04 Mar
04Mar



En ce lundi matin de novembre, je me sens rêveuse. 

Confortablement installée dans mon bureau spacieux, orné de boiseries anciennes, de grandes baies vitrées avec des stores beige clair et des doubles rideaux en velours donnant une clarté lumineuse et chaude en même temps. Mon bureau en forme de lune fait d'un bois rustique et une lampe rétro trône sur mon bureau diffusant une lumière chaude quand le soleil décline au fil des heures qui passent ce qui agrémente agréablement cet espace feutré.Une porte capitonnée sépare mon bureau de celui de mon Boss et une autre de celui du secrétariat. J'aime cette moquette moelleuse étouffant les bruits de pas. Je quitte souvent mes chaussures pour apprécier la douceur et le bien être que celle-ci me procure. Mon ordinateur ronronne et attend mes doigts sur les touches de son clavier tapant sans relâche mes rapports et Des invitations pour des cérémonies d'usages et là je me sens bien et je pense à mon homme, je regarde souvent sa photo sur mon PC j'aime contempler son visage et repenser à nos ébats de la veille. Il est si tendre si prévenant si imprévisible que je raffole de nos rencontres furtives soient T'elles mais tellement agréables. Partie dans un délire en fermant les yeux, je n'entends pas le bruit de ma porte un peu grinçante avec l'âge s'ouvrir et se refermer en douceur. Soudain je sens une main sur ma cheville puis sur mon mollet, remontant sur ma cuisse cette main curieuse remonte jusqu'à mon shorty qu'elle caresse avec douceur. Un doigt s'égare sur mes lèvres déjà humides par tant de plaisir inattendu. Mon cerveau enregistre ces faits et gestes mais je n'arrive pas à savoir si c'est un rêve ou une réalité tant mon désir est profond puis plus rien. Les yeux toujours clos je ne te vois pas ressortir de dessous mon bureau pour venir te poster derrière moi. J'ouvre les yeux en sentant ton parfum et je souri en pensant à toi. Soudain mon fauteuil tourne et je me retrouve face à toi. Stupéfaite je n'arrive pas à réaliser cet état de fait. Tu prends mes mains m'obligeant ainsi à me lever pour le plaquer contre le mur recouvert d'un tissu molletonné assorti aux rideaux. L'un de tes bras enserre ma taille et l'autre disparaît sous ma jupe. Tu m'embrasse avec fougue me murmurant hum. Ma belle féline j'ai envie de toi et je bande comme un fou.En serrant toujours ma taille de ton bras musclé ton autre bras relève ma jambe droite pour la positionner sur ta hanche gauche ton envie est palpable tu gémis de plaisir car cette situation t'excite un max. Tes baisers sont fougueux, ta main prend possession de mon mont de vénus le caressant fébrilement puis tu entreprends de saisir mon clito déjà gonflé de désir. Je caresse ton membre au travers de ton jeans il se veut suprême. J'ai envie de le sentir dans mon vagin accueillant. Relâchant un peu ton étreinte tu baisses ton jeans et j'aperçois ton membre bandant à souhait. Tu me demande avec douceur de mettre mes mains à plat sur mon bureau et d'écarter mes jambes pour me pénétrer comme un hussard. Ton souffle au creux de mon cou m'excite davantage et je m'exprime par ces mots oh oui amour prends moi j'ai envie de toi viens. Mon invitation ne se fait pas attendre, tu me pénètres avec douceur pour ne pas me faire mal ou m'irriter et je sens ton membre le long de mes parois internes de par mon étroitesse vaginale. Hum c'est bon. Je te veux encore et encore oui donnes moi tout de ta jouissance. Oh oui amour prends moi bien c'est à toi. Tu raffole de me prendre dans cette position et aussi me posséder de cette façon. Je te sens grossir au fur et à mesure de tes allers et viens dans mon antre ouvert à souhait. Puis je sens tes muscles se tendre car ta semence est prête à jaillir tel un geyser. J'entends ta voix me dire humm ma belle, ma douce, ma féline, je viens oh oui je viens c'est bon. N'y tenant plus je joui à mon tour sentant ma cyprine envahir mon vagin se mélangeant à ton sperme chaud et onctueux. Nous restons soudés un moment nos corps encore tremblant de spasmes tant l'envie était forte. Tu te détaches de moi et me retournes pour trouver mes lèvres humides. J'accepte avec plaisir ce baiser et ta langue jouant avec la mienne m'excite encore. Je sens nos semences respectives couler le long de mes jambes hummm c'est chaud, c'est bon j'adore. Je me dégage à mon tour de ton étreinte et me dirige dans le cabinet de toilette de mon Boss pour me refaire une beauté et boire un verre d'eau tant ma gorge est sèche. Je retourne à mon bureau et tu as disparu seul un mot posé sur mon bureau justifie ta présence il y à quelques minutes à peine je lis ce mot délicieux tu me dis merci ma belle, ma féline ce fut court mais bon un vrai délice. Je souri et réponds tout bas à tes écris merci mon amour de me donner autant de plaisir tout en me rhabillant au cas où mon Boss arriverait sans prévenir. J'ai au préalable ouvert la fenêtre pour aérer mon bureau des effluves de nos deux corps désireux et de ton parfum que j'aime tant. Et puis même s'il se doute de quelque chose il ne saura jamais que je n'ai plus de shorty car ça c'est notre secret hummm merci amour de cette surprise;

