La soubrette coquine
Certaines rencontres vous marquent plus que d'autres. Ca arrive une fois de temps en temps et ça provoque en vous un raz de marée d'émotions et de sentiments que vous pensiez ne plus pouvoir éprouver pour quelqu'un.
J'ai rencontré Anton (prénom d'emprunt) il y a 2 ans lors d'une après-midi "Translips" à Anvers. Nous avions tenté ce jour-là une approche mais le fait de "faire ça" devant tout le monde lui coupait un peu ses moyens.Je l'avais alors retrouvé à la salle de bains/vestiaire au moment où il décidait de partir et là, à l'abri des regards, nous étions parvenu à nos fins. Je m'en souviens comme si c'était hier. J'étais debout, jambes écartées et les mains en appui sur le bord de la baignoire. Lui me prenait tout en profitant pleinement de la scène au travers d'un grand miroir. Au final je m'étais agenouillée devant lui et il avait joui dans ma bouche avant que j'avale tout en le regardant droit dans les yeux. Depuis ce jour, nous sommes resté en contact mais nous n'avons pas eu l'occasion de nous revoir car il vit à 120kms de chez moi et qu'il a des horaires de travail un peu décalés qui lui laissent peu de liberté pour les sorties, que ce soit en journée ou en soirée.Mais il y a quelques mois, nous nous sommes retrouvés au New Ridderhof, un club libertin situé en Flandres. Les choses se sont bien passées, une fois de plus et nous avons pris rendez-vous au même endroit le mois suivant.Au terme de cette 2ème soirée en club, Anton me fit comprendre qu'il aurait aimé passer un moment avec moi en tête à tête, dans un autre contexte qu'un club libertin. Je me suis alors mise en quête d'un endroit qui pourrait convenir et j'ai choisi de réserver une nuit dans un appartement situé non loin de la gare du midi à Bruxelles.Cet endroit présente plusieurs avantages : c'est situé non loin de chez moi, c'est propre, moderne et spacieux, relativement bon marché, et chaque appartement est muni d'un grand lit, de plusieurs confortables divans, et d'un coin cuisine, entre autres. Il accepta de me retrouver là.
Anton me rejoignit à 17h et m'embrassa tendrement avant de détailler ma tenue.Je lui avais demandé lors de nos échanges pour préparer cette rencontre s'il aimait les uniformes et il m'avait répondu positivement. C'est donc en "french maid" que je l'accueillis et je sus directement que j'avais fait le bon choix. "Tu veux boire quelque chose ?""Avec plaisir, un verre de vin blanc si tu as ça"Le cubis était déjà bien entamé (j'étais arrivée quelques heures avant lui à l'appart) mais il en restait suffisamment.
Nous nous asseyons dans le plus grand des divans et discutons un peu mais Anton a les mains baladeuses, c'est plus fort que lui. Il est tombé amoureux de mes formes généreuses le jour de notre rencontre 2 ans plus tôt.Il m'a déjà expliqué plusieurs fois que d'habitude il est attiré par les petits culs menus mais que dans mon cas particulier, mon fessier plus charnu exerce sur lui une fascination sans limite. D'ailleurs j'ai déjà remarqué que lorsque nous buvons un verre dans un club, il ne cesse de me tapoter le popotin, c'en est presque devenu un tic !Mais j'apprécie beaucoup cette petite manie et je suis toute heureuse d'être responsable de cette addiction somme toute assez bénigne.Je me rends compte qu'il est déjà prêt à passer à l'acte, il déboutonne son pantalon, ôte ses chaussures.Je lui propose de pimenter notre rencontre en exploitant le fait que je porte un costume de soubrette. "Si tu veux, je fais mine de faire le ménage et tu en profites pour me sauter hihi""Bonne idée !"L'appartement met à disposition des locataires le strict minimum pour préparer à manger et faire la vaisselle, mais pour ce qui est de l'entretien général, je ne trouve pas grand chose, pas même du Sopalin. Qu'à cela ne tienne, je n'ai pas l'intention de tout nettoyer de fond en comble, je ne suis pas là pour ça. Mais il me faut trouver quelque chose pour donner le change. Je me rabats sur la seule option qui m'est offerte : un peu de papier toilette. En fouillant bien sous l'évier de la cuisine je trouve également une brosse et une ramassette. C'est parfait, ça fera l'affaire !
