non, petite pute, tu seras largement suffisante. Tu sais si bien baiser. Après tout c’est tout ce que tu sais faire ! »Tu as rougis de plaisir :« – Merci, Maître Marc. »Puis tu t’es agenouillée et m’a sucé dans l’escalier. Ta position devait te faire mal aux genoux et cette pensée m’a encore plus excité. J’ai murmuré :« – Brave petite salope. »Tu m’as regardé et m’as dit en me branlant :« – Finalement notre couple ne marche pas si mal… As-t’on vraiment besoin d’Alice ? »J’ai froncé les sourcils :« – Que veux-tu dire ? »« – Et bien… On pourrait la laisser faire ce qu’elle veut. Elle va se séparer de Marc. Séverine s’empressera de prendre sa place. Et quand elle pensera devenir la Maîtresse de cette maison… On laissera Claire la foutre dehors avec perte et fracas. »Je te souris alors que tu continues à me regarder en me suçant à nouveau :« – Tu es vraiment un perverse… »Tu me suces plus fort. Je pousse un râle et dit :« – On pourra même la laisser rester ici… A condition d’être une vraie chienne, la briser. Ce sera elle qui occupera la cage… »Tes yeux luisent. Ta langue s’active. Je n’y tiens plus. Je te relève t’embrasse passionnément puis dis :« – Tu m’as trop excitée, vide-couille. On va direct dans la chambre et je te défonce le cul. Je t’attacherai après, la nuit va être longue. »Tu me regardes avec un regard de chienne en chaleur, m’embrasses et dit :« – A vos ordres, Maître Marc. Tout ce qu’il vous plaira. »Je lance un machinal ‘Bonne nuit, Claire’ sans même la regarder puis je te porte jusqu’à la chambre et te jette sur le lit. Tu me présentes ton cul en bonne soumise et je te prend.
Oui, décidément, je pense qu’on arrivera bientôt à se passer d’Alice ou d’Antonio. Un nouveau personnage fictif venait d’être créé ce soir et notre relation s’enrichissait de multiples options : dominant, dominé ou même couple normal. Il manque juste un homme de plus. Surtout si on arrive à briser Alice. Je passe les options en revue en t’enculant. Tu cries sans discontinuer. Marc ? Non, il me débecte. Antonio ? Trop con. Justin ? Pourquoi pas. Mais il s’est fait distant. Ben ? Ca pourrait être marrant d’avoir un petit jeune perdu au milieu de nos jeux pervers. Mais il serait probablement vitre dépassé… Quoique, tu as bien réussi à t’adapter. J’ai même pensé à ton père à un moment. J’ai rigolé. Tu m’as demandé pourquoi entre deux cris. Je me suis contenté de répondre :« – Ta gueule, sale pute. Tu n’es qu’un cul cette nuit, souviens t-en. »Tu as adoré et gémis de plus bel…
—– Nadine —–
Notre projet est vite tombé à l’eau. Alice s’était bien installée chez nous mais elle avait très vite pris un ascendant tel que nous étions pris à notre propre piège.
Elle avait rapidement divorcée de Marc lui laissant la maison et les enfants. Elle s’était installée chez nous. Elle était devenue notre Maîtresse : à vous, à moi, à Claire. Nous étions son troupeau de petites merdes. Séverine nous a rejoint au cours de nos soirées. Nous attendions à quatre pattes, le visage baissé. Nous regardions le sol. Nous attendions le bon vouloir de notre Maîtresse. Des fois, il ne se passait rien et nous restions ainsi des heures pendant qu’Alice regardait la télé ou faisait l’amour avec l’un de ses amants. D’autres soirs, surtout quand elle était seule avec nous, elle nous montrait tous ses talents. Elle était très vicieuse avec vous et très perverses avec Claire et moi, surtout moi.
Séverine, comme à son habitude, était très serviable. Elle allait au devant des désirs d’Alice. Quand elle le lui demandait, elle n’hésitait pas à nous fouetter, à nous enculer ou à nous attacher. Elle préparait aussi nos gamelles et les plateaux repas d’Alice. Petit à petit, elle n’est plus venue à ces soirées. Nous avons appris qu’elle s’était mise en ménage avec Antonio. Je me suis dit que ça lui irait bien. Ce fut aussi la dernière chose de l’extérieur que nous avons appris.
Alice nous avait attachés dans une pièce. Nous y passions toutes nos journées. Nous étions nus. Elle avait confisqué tous nos effets personnels. Nous étions attachés chacun séparément ou par deux, selon le désir d’Alice. Vous n’aviez même plus le droit d’aller à votre travail. On mangeait ce que Alice avait décidé de nous donner à manger et quand elle le voulait. Elle piétinait nos aliments, elle y urinait, elle les mélangeait avec des excréments. Des fois, nous n’avions rien mangé depuis des jours, alors on mangeait. Nous étions sales aussi. Nous avions rarement le droit de nous laver. Quand on pouvait le faire, c’était parce qu’Alice avait inventer un nouveau jeu.
Claire ne supportait plus du tout cette vie. Elle conjurait Alice d’y mettre fin. Mais celle-ci restait sourde et, au contraire, la punissait sévèrement ensuite. Nous avons ainsi passé des semaines coupés du reste du monde. Claire disparut à son tour. Nous n’étions plus que tous les deux. Quand nous étions seuls, on essayait de réfléchir au moyen de nous en sentir et tout ce qu’on ferait à cette Alice. Des fois, nous passions la journée attachés l’un contre l’autre. On arrivait à se donner du plaisir malgré touts nos tracas. Quand Alice s’en apercevait, ça la fâchait.
Rarement, Alice nous exhibait devant ses amants. Elle nous obligea, une fois, de faire l’amour devant eux. L’autre jour, elle était accompagnée d’un jeune homme noir. Il nous fixa dans les yeux d’un regard haineux et il nous a giflé, l’un après l’autre. Le lendemain, on l’a imaginé en Maître comme on le voulait avant qu’on ne tombe dans ce piège. On ne le revit plus jamais. Alice avait dû s’abonner aux hommes de couleurs. Elle revint nous voir avec un homme noir plus âgé que le premier. Il me regarda longuement et me caressa un sein avant de partir avec Alice.