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 (2) Sacrée soirée
Depuis des mois, Marc et Sophie dialoguent sur un site de rencontre. Ils sont fous amoureux l'un de l'autre et leur histoire pourrait être comparée à celle des amoureux de Peynet mais en des temps plus modernes. Quand ils sont en ligne ce ne sont que bisous par webcam, mots tendres, gestes de désirs et d'envie. Marc est un grand garçon gauche et un peu benêt. Malgré sa timidité, il demande à Sophie s'il ne serait pas temps de faire plus ample connaissance autour d'un dîner. Sophie, qui attendait cette invitation depuis longtemps, accepte et laisse le soin à Marc de choisir un restaurant proche de leurs domiciles respectifs pour éviter d'avoir à prendre leur voiture. C'est dans un restaurant italien qu'ils se retrouvent vers 20h. Le patron les installe à une petite table pour deux, assez isolée au fond de la salle. Les yeux dans les yeux et main dans la main, ils rougissent quand, par inadvertance, leurs genoux se touchent mais, finalement, l'érotisme se nourrissant en partie d'interdits, ils prennent goût à ce petit jeu qui finit par bien les exciter. Sophie est troublée, ils ne se connaissent que par mail et webcam interposés et là, ils se touchent et vont peut-être faire l'amour, ça l'inquiète et la grise à la fois ! Marc commande une soupe froide, suivie d'une escalope milanaise. De son côté, Sophie commande un avocat aux crevettes et des tagliatelles aux quatre fromages. Comme boisson, Marc choisit un vin Lambrusco rouge et une carafe d'eau bien fraîche. Il aime ce vin pétillant qui accompagne bien les mets Italiens. Ils sont heureux, se sourient béatement, se perdent dans le regard de l'autre. Ils n'osent pas trop parler, il y a une telle distance entre leurs conversations virtuelles par internet et ce contact direct et charnel qu'ils ont du mal à reprendre un échange cohérent. Voyant le garçon approcher vers leur table, ils reprennent une position d'attente sage. Le serveur est sur le point de servir les entrées, quand un vacarme soudain de verre cassé le fait sursauter et lui fait perdre l'équilibre. L'assiette de Marc lui échappe des mains et vient atterrir sur son torse. La soupe dégouline sur sa chemise, son pantalon et termine sa course sur la moquette. Devant la tête catastrophée du serveur et la figure ahurie de Marc, Sophie éclate de rire. Son fou rire est tellement communicatif que Marc est entraîné et même le serveur, qui pourtant risque sa place, se met à hoqueter tout en se confondant en excuses et en essayant avec un torchon d'éponger la soupe sur la chemise et le pantalon de Marc. Le patron qui a vu la scène, sourit mais arrive à garder son sérieux et s'excuse à son tour en proposant à Marc un pantalon et une blouse de cuisinier, pour qu'il puisse finir de dîner tranquillement pendant que l'on fait sécher ses vêtements. Leur repas étant offert par la maison, Marc et Sophie acceptent la proposition. Après cette petite dinette forte sympathique et riche en rebondissement, Marc propose à Sophie de venir prendre un dernier verre chez lui en passant par le bois. Elle accepte volontiers car elle connaît mieux Marc maintenant et puis la nuit est douce pour un mois d'avril et une balade nocturne serait la bienvenue. Ils marchent l'un à côté de l'autre, et leurs mains s'effleurent. Machinalement, elle lui prend le bras, car ses talons sont hauts et elle n'est pas très stable sur le chemin parsemé de cailloux. Presque pleine, la lune éclaire leur chemin, Marc lui propose de s'asseoir près du lac pour apprécier le silence qui les entoure. Elle acquiesce d'un signe de tête en disant « oui pourquoi pas ! » Bien qu'à cette heure l'endroit soit totalement désert, il trouve un banc un peu en retrait, dos au lac, pour ne pas être dérangés par d'éventuels regards indiscrets car, sa libido est en alerte et il a toujours l'espoir de la posséder comme un fou. Un peu grisée par le vin et aussi par l'atmosphère romantique du lieu, Sophie s'assoit. Croisant ses jambes, elle étend ses bras à l'horizontale sur le dossier du banc. Le chemisier étant très échancré, Marc distingue sa poitrine généreuse et son membre devient dur. Le cœur battant, il ose une main sur le genou de Sophie puis remonte doucement vers sa cuisse gainée de bas jusqu'à atteindre la peau douce de son entrejambe. Une chaleur envahit son corps et il bande comme un fou. Dans un baiser sensuel, leurs langues se mélangent langoureusement, Marc, remonte sa main sur sa poitrine. Il sent sa respiration lui soulever les seins qu'il pétrit avec frénésie tant son excitation est énorme. D'une main elle caresse son membre à travers le pantalon et il ne peut retenir un gémissement tant son désir est grand. Trouvant cette position