Anton est toujours assis dans le divan, il arbore un air faussement détaché lorsque je pénètre dans la partie salon où il se trouve."Je vais un peu nettoyer la table si vous le permettez, monsieur""Oui ok, elle en a besoin !"Je commence à frotter la table, tournant le dos à mon complice. Je me doute qu'il est probablement en train de me reluquer de bas en haut. En dehors de la petite robe de soubrette en satin noir et blanc, je porte un mini-string dont la petite corde me rentre dans les fesses, des bas résilles tenus au moyen d'un porte-jaretelles, et mes talons hauts préférés, ceux à bouts ouverts laissant paraître mes orteils. Une petite coiffe blanche et un mini tablier "Sexy room service" complètent ma tenue. La plaque en verre qui protège la table est à présent toute propre, il est temps que je m'attaque au parquet. Je me mets à 4 pattes, toujours le dos tourné et je rassemble les miettes et la poussière fictive avec la brosse et la ramassette. Je ne dois pas patienter longtemps pour sentir le bas de ma tenue se relever tout doucement. Anton est en train de me découvrir le fessier et ses mains se posent doucement sur la partie la plus charnue de mon anatomie. Il approche lentement son visage et pose un doux baiser sur l'une de mes fesses. Je feins d'être surprise mais sûrement pas offusquée par son comportement. Doucement mais fermement, il m'invite à me cambrer un peu plus, de sorte à ce qu'il puisse me lécher l'entre fesses. Au moment où sa langue entre en contact avec mon petit trou, je pousse un petit gémissement de plaisir. Il se délecte de ce que j'ai à lui offrir et à présent son visage est bien enfoui et sa langue à l'affût. Il va me lécher l'anus comme ça pendant quelque minutes.Ensuite, il m'invite à me relever et à prendre place sur le canapé pendant qu'il ôte son pantalon. Ma bouche est grande ouverte pour accueillir son membre pour le moment encore un peu flasque mais plus pour longtemps. Le prenant en bouche mes mains se posent sur ses fesses afin de l'attirer à moi. Son sexe est à présent totalement invisible, il est bien au chaud au fond de ma gorge et il commence à bien durcir à tel point qu'Anton a déjà envie de me pénétrer. Je n'y vois pas d'inconvénient, bien au contraire, et je m'agenouille sur le divan de sorte à ce qu'il puisse se placer derrière moi. J'écarte bien les fesses, dans l'attente de son membre qui a, à présent, atteint la taille "adulte".Posant ses mains sur mes hanches, il se fraye doucement un chemin dans mon petit tunnel et, lorsqu'il est bien dedans, il enclenche le rythme de croisière. Les va-et-vient sont énergiques sans être brutaux. Je commence à prendre mon pied à me faire labourer de la sorte par ce jeune homme au corps élancé et imberbe. A présent il incline le buste et se penche sur moi, je sens le contact de son bas ventre sur mes fesses, il me baise encore plus fort que tout à l'heure. Lorsqu'il ralentit le tempo après quelques minutes, c'est pour me demander de me placer dans une autre position, à 4 pattes sur le fauteuil qui, de par sa largeur surdimensionnée, le permet aisément. Il monte sur le fauteuil et me prend en levrette pendant quelques minutes.Il me regarde ensuite d'un petit air coquin et m'annonce qu'il a apporté quelques jouets avec lui. J'avais en effet remarqué à son arrivée qu'il portait une grande sacoche sous le bras. "Ah oui ? Et bien montre les moi !"Il sort de la sacoche 3 accessoires : un petit plug en verre, un gode réaliste par son aspect et sa taille et un autre gode gonflable, muni d'une pompe."Tu veux essayer quelque chose ?"Le gode réaliste est assez similaire à la queue de mon partenaire, je ne vais donc pas en faire usage pour l'instant. Le gode gonflable ne me fait pas trop envie, il reste le petit plug dont la base semble assez large et qui pourrait peut-être me poser un petit problème lors de l'insertion.Mais bon, j'aime prendre des risques alors allons-y pour ce joujou.J'ai pris l'habitude de protéger systématiquement les sex-toys que j'utilise. Je le fais avec ceux faisant partie de ma collection personnelle, et bien sûr avec ceux qu'on me prête comme dans le cas présent. Je recouvre donc