Le lendemain, il revint tout seul. C’était durant la journée. Alice avait dû s’absenter. Il m’a détachée et me fait mettre à genoux devant son sexe, gros, grand, tendu. Je savais ce que je devais faire et je l’ai fait. Cela faisait longtemps que je ne suçais que des sexes d’hommes en plastique. Le lendemain, il revient et la même scène a recommencé. Le troisième jour, il m’a aussi fait lécher soin anus et je l’ai fait. Il repartait sans rien dire mais après m’avoir regardé longuement. Il vous ignorait complètement.
« François ! Et si c’était notre chance de nous en sortir. Veux-tu que je lui propose de coucher avec lui s’il nous aide à sortir d’ici ? »
Jessy 15*
J’ai juste répondu :« – Pourquoi tu voudrais qu’il t’aide en échange de ça ? Il peut te baiser quand il veut… »
Tu as réfléchi quelques instants :« – Et si on lui livrait Alice ? »« – Et comment compte tu faire ? Nous ne serions pas crédible… »Puis j’ai réfléchi à mon tour :« – Mais ça me donne une idée… Il faudrait juste que tu t’arranges pour qu’il me laisse seul avec la porte non cadenassée. Il me suffira d’un coup de fil… Même attaché. »« – Et comment je fais ça ? »« – Tu lui proposes d’être le jouet de ses copains. »Tu as baissé les yeux. Tes mâchoires étaient serrés. Enfin tu as laché :« – Ok. »
Le lendemain il est venu, comme d’habitude. Tu l’as sucé, comme d’habitude. Mais, alors qu’il s’apprêtait à repartir tu as dit :« – Tu n’en as pas marre ? En plus je suis sûre que tu as plein d’amis qui voudraient me connaître… »« – Je ne crois pas qu’Alice serait d’accord. »« – On s’en fiche, elle n’en saura rien. Je ne lui dirais pas que c’est toi. »« – Elle s’en doutera. »« – Alors je lui dirais que c’était mon idée. Que je t’ai fait croire que j’avais ton autorisation. »Tu as alors rajouté avec un ton très excité, enjoué même :« – Et puis comme ça elle me punira en plus ! »Tu lui as fait un large sourire, comme si c’était un plus pour toi. Il t’a regardé avec des yeux plein d’envie :« – Ok, mais tu vas souffrir ma belle… »« – Arrête, tu vas me faire jouir ! »Il a rit :« – Quelle putain ! »Puis il t’a détaché et t’a emmené. Il s’est apprêté à refermer la porte. Alors tu as fait mine de fuir. Il a sourit. Je l’ai entendu te rattraper et te rouer de coup en t’insultant. Tu as poussé des cris de douleurs mais aussi de jouissance simulée. Enfin tes cris ont été étouffés. Sans doute par sa queue. Tes hurlements se sont ensuite éloignés et je suis resté seul. Je me suis masturbé malgré mes liens. Je te voyais te faisant ravager par un groupe de noirs. Ils te pissaient dessus, te chiaient dessus même, te faisant manger leur merde dans une gamelle. Ils t’enculaient, parfois même à deux en toi. Te fouettaient, te cognaient. J’ai joui. Puis je me suis rappelé ma mission.
Je me suis alors trainé hors de ma cellule jusqu’à mon bureau. J’ai composé tant bien que mal le numéro…« – Allo ? C’est François Ducastel. Oui, ça fait longtemps. J’aurai besoin de vos services. »« – Encore une femme ? »« – Oui. Il faudrait la kidnapper. »« – Juste la kidnapper ? »« – Et bien, le reste dépendra de vous… »« – Comment ça ? »« – Elle sera le paiement. »« – On a pas besoin d’une pute, si on veut baiser, on a ce qu’il faut. »« – On c’est mal compris. Elle sera à l’entière disposition de vos hommes. Et pas juste pour une soirée… »« – En effet, c’est plus intéressant. Et comment masquer sa disparition ? »« – Je m’en occuperais. J’ai juste deux faveurs à vous demander. »« – Lesquelles ? »« – Un entretien préliminaire avec elle. Vos hommes ne devront pas encore l’avoir touché. »« – Ok. »« – Et je voudrais pouvoir la voir de temps en temps… Enfin tant qu’elle sera en vie et dans les environs. »« – Je croyais qu’elle serait à la disposition de mes hommes et de personne d’autre… »« – Je ne compte pas la baiser. Ou alors je paierais pour. Elle n’a même pas besoin de me voir. Je veux juste m’assurer qu’elle souffre. »Il rit :« – Allons, vous connaissez mes hommes ! Elle souffrira. »« – Bien. Alors le marché est conclu ? »« – Oui. Qui ? »« – La femme qui habite chez moi, l’ex-femme de Marc Kosky. Vous n’avez qu’à la cueillir juste avant qu’elle ne rentre chez moi. »« – Quand ? »« – Ce soir. »« – Ok, au revoir, Mr Ducastel. »Je m’apprêtais à raccrocher quand j’ai pensé à un détail.« – Oh, une dernière chose. »« – Oui ? »« – Il faudrait qu’un de vos hommes vienne me délivrer ce soir. Histoire que je ne meurt pas de faim. »Un silence. Il rit à nouveau :« – Je comprends mieux votre demande. Pris à son propre jeu, mon cher ? »Je grince des dents :« – Oui… »« – Alors ne vous inquiétez pas, vous êtes un client fidèle, je lui réserverai un traitement spécial. Ma brigade des chiens enragés vient justement d’épuiser l’une de leur ancienne chienne… »J’ai à mon tour un rire sadique :« – Ce sera parfait, je vois que l’on se comprend. »« – C’est toujours un plaisir de traiter avec vous. On se reverra après-demain pour votre dernière entrevue avant qu’elle ne soit livrée à son nouveau destin. »« – Oui. Au revoir. »J’ai ensuite raccroché et je me suis trainé à nouveau vers ma geôle.