pas très confortable, il se lève, lui prend la main et lui demande de bien vouloir se mettre à genoux sur le banc. Tenant le dossier de ses mains pour garder un équilibre, elle se prête volontiers à son jeu car elle est intriguée. Il se colle à elle et il sent le parfum enivrant de Sophie. Relevant sa jupe, il découvre ses fesses rebondies et douces prises dans un shorty en dentelle, qu'il fait glisser sur les cuisses pour admirer cette splendeur qui s'offre à lui. Il s'agenouille, lui écarte un peu les fesses pour passer sa langue dans ce sillon délicieux. De sa main, il cherche son clito pour le caresser avec son majeur ce qui déclenche en elle un spasme jouissif tant son désir est palpable. Marc ne peut contrôler le pré sperme qui coule de sa verge, devant cette scène digne d'un film X. Elle ondule le bassin sur son membre déjà à son apogée, et sous la pression de son majeur sur son clito, il sent sa cyprine couler sur son doigt N'y tenant plus, il se redresse, dégage son membre pour la pénétrer de la sorte, mais un éternuement surement dû au musc poivré de son parfum, lui provoque un déhanchement et il perd l'équilibre, bousculant Sophie sans ménagement. Elle n'a pas le temps de comprendre ce qui lui arrive. Le banc bascule en arrière et elle tombe avec lui. Impuissant car trop loin d'elle, il n'a pas le temps de saisir son corps avant de la voir dévaler la pente. Sophie roule sur elle même sans pouvoir freiner cette descente vertigineuse. Marc essaie de repérer l'endroit où Sophie va terminer sa course pour lui venir lui porter secours. Soudain il entend un grand plouf. Dans un cri de frayeur, elle vient atterrir dans le lac. Prenant ses jambes à son cou, il dévale cette pente à toute vitesse pour la rejoindre. Il ne voit pas une grosse racine et il bute contre. Marc essaie de rétablir son équilibre mais en vain. Il tombe de mon tout long et dévale cette pente sans pouvoir freiner sa course et atterrit avec fracas dans le lac. Il nage le plus vite possible pour venir en aide à Sophie car l'eau est glacée. Il la voit couler puis remonter puis disparaître. Il prend une grande inspiration et plonge à son tour pour la sauver. Sophie est sans vie quand il la remonte de ces profondeurs. Il nage d'un bras pour regagner la rive, de l'autre il maintient sa tête hors de l'eau. Essoufflé par tant d'effort et inquiet, il dépose Sophie sur le bord et grimpe aussi vite que possible pour la réchauffer. Dégrafant son chemisier, il appose mes mains sur son thorax appuyant au bon endroit pour un massage cardiaque. Il ouvre sa bouche pour lui insuffler de l'air et reprends son massage. Marc recommence plusieurs fois avant de l'entendre tousser et rejeter l'eau entrée dans ses poumons. Sophie tremble de froid. Il s'allonge près d'elle, l'entoure de ses bras et la colle contre lui dans l'espoir d'avoir suffisamment de chaleur pour la réchauffer. Sophie relève la tête et colle ses lèvres sur celles de Marc. Plongeant la langue dans sa bouche, il joint la sienne pour un baiser langoureux. Une chaleur envahit son corps et il sent mon membre durcir par tant de volupté. Marc la caresse, il sent en elle la montée du désir. Le corps de Sophie ondule sur le sien ce qui l'excite davantage. Il prend ses hanches et place son pubis sur son sexe tendu à l'extrême. Les baisers fougueux de Sophie lui font comprendre qu'elle a envie de jouir. Prenant une cadence plus rapide, elle se frotte sur lui avec frénésie et il a envie d'exploser. Il dégage son membre de son boxer avec fébrilité et Sophie s'empale dessus continuant son rythme infernal. Elle part avant lui dans un cri ressemblant à celui d'une une louve appelant ses petits. Il jouit à son tour dans un râle sensuellement grave, déversant son sperme tel un geyser. Une fois la tension redescendue, Marc propose à Sophie de venir prendre une douche et de remettre de l'ordre dans sa tenue avant de rentrer chez elle. Sophie part dans un éclat de rire mélangé de larmes tant la tension était grande et lui dit : — Non merci, ça va aller ! Et repart de plus belle dans un éclat de rire communicatif. Marc ne peut se contenir davantage et part aussi dans un fou rire nerveux, se pliant en deux tant cette situation est burlesque. Sophie arrive malgré tout à lui dire — En tout cas pour une première soirée, je trouve que nous avons fait fort ! Marc essayant à son tour de se contenir lui répond : — Oui je trouve aussi mais j'espère que nous n'aurons pas une autre mésaventure, si nous devons nous revoir ! Sophie lui répond : — Qui le sait très cher ? Qui le sait ? Mais pour l'instant restons en là si vous le voulez bien !— D'accord, Sophie pas de souci ! Je vous souhaite un bon retour et une bonne nuit.— Bonsoir à vous, Marc et merci pour cette soirée. À bientôt ! Ils se quittèrent à la croisée des chemins, le cœur léger mais fatigués et pensent à la même chose au même moment :« Sacrée soirée »

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