le plug d'une capote et je me mets en position pour l'introduire. Anton me regarde avec étonnement et me pose une question qui me surprend : "Sans loupe ??"Je me demande pourquoi il me pose cette question saugrenue."Ben oui, sans loupe, et même sans regarder, je connais assez bien cette partie de mon anatomie !""Non, je parle de "lube" (lubrifiant en anglais)""Aaaaahhhh, okay !!!!"Et bien non pas besoin ni de loupe ni de lube - lol De fait, le petit joujou trouve aisément son chemin et Anton est en admiration devant ce spectacle. Il me demande de mettre les fesses bien en évidence pour qu'il puisse profiter pleinement de la vue. Nous allons ensuite passer au joujou suivant qui n'est autre qu'un gode de couleur et taille très réaliste. Une fois encore, je n'éprouve aucune difficulté à me l'introduire et c'est alors que me vient une idée. Le gode est profondément ancré mais je sens encore un peu d'espace dans mon orifice."J'ai envie d'essayer avec toi quelque chose qui me fait fantasmer depuis longtemps, une double pénétration anale !""Oh, ça devrait aller, il y a de la place !"C'est donc tout naturellement que nous avons tenté l'expérience. Je ne m'attendais pas du tout à ce que j'en arrive là ce jour précis mais une chose en entraînant une autre, et vu la bonne entente et la décontraction totale, l'occasion était trop belle pour la laisser passer. Anton a procédé de manière progressive, en appliquant suffisamment de gel pour faciliter la pénétration de son sexe dans mon petit trou, qui est encore beaucoup plus serré que d'habitude du fait de la présence du jouet.Les sensations sont très fortes, j'ai à la fois envie de tout prendre mais j'ai peur de me blesser en y allant trop franchement. Alors nous préférons ne pas prendre de risque et après quelques minutes d'une "double" assez timide, nous décidons de passer à autre chose. Il vient de me donner beaucoup de plaisir, je décide de lui rendre la pareille en le suçant. Son sexe est encore couvert de la capote qui a labouré ma chatte de trav quelques minutes plus tôt quand je le prends en bouche, mais je la lui ôte rapidement. Je sais d'expérience que les sensations sont beaucoup plus forte lors d'une fellation "nature". Je m'applique et passe ma langue tout au long de la hampe de son sexe, je lui lèche également les couilles
N'y tenant plus, Anton a très envie de jouir mais il sait que je veux récolter son sperme sur le visage ou dans ma bouche. Il me prévient que c'est pour bientôt et, alors qu'il se tient debout, je suis à genoux devant lui, lui léchant à nouveau les couilles, prenant sa queue en bouche tout en le branlant. Je salive à un point tel que qu'un filet de bave ruisselle sur le parquet. Il va jouir enfin, une belle quantité de jus bien chaud que je vais récolter en partie sur le visage, le reste dégoulinant à terre. Avec les doigts, je récupère le sperme qui macule mes joues, mon menton, j'en ai même dans une narine ! A présent que mon visage est presque propre, je constate la présence d'une flaque de sperme sur le sol. Je me penche et me voilà occupée à lécher les lattes en bois pour en récupérer le foutre. Je ressemble à un petit animal domestique, chienne ou chatte, qui lape un liquide qui se serait répandu par inadvertance sur le sol. Sauf qu'ici c'est la petite soubrette qui a une technique bien particulière pour faire briller le parquet.
Lorsque je me redresse, je lis de l'incrédulité dans le regard d'Anton : "Mais tu es folle !""Non pas du tout, mais je n'aime pas le gaspillage, voilà tout !"
FIN.
la vidange
J’étais très excitée à l’idée de rencontrer Paul. Depuis plusieurs semaines, nous nous croisions presque quotidiennement sur msn et le scénario qu’il me proposait ne pouvait que me convenir ! Gérant un garage dans la région Namuroise, il me proposait de l’y rejoindre après la fermeture afin de me sauter dans différentes pièces de son « domaine » !J’ai d’excellents souvenirs d’un ancien film X dans lequel l’héroïne se faisait gangbangée dans un atelier par une dizaine de mécano’s. Bien entendu, rien de comparable ici mais déjà rien que de m’imaginer faire ça dans ce type d’environnement, ça m’émoustillait !