Quand tu es revenue tu étais hagarde. Ton corps était lacéré, couvert de bleu et de brulure. L’homme t’a juste déposé à côté de moi et est reparti. Avant de t’effondrer tu as murmuré :« – Maître Marc, fouettez-moi. C’est si bon d’être votre chose… »Ca m’a touché. Apparemment je n’étais pas juste un quidam à tes yeux. J’étais celui qui arrivait à te donner du plaisir même en te faisant du mal. Je t’ai répondu :« – Non, Jessy, je te ferais l’amour d’abord… »Mais tu n’écoutais déjà plus. J’ai attendu, impatiemment. Enfin j’ai entendu du bruit : Alice. La terreur m’a envahi : qu’avait-elle encore manigancée ? Elle avait même retournée mes anciens contacts ? Mes craintes se sont confirmés quand un des sbires de mon acolyte m’a trainé au salon. Leur chef était là. Il a dit :« – Pas joli à voir, mon cher François… »Alice s’est assise à ses côtés. Il lui a caressé la taille en l’embrassant. Je comprenais mieux. Enfin il s’est levé. Il est venu vers moi, a sorti son arme, l’a pointé sur moi :« – Alors comme ça on est désobéissant envers sa Maîtresse ? »Alice a ricané :« – Oh que oui, il se donne même du plaisir avec l’autre greluche qui est ligoté à ses côtés. »Il ne l’a pas écouté et a continué :« – Remarque je vous comprend. Elle baise bien mais sinon… »Il s’est retourné et à tiré dans le genou d’Alice. Elle a hurlé en s’effondrant au sol. Il s’est agenouillé à ses cotés et lui a tenu la tête par les cheveux. Il l’a regardé. Elle lui a craché au visage, l’a insulté. Il s’est contenté de lui mettre son arme dans la bouche :« – On veut déjà mourir, pétasse ? »Elle a paniqué, a fait non de la tête. Il a sourit :« – Bien, on va avoir besoin de toi, tu sais. »Il a relâché sa tête. Puis il m’a détaché :« – Vous devriez mieux choisir vos compagnes, François. Heureusement pour vous que cette conne s’est surestimée. Elle a cru que son cul suffirait à me contrôler. Quelle crétine. J’en ai à la pelle des putes de son espèce. Pas besoin d’une manipulatrice dans mon lit. Enfin bon. Contrat rempli. Vous vouliez lui demander quelque chose, je crois ? »Je regardais tout ça avec effarement. Mais j’ai repris mes esprits :« – Oui. »Je me suis approché d’Alice :« – Où est Claire ? »Alice m’a craché au visage. Un des gorilles l’a attrapé par le cou et l’a maintenu en l’air en l’étranglant. Elle s’est débattu malgré son genou. Puis elle a perdu conscience. Le boss à alors dit :« – Relâche-la. Si elle meut maintenant on devra trouver une autre fille… »Il a obéit. Elle est retombé sur ses jambe et la douleur l’a réveillé. Elle est tombé au sol en hurlant. Le boss m’a tendu son arme. Je l’ai plaqué sur la tempe d’Alice. Ma voix était froide comme l’acier :« – Répond. »« – Je l’ai vendue à un réseau turque. Je ne sais pas ce qu’ils en on fait. »Puis elle a éclaté d’un rire méchant :« – Mais vu comment j’ai vanté ses capacités je doute qu’elle soit en bon état à l’heure actuelle ! »Ma voix s’est fait sifflante :« – Ne t’inquiète pas, sale pute, moi aussi j’ai vanté tes capacités… Et tu as pu constater que le boss ne se laissait pas influencer si facilement. »Elle n’a rien dit. Un homme l’a trainé avec lui. J’ai été voir le boss :« – Est-ce que vous pourriez la retrouver ? »« – Ca va coûter cher. Et le résultat n’est pas garanti. »« – L’argent n’est pas un problème. »« – Si vous le dites… »« – Oh. Et n’hésitez pas à tuer les intermédiaires. Je paierais pour ça aussi. »« – Vous avez l’air attaché à cette Claire… Ce n’est pas une bonne chose. »Je n’ai pas répondu et je suis allé te chercher. Tu n’avais pas repris conscience. Je t’ai porté jusqu’à la salle de bain, j’ai lavé tes plaie, les ai désinfecté. Mais tu ne te réveillais pas. J’ai appelé le médecin. Le même que pour Claire. Quand il est arrivé je t’avais allongé dans mon lit, je n’avais pas encore pris de douche. Il t’a ausculté. Il m’a dit que tu n’avais rien de grave. Qu’il te faudrait juste du temps. Je me suis senti soulagé. Mais des gens devraient payer pour ça. Alice, bien sûr mais pas seulement…
Le lendemain je suis allé au travail. Séverine a paru étonnée :« – Vous êtes revenu de vacances ? »« – Non. Je ne suis jamais parti… »« – Ah… »La matinée a continué. Puis j’ai appelé Séverine. Elle est entrée dans mon bureau. J’ai juste dit :« – Viens me sucer, salope. »« – Alice n’est pas là ? »« – Ta gueule. Tu viens me sucer, c’est tout. Je t’ai embauché pour ça, je te rappelle. »« – Euh, oui, désolée… »Elle s’est glissée sous mon bureau. J’ai attendu de juter dans sa bouche. Puis elle s’est relevée. J’ai dit :« – Je suis très excité. Maintenant je vais te baiser. »« – Euh… d’accord. »Elle s’est placée sur le bureau après avoir dévoiler ses seins et remonté sa jupe. Je l’ai prise sans ménagement mais sans violence particulière. Je voulais qu’elle comprenne qu’elle n’était qu’un vide-couille comme les autres. Un objet qu’on utilise et qu’on jette. Enfin je l’ai rempli de foutre. Je l’ai regardé se rhabiller. Au moment où elle allait partir je l’ai appelé. Elle s’est retournée et je me suis déchaîner. Une gifle, puis un coup de poing. Enfin je l’ai plaqué face au sol en lui tordant le bras et lui écrasant les omoplates de ma jambe. Elle a crié :« – Arrêtez ! Je… Je vais le dire à Antonio ! »J’ai ricané puis j’ai accentué la pression sur son dos, lui ai tordu le bras. Je lui ai susurré à l’oreille :« – Ton Antonio je le vire quand je veux. Je peux même le faire buter. Toi aussi, d’ailleurs. »Elle s’est mise à pleurer en me suppliant. Je l’ai relâchée : elle me faisait pitié. Je lui ai craché dessus puis j’ai dit :« – Allez casse-toi, retourne bosser. Je te garde parce que je sais qu’après ça tu seras particulièrement docile, encore plus que d’habitude. Mais tu n’auras pas de deuxième chance. Compris ? »« – Oui, Monsieur. Je serais à votre service. »Je l’ai regardé avec des yeux luisant de désir. J’adorais la sentir ainsi avilie. Je lui ai fait un vague signe pour lui dire de disposer. Elle est partie sans demander son reste. J’ai regardé par la fenêtre de mon bureau. J’ai pensé à toi. Puis à Claire. Elle me manquait. J’ai à nouveau appelé mon contact mafieux :« – François ? Encore dans une embrouille avec une femme ? »« – Non. Je poursuis ma vengeance. Il faudrait que vous extirpiez le nom du dernier amant d’Alice. Un noir assez âgé. Butez-le, lui et ses amis. Ou plutôt non, butez-en juste quelques-uns, ou des membres de leur famille. Si possible pas au même moment, je veux qu’ils vivent dans la terreur. »« – Vous aurez assez pour payer tout ça ? »« – Ne vous inquiétez pas, je vous paierai d’avance, je m’étais fait un pactole pour une retraite dorée. Mais finalement je compte bien m’amuser avant ma retraite… »« – Vous avez bien raison. Vous voulez des preuves des assassinats ? »« – Oui. »« – Bien. Et si on en mutilait aussi quelques-uns, ce serait bien, non ? »Je souris :« – Vous êtes décidément un contact précieux. Très bonne idée, en effet. Ramenez-moi des photos de ça aussi. »« – Oh, Alice vous souhaite le bonjour. Elle essayé de faire du gringue au boss des chiens enragés. Au dernières nouvelles elle est attachée au plafond. »« – Par une poulie ? »« – Non. Ils ont mis des menottes directement dans le plafond. Elle est en croix. Son dos doit la faire atrocement souffrir. Sans parler de son genou. »« – C’est parfait. »« – Si il vous reste un peu d’argent je peux vous vendre des photos d’elle. »« – Ce sera avec plaisir. »« – Bien, au revoir mon cher. »« – Au revoir. »
Quand je suis rentré j’étais très content. Mais quand je t’ai vu en t’amenant ton repas j’ai eu mal au cœur. Non seulement tu étais dans un sale état mais notre long enfermement avait laissé des traces. Tu n’étais plus que l’ombre de toi-même. Maigre, fragile, pâle. Je ne devais pas être beau à voir non plus. Tu t’es réveillée quand je t’ai caressé le visage. Tu m’as dit d’une voix faible :« – Mon cul, mon corps est à vous, Maître Marc. Faites en bon usage. »J’ai sourit, t’ai embrassé et ai répondu :« – Tu n’es pas en état, Jessy… »Tu t’es mise à sangloter, m’a serrée fort :« – S’il vous plait, Maître Marc, je serais forte. Ne m’abandonnez pas. Pas maintenant. »Je t’ai caressé les cheveux :« – Jessy, je ne t’abandonnerai pas. »Nous sommes restés silencieux. Puis tu as dit :« – Alors fait moi l’amour, François… »Je t’ai embrassé à nouveau et j’ai essayé de te donner du plaisir. C’était dur car ton corps était couvert de bleu. Je n’ai même pas pu te pénétrer, ton sexe avait été lacéré à coup de fouet ou de couteau. Je m’étais masturbé en imaginant les sévices que t’avais fait subir tes bourreaux mais en constater le résultat était autre chose… J’ai fini par caresser mon gland sur tes seins avant que tu ne me suces, malgré ta plaie à la lèvre. Tu as paru heureuse. Puis nous nous sommes endormis dans les bras l’un de l’autre…
—– Nadine —–
J’étais effectivement dans un très sale état : physiquement et psychologiquement. Vous vous en étiez remis plus vite que moi. Il est vrai que vous n’aviez pas non plus connu ce que j’avais connu pour que vous puissiez téléphoner.
Je restais au lit sans bouger de la journée. J’étais indifférente à tout. Vous avez décidé de m’envoyer passer quelques semaines au bord de la mer. Vous aviez une petite maison et j’y étais bien. Vous me téléphoniez presque tous les jours. Vous m’envoyiez aussi des messages sur mon téléphone et par internet. Vous veniez me voir le week-end. On se promenait le long des plages, main dans la main. J’étais votre petite épouse. Le soir dans le lit, vous vous contentiez de me caresser. Quand vous partiez, le dimanche soir ou le lundi matin, j’étais triste.
J’allais de mieux en mieux. J’étais décidée de vous dire que j’étais prête à rentrer avec vous. Et pourtant, j’avais une forte crainte. Cela faisait cinq semaines que j’étais ici et je n’avais plus aucune nouvelle de ce qui se passait au bureau ou chez vous. J’avais peur que vous me laissiez tomber. Je n’avais plus d’amis là bas, j’avais même complètement raté la rentrée scolaire.
Le week-end approchait. Comment est-ce je devais me comporter ? J’avais perdu toute envie de faire l’amour. Je ne savais même pas si j’en étais encore capable. Et si je n’y arrivais plus ? Il fallait que je fasse un essai. Le vendredi matin, je suis partie en ville. J’étais prête à me faire sauter par n’importe qui, juste pour voir.
Ce fut un marin sud américain qui ne parlait pas français. Je me suis promenée sur le port. Il m’a regardé. Je suis repassée deux fois devant lui. Je lui ai souri. Il m’a emmené sur son bateau, dans sa cabine. On a fait l’amour. Pour moi, c’était un renouveau et, lui, a semblait aimé ça. Je suis vite partie ensuite. Je l’ai embrassé et je me suis enfuie en courant.