Une date fut donc fixée pour la rencontre et le jour venu je pris la route vers 17h. J’arrivai à destination environ 1h30 plus tard et je me changeai dans la voiture. Paul avait l’intention de me dominer, il m’avait demandé de porter une tenue sexy car il voulait avoir en face de lui une « salope soumise » (pour reprendre ses propres termes). Ma tenue correspondait donc à ses attentes : mini jupe rouge, bas couleur chair à couture, porte jarretelles, talons hauts, et au-dessus un petit top noir. J’avais aussi enfilé mon trench-coat noir pour parcourir le chemin entre ma voiture et le garage (les soirées de fin octobre dans la région namuroise sont fraîches). Je retirai une satisfaction personnelle en sentant le souffle froid du vent caresser mes jambes et en entendant le bruit de mes talons hauts claquants sur l’asphalte du parking. La pute arrivait à son lieu de rendez-vous.
Le garage était situé sur la route principale qui traversait la petite ville. Je poussai la porte vitrée et me retrouvai dans un hall où se trouvait le comptoir d’accueil. Paul surgit d’une pièce située derrière le comptoir et le jeu débuta.
« Bonsoir Monsieur, vous êtes encore ouvert ? »
« Oui bien sûr »« Ma voiture est ancienne et j’aimerais bien en acheter une nouvelle mais j’aurais besoin de conseils, vous pouvez m’aider ? »
« Oui, allons dans le show-room et dites moi ce que vous recherchez »
Je suivis Paul, vêtu uniquement d’une salopette dans le show-room. Celui-ci était situé en façade, et une fois éclairé, les rares passants pouvaient voir ce qui se passait à l’intérieur.
« Celle-ci m’a l’air de correspondre à ce que je recherche, vous permettez que je m’y installe ? »
« Oui, faites donc »
Je pris place sur le siège passager de la voiture et se faisant ma jupe remonta sensiblement. Le garagiste s’introduit partiellement dans l’habitacle et posa une main sur ma cuisse. Je le regardai et faisant un sourire coquin.« Non mais dites donc, vous avez les mains baladeuses vous alors ! »
« Il me semble que vous aussi ! »
En effet, j’avais commencé à déboutonner les boutons pression de la salopette et je découvrais petit à petit le torse de l’homme.
« Il y a moyen de mettre le siège en position couchette ? »
« Oui, je vais vous montrer comment faire »
Je ne suis pas blonde et j’aurais pu trouver tout seule mais ce stratagème força l’homme à se rapprocher de moi encore un peu plus. Je pu aussi allonger mes jambes et à présent ses caresses se faisaient plus insistantes. Ma jupe relevée, il put apercevoir le plug qu'il m'avait préalablement ordonné d'avoir entre les fesses en franchissant le seuil de son domaine.Nous nous embrassâmes et je lui glissai à l’oreille :
« En fait ce n’est pas un hasard si je suis ici, on m’a dit beaucoup de bien de votre garage et de son personnel qui est, parait-il, très compétent ! » A nouveau nos langues se mélangèrent.
« Vous avez un endroit un peu plus confortable peut-être pour continuer à faire connaissance ? »
« Oui, venez par ici »
L’homme me guida dans son bureau. La pièce n’était pas grande et sentait le tabac froid. Le mobilier était composé de quelques armoires, un bureau partiellement encombré et 2 ou 3 chaises. Je posai mon sac à main sur le bureau et en vidai une partie du contenu : menottes, laisse et plug. Après tout, j’étais ici pour me faire dominer, non ?
Je décidai de m’occuper un peu de mon partenaire et de voir ce qu’il cachait sous sa salopette. Les boutons pression sautèrent l’un après l’autre et c’est le dernier qui me dévoila le sexe de l’homme. Il était rasé, ainsi que ses couilles. Je me mis accroupie et commençai à le caresser tout doucement, puis je posai mes lèvres sur le gland pour ensuite l’introduire progressivement dans ma bouche. La sensation devait être bonne car Paul se mit presqu’immédiatement à gémir de plaisir.
Au plus je le suçais, au plus le sexe durcissait et ça ne présageait que du meilleur pour la suite. Lentement, avec des gestes savamment étudiés, je fis comprendre à Paul qu’il pouvait s’asseoir et se laisser faire. A présent sa salopette était à ses pieds.