Vous m’aviez donné un peu d’argent. Je suis rentrée dans une boutique de lingerie. J’ai acheté un soutien-gorge et un slip rouges et noirs et des bas résilles. Je suis rentrée, je les ai essayés. J’ai fixé l’appareil photo sur un pied et j’ai posé. Je vous ai envoyé une photo avec ce message « Vivement ce soir ! »
Jessy 16*
J’étais vide depuis ton départ. Il me manquait quelque chose et je savais que c’était toi. Étrangement les week-end en ta compagnie augmentaient ma frustration. Je te sentais distante, lointaine. Et nous ne faisions pas l’amour. J’avais pourtant tellement envie de toi. Je recevais régulièrement des photos d’Alice et de ceux qui avaient acheté Claire.
Mais cela ne me procurait maintenant ni plaisir, ni satisfaction, ni réconfort. Et Claire manquait toujours à l’appel. J’avais besoin de retrouver mon quotidien et j’ai réembauché James, mon ancien majordome. Il ne m’en voulait pas, m’était toujours aussi fidèle. Cela m’a rasséréné. J’ai discuté longuement avec lui. A ma grande surprise il m’a conseillé de te faire revenir. Ou de partir avec toi. Je pensais qu’il te haïrait. Mais non. Je lui ai dis que j’y réfléchirais. Je me posais des question sur la raison de ta froideur. Voyais-tu quelqu’un d’autre ? Encore ce satané Marc ? Ou Ben ? Je t’ai fait suivre discrètement. Rien. Jusqu’à ce Vendredi…
Après la pause de midi j’ai reçu des photos par coursier. Je te voyais faire l’amour à un marin, lui sourire, l’embrasser. Ainsi c’était lui. Comment l’avais-tu connu ? Qu’avait-il de plus ? Je me suis dit que je te le ferais payer ce week-end, que Maître Marc te le ferait payer. Mais je n’en avais pas envie au fond de moi. J’avais juste envie de pleurer. Puis j’ai reçu ton message, juste avant de partir. Je ne comprenais plus. Tu me trompais avec un marin et maintenant tu m’annonçais que tu avais envie de moi. Je suis resté perplexe pendant tout le trajet regardant encore et encore cette photo que tu avais prise pour moi, ces sous-vêtements que tu avais achetés. Était-ce juste pour savoir s’ils t’allaient bien avant de les montrer à ton amant ? Je ne sais pourquoi je sentais que ça ne collait pas. Enfin nous arrivions et je n’avais encore pas pris de décision… Devrais-je te punir, te bouder, ne rien dire ?
La réponse m’est apparue quand tu t’es approchée de moi. Tu étais belle, souriante, resplendissante. Je ne sais pourquoi j’ai pensé à Claire. J’ai eu un sourire triste. Tu l’as remarqué et m’a embrassé en demandant :« – Tu es soucieux… Un problème ? »Je t’ai souri. Tendrement cette fois-ci. Je t’ai caressé le visage. La réponse était évidente : j’avais envie que nous soyons François et Jessy ce soir. De te faire l’amour comme j’aurais toujours du le faire. Pourquoi ne me suis-je pas contenté de ça ? Rien ne serai arrivé si je m’étais contenté de faire de toi mon amante. Je t’ai dit :« – Je vais me faire pardonner, je te le promets. »Tu as froncé les sourcils :« – Pourquoi te faire pardonner ? Ce n’est pas ta faute… »« – Si. »Tu m’as dévisagé et puis tu m’as embrassé :« – Tu es déjà pardonné. Je veux juste être avec toi. »Je n’ai pu m’empêcher de poser la question :« – Et ton marin ? »Tu as rougis. Tu n’as même pas pris la mouche à l’idée que je t’avais fait suivre :« – Je… Je suis désolée… Je ne savais pas si j’arriverais encore à faire l’amour, à y prendre du plaisir. Alors j’ai cherché quelqu’un et j’ai… Enfin j’ai… »Je t’interromps :« – Excuse-moi. Je n’aurais pas du douter de toi. Tu as bien fait. Si cela t’as fait du bien et t’as permis de revenir vers moi alors je suis heureux. »Tu m’as embrassé et m’a pris la main pour m’emmener vers la chambre…
Je t’ai pris dans mes bras et tu m’as pris par le cou. Je t’ai déposé sur le lit mais tu ne voulais pas me lâcher, tu répétais mon nom. J’ai délicatement ôté tes bras de mon cou et t’ai dit :« – Je suis là, ne t’inquiète pas… Je ne t’abandonnerai pas. »Je me suis déshabillé. J’étais déjà très excité. Tu as fixé mon sexe avec un mélange de désir et d’appréhension. Cela faisait si longtemps… Je me suis approché et tu l’a caressé, doucement. Je t’ai souri en te déshabillant. J’ai senti tes lèvres sur mon gland pendant que j’ôtais ton pantalon. Tu ne m’a pas avalé, tu m’as juste caressé du bout des lèvres. Mais cela m’a excité au plus haut point. Tu étais maintenant en sous-vêtements. J’ai commencé à vouloir te les enlever mais j’ai arrêté. Je voulais que tu gardes aussi longtemps que possible ce que tu avais acheté pour moi. Tu m’as enfin avalé. J’ai caressé ton corps du out des doigts, ai dégagé un de tes seins pour en caresser le téton. Puis je me suis mis par dessus toi pour te lécher la chatte en écartant ta culotte. Tu m’as sucé plus fort en réponse à mes caresses. Mes doigts ont glissé sur ta fente puis dans ton anus. Je l’ai senti se rétracter. C’est vrai que je n’avais pas vu le marin te sodomiser sur les photos… J’ai commencé à ôter mes doigts mais tu as posé ta main sur mon bras en me suçant plus fort. J’ai compris ton signal silencieux. J’ai souri. Tu avais voulu me réserver ça. Mais je devrais d’abord te faire jouir. Je me suis allongé à tes côtés. Nous nous sommes embrassé. Mes doigts ont couru dans tes cheveux, sur ta nuque, dans le creux de tes omoplates, de tes reins, de tes seins. Sur tes tétons aussi, j’ai saisi et pétri doucement tes rondeurs. Puis je suis descendu le long de ton ventre et je t’ai doigté à nouveau. J’étais heureux de te sentir humide. Tes doigts ont caressé mon torse, mes fesses puis ma verge. Tes lèvres se sont décollées des miennes, tu m’as regardé. J’ai souri. Je me suis placé au dessus de toi, entre tes cuisses. Je t’ai enfin ôté ta culotte. J’ai longuement admiré ta fleur, puis je t’ai regardé. Tu m’as renvoyé le même regard que précédemment, un regard plein de désir. Je t’ai embrassé et mon sexe s’est glissé en toi… J’ai joui vite, trop vite. Mais tu as eu l’air comblé malgré tout. Je ne t’avais pas enculée finalement. Mais nous avions le temps. Et la nuit ne faisait que commencer, nous avions plein de jeu en retard, plein d’envie inassouvie. Ce week-end allait être une orgie de sexe. Non. Cela allait être un week-end de plaisir, de désir, de complicité, pas une orgie. Je t’ai embrassé longuement et t’ai simplement dit :« – Je t’aime. »Je ne savait pas si c’était vrai, mais cela sonnait bien. Et c’est ce que tu voulais entendre, je le savais. Tu as enlevé ton soutien gorge, je t’ai caressé la poitrine. Puis tu t’es dirigé vers mon sexe avec la ferme intention de le rendre très dur à nouveau…
—– Nadine —–
La séparation du dimanche soir fut pénible. J’ai pleuré. Vous m’avez promis de tout arranger au cours de la semaine et de me ramener chez vous le week-end prochain. La semaine fut longue à passer. Je me suis beaucoup promenée dans les rues de la petite vile. Je ne savais pas que vous me faisiez suivre. Je suis passé par le port mais le bateau de mon marin d’un jour n’était plus là. D’autres marins m’ont draguée mais je ne leur ai pas répondu.
Le week-end suivant, vous avez tenu parole. Je suis rentrée avec vous. Ça m’a fait tout drôle de retrouver votre appartement. Tout était bien rangé. James nous a accueilli. Il m’a même parlé très gentiment. J’étais heureuse. Nous avons dîné tous les deux. Nous avons fait l’amour dans le lit. Nous nous sommes endormis.
Le matin, quand je me suis réveillée, vous étiez déjà parti. Quand je suis sortie de la chambre, James était là. Il me dit que Jaïna était prête à me servir le petit déjeuner. Jaïna était la nouvelle femme de ménage. Elle habitait dans une petite chambre sous les combles. C’était une petite jeune brune qui ne parlait que quelques mots de français. Elle ne parlait de toutes façons pas beaucoup. Elle se contentait de faire le ménage.
Après mon petit déjeuner, James me dit que vous aviez demandé au chauffeur de m’emmener faire des courses. Il me remit une enveloppe où vous aviez mis un mot « Achète tout ce que tu veux. Je t’aime. Je t’embrasse ». J’ai été émue de tant d’attention. Vous aviez changé de chauffeur. Je fis donc la connaissance de Fred. Il était bien plus charmant que l’ancien. Je suis rentrée avec plein de paquets. Quand vous êtes rentré je vous ai tout montré comme une gamine.
Les jours suivants se sont passés de la même manière. James était particulièrement prévenant à mon égard. Je me suis aperçue qu’il se tapait régulièrement Jaïna. Je n’ai rien dit. C’est peut être pour ça qu’il est devenu gentil avec moi. J’ai vu aussi d’autres jeunes filles lui rendre visite certains jours. Je n’avais rien d’autres à faire que d’épier ce qui se passait dans la maison. Fred me faisait faire des tours en voiture. Il me parlait de choses et d’autres. Il était aussi très prévenant avec moi. Il m’appelait « Mademoiselle Jessy ».
J’étais devenue une princesse. James me conseillait pour mes tenues. Il me transformait en femme. J’étais devenue une femme enfant que vous osiez sortir. Vous m’avez même emmenée dans quelques réceptions. Notre relation s’était ainsi officialisée. Vous ne me parliez que très rarement du bureau. Vous m’avez juste dit que Séverine était enceinte et qu’il vous faudrait bientôt lui trouver une remplaçante. J’ai cru comprendre que le père était Antonio mais qu’elle se faisait toujours sautait par Marc. Vous parliez de Marc sans colère. Je n’avais plus de nouvelles de mes parents.
La vie s’écoulait ainsi. Deux ou trois soirs par semaine, vous rentriez tard. Des fois, même, très tard. Je ne sais pas ce que vous faisiez. Je ne vous demandais rien et vous ne me disiez rien. Je restais à regarder la télé seule. James était dans son studio à se sauter des filles. Je ne pensais pas qu’il était comme ça. Des fois, j’appelais Fred et nous faisions un tour en voiture.
Un jour, vous avez oublié votre trousseau de clés à la maison. Vous fermiez votre bureau à clé. J’ai attendu l’après-midi pour être seule et j’en ai profité pour rentrer dans votre bureau. C’était la pièce où nous avions été enfermés tous les deux et Claire aussi au début. Sur le bureau, il y avait des photos. Des photos d’une femme suspendue, de la même femme enchaînée au sol, torturée, sodomisée. Sans aucun doute, il s’agissait d’Alice mais avec un visage bien méconnaissable. J’ai regardé vos courriers. il était question de Claire. Vous aviez perdu sa trace. Vous demandiez si vous ne pouviez l’échanger avec Alice et votre correspondant vous répondait qu’on ne rend jamais une femme qu’on a achetée.
Je suis restée hébétée quelques temps mais sans oser vous en parler. Nous faisons toujours l’amour mais il y avait beaucoup trop de respect de votre part vis-à-vis de moi. Je me demandais pourquoi et si vous aviez envie de recommencer nos jeux comme avant. Notre relation avait tellement évoluée.