Assis dans le fauteuil du boss (son fauteuil !), il me regardait faire et, sentant son regard posé sur moi, je plongeai mes yeux dans les siens tout en continuant à m’activer sur sa bite. Je jouais mon rôle de salope soumise à la perfection mais j’aurais préféré me sentir un peu plus dominée. Comme s’il avait lu dans mes pensées, il s’empara du petit martinet que j’avais laissé trainer sur le bureau et commença à me flageller sur les épaules et les cuisses. Je sentais les lanières de cuir au contact de ma peau mais les mouvements de Paul n’étaient pas assez francs pour que je sente vraiment de la douleur.A présent je m’affairais aussi sur ses couilles que je léchais tout en le branlant.Lorsque j’estimai qu’il était prêt, je lui proposai de passer à l’étape suivante en lui montrant une capote.Il me laissa faire pour la lui mettre mais malheureusement, comme cela arrive souvent, une fois la protection en place, le « soldat » était lui à nouveau au repos. Je retirai le caoutchouc pour recommencer le « travail de préparation » mais en vain.
Qu’à cela ne tienne, il ne faut jamais dramatiser dans ce genre de situation et j’avais bien l’intention de profiter du décor inhabituel qui s’offrait à moi.
« Tu me fais visiter l’atelier ? »
« OK, allons-y »
Cette fois-ci, je pris ma petite caméra avec moi, j’avais trop envie de me faire un remake du film dont je vous ai parlé plus haut.L’atelier mécanique correspondait exactement à l’idée que je m’en faisais. Ca sentait le cambouis, la radio était allumée sur Bel RTL, il y avait des voitures poussiéreuses et désossées un peu partout, des outils trainaient sur des étagères ou étaient suspendus aux murs. Un vrai décor de film de cul comme je les aime. J’avais retrouvé tout mon enthousiasme et je plaçai la caméra sur son trépied avant de rejoindre Paul qui m’attendait la salopette sur les chevilles. A nouveau accroupie face à lui, je pris son sexe en bouche et le suçai comme j’aime le faire. Par moments très lentement et en l’engloutissant complètement, à d’autres moments de manière plus rapide, en me focalisant sur le gland. Je plaçai mes mains sur ses fesses et tirai son bassin vers moi afin de prendre sa queue au plus profond de ma bouche. J’adore pratiquer le « deep-throat » et sentir la bite heurter le fond de ma gorge.Cependant, je jouais de malchance avec mon partenaire car, étais-ce la position debout, ou le fait de se savoir filmé, le pauvre homme n’arrivait plus à bander. Il fallait que je le rassure.
« Ecoute, tant pis si tu me la mets pas dans la chatte, mais je veux que tu jouisses dans ma bouche alors laisse toi aller ! »
Il n’en fallait pas plus pour que les choses s’accélèrent. Je sentis quelques minutes plus tard les premiers spasmes annonciateurs d'une jouissance imminente. Et effectivement je ne me trompais pas. Je continuais de sucer lorsque le premier jet jaillit, suivi de plusieurs autres. Paul m’avait dit ne pas s’être donné du plaisir depuis plusieurs jours et c’était vrai que la quantité qu’il m’offrait était assez conséquente. Lorsqu’il se fut complètement vidé, j’ouvris la bouche afin qu’il voit tout ce qu’elle contenait. Il fut satisfait du spectacle que je lui offrais. Je me dirigeai ensuite vers la caméra afin de tout avaler en gros plan mais malheureusement je laissai échapper une grande quantité du liquide au cours de mon déplacement. Je réussi tout de même à en avaler une partie. J'adore le goût du sperme chaud.
L'excitation était retombée de quelques crans pour mon partenaire, il fumait déjà une nouvelle cigarette, mais j'avais encore envie de profiter un peu de l'occasion qui m'était offerte de faire des photos dans un décor comme celui-là. Nous retournâmes donc dans le show-room pour y faire quelques photos. Je pris la pose dans plusieurs voitures, rien de bien méchant mais notre comportement était assez inhabituel pour attirer l'attention d'un passant qui promenait son chien. Il passa et repassa devant la vitrine du garage plusieurs fois. Cela ne me dérangeait pas du tout, bien au contraire.Les meilleures choses ayant elles aussi une fin, je pris congé de Paul en l'embrassant une dernière fois. C'est un peu déçue que je repris le chemin vers Bruxelles, mais surtout amusée à l'idée que Paul ne verrait plus jamais son lieu de travail de la même manière à partir d'aujourd'hui.
FIN.
histoires de?
histoires de?
histoires de?