Jessy 17 (Fin)*
J’étais débordé. La reprise en main des affaires qu’Alice avait laissé aller à vau l’eau, la recherche de Claire qui piétinait, les entretiens d’embauche pour une nouvelle secrétaire… Je n’avais plus une seconde à moi et je m’éloignais de toi sans m’en rendre compte. J’avais décidé de faire le ménage dans ma vie.
Je ne me payais plus d’escort girl, tu étais ma seule femme. J’ai même décidé d’embaucher une secrétaire uniquement sur ses qualités professionnelles, une première pour moi. J’ai finalement choisi une certaine Véronique, une femme à l’apparence stricte et sévère dune cinquantaine d’années. J’ai crains qu’il y ait quelques frictions entre vous au début, notamment à cause du fait que tu ne faisais pratiquement rien mais tout c’est étonnamment bien passé. Une entente cordiale s’est établi entre vous, pas de complicité, une simple relation professionnelle. Véronique a vite compris la nature de notre relation et a eu la courtoisie d’agir en conséquence.
Le lendemain me réservait cependant une surprise. Ce devait être une journée particulière, j’avais pris une décision à propos de nous deux. J’étais très stressé. Véronique est venue m’apporter un dossier. Elle l’a posé et est resté face à moi. Je l’ai regardé :« – Oui ? Il y a un problème ? »« – Et bien… Je me demandais si vous souhaiteriez une gâterie, vous semblez stressé. »J’en eu le souffle coupé. Elle a ajouté :« – Je pensais que votre stagiaire s’occupait de ça mais je n’ai jamais entendu de gémissements ou de bruit de succion quand elle vient vous voir. Je peux m’occuper de cette partie de son travail si vous le désirez. »Je me suis légèrement énervé :« – Jessy n’est pas une pute. »« – Moi non plus. »Elle s’est dévêtue. Son corps était admirablement bien fait pour son âge. Ses seins tombait un peu mais était encore très désirable. Sa peau paraissait douce et les lèvres de sa chatte étonnamment jeune. Elle avait taillé sa toison en forme de flèche pointant vers son intimité. Tout cela contrastait avec son visage sévère et peu attirant. J’ai lâché :« – Pourquoi pas… »Je m’attendais à ce qu’elle passe sous la table mais elle a fait le tour. J’ai tourné mon siège et elle s’est penché en avant, mettant en valeur son postérieur encore ferme. Elle a ouverte ma braguette et m’a sucé avec toute l’expertise que des années de pratique avaient du lui apporter. C’est vrai que cela me délassait. C’est à ce moment que tu es entrée. Tu nous a regardé et Véronique s’est accroupie pour continuer à me sucer sans briser notre intimité : elle pensait à tout. Tu as bafouillé :« – Excuse-moi… »« – Non, reste. Tu avais quelque chose à me dire ? »« – Non… Je voulais juste rester avec toi. »« – Alors reste, Véronique a bientôt fini. »C’est vrai qu’elle faisait des merveilles avec sa langue… Tu t’es avancée timidement. J’ai ouvert un tiroir et j’ai sorti une petite boîte. Je te l’ai tendu :« – C’est pour toi. »« – Merci. »Tu l’as ouverte. Une bague. Tu l’as enfilée et m’a dis :« – C’est gentil. »Tu ne paraissais pas comprendre alors je t’ai demandé :« – Tu comprends ce que ca signifie ? »« – Euh… Non… Les bagues ont une signification comme les fleurs ? »J’ai ris :« – Non. Enfin pas de la même façon. C’est une bague de fiançailles. »Tu as rougis puis blêmis. Enfin tu as bafouillé :« – Je… »« – Écoute, prend ta journée pour y réfléchir. Ce soir je t’invite au restaurant et tu me donneras ta réponse. »Tu as hésité puis tu as dis :« – D’accord. »Tu es venu t’asseoir sur l’accoudoir de mon siège, ignorant Véronique. Je t’ai embrassé. J’ai à peine senti qu’elle avalait mon sperme qui giclait dans sa gorge. Oui, elle n’était là que pour vider mon stress en même temps que ma queue, elle n’était rien. Elle s’est arrêtée le temps que les spasmes de ma verge stoppent. Je t’ai caressé la taille et les seins à travers tes vêtements en te souriant. Véronique a recommencé à me sucer. Je ne l’ai pas arrêté : j’avais encore envie et je ne souhaitais pas te baiser comme ça sur un bureau. Ce n’était pas, ce n’était plus ton rôle. Tu m’as embrassé puis tu es partie en me disant que tu allais réfléchir.
Quand tu es partie je me suis tourné vers Véronique et je lui ai dit :« – Je ne crois pas que ça suffira. »Elle a sourit :« – Moi non plus. »« – Bien, mettez-vous sur le bureau. »Elle s’est assise sur le bureau, jambe écartée. J’ai dis :« – Non, buste contre le bureau. »Elle a obtempéré, écrasant sa poitrine sur le bureau. Elle était mieux dotée que je ne l’aurais cru… Je l’ai enculée. Elle a poussé un cri de surprise :« – Ce… Ce n’était pas prévu… »« – Ca pose un problème ? »« – Aucunement. Du moment que ça vous délasse. »« – Alors je peux y aller plus fort ? »« – Bien sûr. Souhaitez-vous que je retienne mes cris de douleur ? »« – Non. Ca me fera du bien. Et le bureau est bien insonorisé. »« – Très bien. »J’ai alors défoulé toute ma frustration de ces derniers jours dans ce cul salvateur. Elle a beaucoup crié. Je l’ai même soupçonnée d’en rajouter. J’ai agrippé sa crinière en la prenant de toute mes forces. Puis j’ai éjaculé en elle et nous sommes resté ainsi, haletant. Je l’ai enfin relâchée et j’ai refermé ma braguette. Je l’ai regardée se rhabiller. Elle redevenait la secrétaire austère que j’avais embauché. Je lui ai dis :« – Vous m’êtes d’une aide précieuse, vraiment. »« – Je fais mon travail. »« – Oui, mais vous le faites très bien et très consciencieusement. Je crois que je vais vous augmenter. »« – J’en suis flattée. »Elle s’est dirigée vers la porte. Je l’ai appelée :« – Véronique ? »« – Oui, Monsieur ? »« – Vous seriez prête à m’aider à finaliser des contrats de cette manière ? »« – Bien sûr. Cela aussi fait partie de mon travail. »« – Parfaite. Vous êtes vraiment parfaite. »« – Merci, Monsieur. »J’ai longuement réfléchi et je me suis alors dis que je n’aurais pas pu trouver mieux : une femme qui n’était rien pour moi et qui paraissait sage et même assez peu désirable mais qui pouvait m’offrir des moments de détente ou être offerte à des collègues sans problème. Célibataire en plus. Et pas de risque de s’attacher comme avec Claire ou qu’elle me trahisse comme Séverine. Parfaite.
Le soir j’étais nerveux. Je t’avais invité à dessein dans le premier restaurant que je t’avais payé. Tu as saisi l’allusion. Nous avons passé un agréable repas à discuter de chose et d’autre. Mais le dessert arrivait et je savais que tu me donnerais ta réponse. J’étais anxieux. D’autant que tu ne portais pas la bague que je t’avais offerte. Comme je le craignais tu l’as glissé vers moi et tu as dit :« – Je ne peux pas accepter. C’est Claire que tu aimes. »« – Tu sais bien que toi aussi je t’aime. Et Claire est morte. Enfin c’est tout comme. »Ca m’a fait mal de le dire mais c’était vrai. Tu m’as répondu dans un soupir :« – Et si elle revient on divorcera ? »« – Non. Si elle revient elle sera probablement bien différente. Elle ne m’aimera plus. Ou je ne l’aimerai plus. Et même si c’était le cas j’en ferais ma maîtresse… avec ton accord. »« – Les gens vont jaser… »J’ai ris :« – Ca fait plusieurs mois qu’ils te voient rentrer avec moi, qu’ils te voient coucher à droite à gauche et me forcer à prendre des décisions au niveau de l’entreprise. Je ne pense pas que ça les choquera outre-mesure. »« – Je ne sais pas… »Je t’ai pris la main :« – Tu m’aimes ? »« – Je ne sais pas… Je crois. »« – Viens. »Je t’ai entrainé dans les toilettes. Tu as immédiatement compris. Tu t’es mise à me sucer et j’ai éjaculé sur ton épaule comme la première fois. Tu t’es essuyé l’épaule et a sucé ton doigt plein de sperme. Je t’ai à nouveau tendu la bague. Tu l’as prise, l’as longuement regardé puis tu l’as enfilé. Tu as regardé ta main. Enfin tu as murmuré :« – J’ai peur François… »Tu as levé les yeux vers moi et nos regards se sont croisés. Le désir nous a envahi. Je t’ai entrainé vers une des cabines de toilettes et t’ai prise. Nous étions tout deux haletant. Tu t’es serrée contre moi, répétant encore et encore mon prénom. Puis tu as posé ton front sur le mien et baissé les yeux, fixant mon sexe entrant dans le tien comme si c’était la première fois. Tu m’as senti venir. Tu m’as embrassé et t’es serré contre moi en posant ta tête sur mon épaule, nos joues l’une contre l’autre. Je me suis déchargé en toi. Nous sommes restés enlacés, tes jambes autour de ma taille, tes bras autour de mon cou, les miens autour de ta taille. Tu as couvert mon visage de baiser en répétant à nouveau mon prénom. Enfin tu m’as embrassé longuement et tu as dis :« – J’accepte de devenir ton épouse… »J’ai souris :« – Bien. J’ai un cadeau de fiançailles pour toi. »
Nous sommes revenus à la maison. Tu étais impatiente. Je t’ai faite entrer dans une pièce, tu t’es figée. Alice était là, gisante. J’ai dis :« – Je l’ai rachetée. Elle commençait à être usée de toutes façons. Tu te rappelles le soir où tu a failli me faire tuer Claire ? »« – Oui… »Je t’ai tendu mon arme :« – Ce soir tu peux aller jusqu’au bout, effacer le passé. Elle n’a plus d’existence légale de toutes manières. »Tu as pointé l’arme sur son front, tremblante. Alice te suppliait, terrifiée, elle s’était même pissée dessus. Tu as dis :« – Claire reviendra peut-être un jour, n’est-ce pas ? »« – Peut-être… »« – On efface jamais vraiment le passé, hein, François ? »« – Non… »Tu m’as rendu mon arme :« – Alors nous ne pourrons pas l’effacer elle non plus. Vends là au même réseau que Claire. »« – Dans son état elle ne va pas intéressé grand monde… »« – Je suis sûr qu’il y a des pervers intéressé par ce genre de fille, même salement amochée. »« – Oui, tu as raison. Je m’en occuperai dés demain. »Nous sommes partis laissant Alice nous supplier de la garder avec nous. Ou de l’abattre. J’avais pitié pour elle. J’ai voulu faire demi-tour, mettre un terme à sa misère. Mais tu m’as arrêté avec un regard dur :« – Laisse-la. Elle le mérite. »« – Oui, tu as raison. »« – Viens plutôt partager notre nouvelle vie… mon cher fiancé. »Je t’ai enlacé puis nous nous sommes embrassés. J’ai murmuré :« – Oui, une nouvelle vie. Et elle commence cette nuit. »Cette nuit fut particulière. Nous retracions sans rien dire tout notre parcours depuis cette garden party, nos corps et nos souvenirs se mélangeant. Ils s’en étaient passé des choses. Tu ne devais être qu’un moyen de faire enrager ton père, de faire pression sur lui. Et te voilà maintenant avec une bague au doigt. Une bague que je croyais ne devoir jamais donner. Une bague qui aurait du revenir à Claire. Mais c’était toi qui la portait et cette nuit là je me suis dit que tu étais la seule qui en était digne…